Poutine en prison

 

Poutine en prison

Par Andrei Martyanov − Le 4 mai 2022 − Source Reminiscence of the future

Ze à Macron :" je veux voir Poutine en prison. "

Macron : "c’est impossible, il ne viendra pas vous rendre  visite là-bas."

Encore un autre mème russe, qui est très proche de la vérité.

Dans le même ordre d’idées, comme je l’ai toujours dit ces dernières années, les bénéfices des exportations « énergétiques » dans le budget russe ne sont plus ce qu’ils étaient il y a 20 ans. Leur part est considérablement réduite. De même, tous les arrêts des importations d’énergie de la Russie par l’UE ne sont que des inconvénients pour la Russie, pour l’UE, c’est la mort. C’est si simple à comprendre, mais…

Mercredi, la Commission européenne a officiellement proposé une interdiction totale des importations de brut et de produits pétroliers russes d’ici à la fin de l’année, ce qui a fait grimper les prix du pétrole de plus de 4% dans les premiers échanges. Dans le cadre du sixième train de sanctions contre la Russie à la suite de son invasion de l’Ukraine, la Commission européenne propose désormais une interdiction totale des importations de pétrole russe, par quelque moyen que ce soit. Cette mesure devrait entrer en vigueur d’ici à la fin de 2022, afin de donner aux États membres de l’UE le temps de réduire progressivement leurs achats, a déclaré Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, au Parlement européen mercredi.

 

« Soyons clairs : ce ne sera pas facile. Certains États membres sont fortement dépendants du pétrole russe. Mais nous devons simplement y travailler. Nous proposons maintenant une interdiction du pétrole russe. Il s’agira d’une interdiction complète d’importation de tout le pétrole russe, par voie maritime ou par oléoduc, brut ou raffiné », a déclaré M. von der Leyen.

Le diesel a immédiatement grimpé en flèche et, fait remarquable, très visible car c’est déjà le cas, les États-Unis poursuivent et même augmentent leurs importations en provenance de Russie, tandis que l’UE sera maintenue au bord de la famine, au sens figuré comme au sens propre. À l’exception de la Hongrie, bien sûr, qui deviendra un pays très très riche, pour mon plus grand plaisir, car j’adorerais visiter la belle ville de Budapest et goûter à l’incroyable cuisine hongroise.

Andrei Martyanov

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

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