Les salves de la 4




Ma nuit  de SDF précédente , passée  sur  mon siège de voiture  presque couchette ,  avait été de nouveau agitée. Des cinglés avaient appelés le mouchard de ma voiture qui,   en réponse m’avait envoyé des décharges dans la tête. 
D’autres  étaient sortis  de chez eux à une heure et deux heures du matin , en quête d’une cible signalée, pour actionner ce qui ressemblait à des téléphones choqueurs .
Le plus motivé  et acharné avait fait plusieurs appels du mouchard du véhicule  et autant de décharges  électriques dans mon cerveau , pour réussir à me trouver en repassant lentement plusieurs fois et de plus en plus près.
Un autre de  ces tarés sadiques avait fini par se faire coincer sur le terrain vague où je m’étais endormie. Il utilisait une voiture de service pour faire du harcèlement à plus de 2 h du matin !
EK 978 RP (44)
Pour mémoire de cet état de SDF, il suffit de rappeler que j’avais été jetée à la rue par Catherine BARRAT ,   vice-présidente du TGI des Sables d’Olonne (85),  à la demande plus qu’insistante  du jeune avocat  mal appris,  T. ROUBERT. 
T. Roubert, ne se contentait pas de défendre les prétendus intérêts de sa cliente I. Blaineau. Il s’était acharné   avec hargne , sur une victime , avec sa bande d’habitués.
Ce 21 au soir , donc, pour rattraper le manque de sommeil de la nuit précédente, j’avais opté pour un petit hôtel isolé. 

En prenant la clé sur son tableau , la patronne du lieu n’avait pas prononcé le n° de la chambre. Cette chambre n°3 était juste en haut de l’escalier, à main gauche, au-dessus de rien , et donc  loin du WiFi  qui s’époumonait sans doute dans la salle du bar , en bas , un peu plus loin. 
La fenêtre de la chambre  donnait sur un petit jardin  clôturé. Idéal.

Apprenant que j’étais EHS grave, l’hôtelière m’avait  cependant demandé de ne pas débrancher le décodeur TV. Je l’avais fait  sitôt seule.

Alors que j’étais assise dans le lit ,  ce tir d’énergie-là, m’avait traversé la gorge . Histoire d’agrandir la famille des nodules accrochés  sur la thyroïde, sans doute. 
La seule chose dont j ‘étais sûre  à ce moment-là , c’est que l’énergie ne venait pas du décodeur TV de ma chambre.
Un peu avant 23h, les marches de l’escalier  proche avaient craqué.
«  mais , elle va m’entendre «  avait murmuré une voix plutôt  jeune et  vaguement inquiète .

La réponse « ferme-la «  avait du être faite par un geste.  Le verrou de la 4 avait claqué. Quelqu’un venait de s’ installer à côté  pour la nuit . Peu de temps après, les tirs avaient commencé, imparables,  quelque soit l’endroit : par terre dans l’entrée, par terre dans la venelle entre la fenêtre et le lit , par terre dans la salle d’O.


Comme à l’habitude, une projection de CEM qui agissait  en information  ( pour moi) sur les terminaisons nerveuses , semblait donner l’indication de mon déplacement  qui s’avérait de  court répit. Et les sensations douloureuses au cerveau reprenaient illico avec les tirs.
Vers 1h du matin, j’étais descendue dans ma voiture chercher des packs de gel pour empaqueter la tête à protéger , et avant de ré-intégrer le sol de la salle d’O, un peu moins exposé.
A partir du début des tirs, la détection avait été faite avec deux appareils synchros  , l’un avec une antenne directionnelle dirigée vers la 4, l’autre avec une antenne omnilog . 
Les moments et cadences de tirs se  révéleront,  à la lecture,  les mêmes sur les deux détecteurs/enregistreurs .
La détection montrée ci-dessus, est celle de l’appareil  avec antenne directionnelle vers la 4.
Au matin, j’étais la première et la seule à l’ouverture du petit déjeuner. Avant de partir , j’avais interrogé sur une présence dans la chambre  4. Le patron avait reconnu que la 4 était occupée.
«  Ce client m’a tiré dessus  toute la nuit, avec un radar »
«  Désolé » avait répondu le patron/escroc,  tout  en continuant de me tourner le dos,  et comme si c’était habituel ou anodin et , en plus,  normal que je paie pour ça.
Ces salves ressemblent à celles ( appelées rafales) produites par WALTI à Paris XV , POITEVIN à Saint Julien des Landes (85) , et  par mon voisin d’appartement  lors d’une  vaine tentative  de répit de 2 jours  à Lanester ….. entre autres.
A Lanester, l’appareil propulseur , ajouté chez ce voisin pour le court temps de mon séjour, ne pouvait avoir été mis qu’avec l’accord de la jeune directrice de l’endroit, et avec des arguments surement très persuasifs.
Là, dans ce petit hôtel de bord de route, seuls les patrons connaissaient mon nom et le n° de la chambre attribuée . Le mouchard de ma voiture avait sans doute servi à me localiser à ceux qui étaient venus débiter leur boniment pour se faire donner un accès à la chambre voisine de la mienne.
Après une nuit comme celle-ci, la tension monte à 16-3  ( constat par médecin), alors qu’elle avait réussi à être stabilisée à  un normal 13-7 .  Il y a parfois bien pire. Les acouphènes empêchent le cerveau d’entendre sa voix. Le visage est crispé. Le regard devient fixe. La capacité  d'attention , de mémorisation et de compréhension est proche de O.
Dans ces conditions, n’importe quel crétin peut vous vendre une bagnole qui ne correspond pas à vos besoins, à un prix qui n’est pas le sien  ( 700 euros en plus) , avec une fausse rubrique qui mélange tout  et incluant des accessoires qui ne se trouvent  même pas dans le véhicule. C’est ce qu’avait fait Baudry-Ford , quelque temps plus tôt.


et 
par example.



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