Il n'y a pas de bouton pour arrêter la production de protéines de pointe du vaccin
De : https://www.naturalnews.com/2022-08-10-mrna-wont-stop-producing-toxic-spike-proteins.html
UNE BATAILLE SANS FIN : Il n'y a pas de bouton pour arrêter la production de protéines de pointe
Mercredi 10 août 2022 par : SD Wells
Les partisans de l'ARNm voudraient nous faire croire que les enzymes du corps décomposent l'ARNm et s'en débarrassent, mais ce n'est pas du tout le cas. De nombreux scientifiques font également office de complices des industries pharmaceutiques, qui diront (ou liront à partir d'un script/téléprompteur) n'importe quoi pour vendre au public le vieux faux mantra de "sûr et efficace". Cependant, des recherches menées par des scientifiques de Harvard et du MIT et des biochimistes-biologistes moléculaires révèlent que les «vaccins» à ARNm pourraient altérer de manière PERMANENTE l'ADN génomique.
Si tel est le cas, alors quand les cellules humaines nouvellement altérées et modifiées arrêtent-elles de produire les prions protéiques collants, toxiques et imitant les virus qui provoquent des caillots sanguins, une myocardite et des troubles auto-immuns ?
Le CDC affirme à tort que les vaccins à ARNm n'interagissent pas avec notre ADN "de quelque manière que ce soit" et que nos cellules se débarrassent de l'ARNm peu de temps après l'utilisation des instructions de recodage
Les principales découvertes des chercheurs de Harvard et du MIT démentent les hypothèses du CDC sur les vaccins à ARNm, révélant comment les injections de thérapie génique peuvent probablement interagir avec l'ADN humain, de la même manière que le virus chinois lui-même, altérant de manière permanente l'ADN génomique. Les scientifiques ont déclaré que cette "transcription inverse" est plausible et "très vraisemblablement probable".
En d'autres termes, les enzymes peuvent convertir l'ARN en ADN (transcription inverse), et ce n'est pas rare, car plus de 40 % des génomes de mammifères ont cette capacité. Si tel est le cas, le CDC et les scientifiques du vaccin ont tort et ils mentent, et ils le savent.
Tout cela nécessite une étude plus approfondie et un examen attentif, mais les vaccins à ARNm ont été mis sur le marché à une «vitesse de distortion», donnant une fausse crédibilité à la soi-disant gravité de la grippe Fauci. Toute la « manie virale » a poussé la population américaine à recevoir des injections de thérapie génique qui peuvent causer des dégâts à long terme sur la santé, étant donné qu'aucune étude à long terme n'a jamais été menée avec l'ARNm, car il est tout nouveau et complètement expérimental.
Les réactions auto-immunes et les tempêtes de cytokines pourraient être implacables, entraînant des conséquences dramatiques et à long terme sur la santé
En 2012, une étude publiée dans la National Library of Medicine a révélé que l'intégration du génome viral peut entraîner d'horribles conséquences sur la santé de la cellule hôte, notamment la mort cellulaire, la mutagenèse par insertion et la perturbation des gènes. Pourquoi le CDC ne mentionne-t-il jamais cela lorsqu'il vante la technologie de l'ARNm maintenant ? Réponse : cela ne correspond pas au récit « sûr et efficace », et cela suggère que l'ADN humain est affecté et peut être affecté pour toujours.
En fait, les recherches manquent pour montrer que les protéines de pointe ne sont exprimées que pendant une courte période après la vaccination. Il n'y a aucune preuve empirique pour étayer cette théorie, même si les scientifiques du vaccin et le CDC la propagent, comme si c'était un fait, juste pour pousser la vaccination de masse contre le COVID-19.
De plus, la question reste ouverte de savoir combien de temps les instructions d'ARNm synthétiques pour les cellules humaines leur ordonnent de continuer à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ils peuvent persister à l'intérieur des cellules pour toujours (jusqu'à la mort précoce du vacciné).
Pour couronner le tout, les scientifiques soupçonnent que ces cellules nouvellement mutées avec des instructions d'ARNm produisent de l'ARN qui "reste BEAUCOUP PLUS LONGTEMPS dans la cellule que l'ARN viral" et plus longtemps que l'ARN que nos cellules produisent normalement pour la production normale de protéines.
Cette "longévité accrue" de l'ARN augmente la probabilité qu'il soit éventuellement converti en ADN, ce qui contredit et démystifie complètement la théorie du CDC selon laquelle la production de protéines de pointe commandées par l'ARNm est de courte durée. Ajoutez à ce chaos le fait que l'ARNm du vaccin est également conçu pour être PLUS efficace pour être traduit en protéine, ce qui signifie que les effets négatifs pourraient se produire beaucoup plus souvent et être plus prononcés à cause de la mutation du gène induite par le vaccin par rapport aux effets du virus. .
Cela signifie que les cellules humaines pourraient produire indéfiniment des prions toxiques, ce qui obligerait le système immunitaire à rester dans un état de combat ou de fuite permanent. Cela mettra le corps à rude épreuve et causera sûrement des dommages pour la santé et une durée de vie raccourcie, si cela est vrai.
Les scientifiques MENTENT lorsqu'ils prétendent qu'il n'y a aucun risque de dommages à long terme pour la santé de la technologie de l'ARNm
Devons-nous tous simplement ignorer et oublier les crimes en série des géants pharmaceutiques alors qu'ils fabriquent et vendent le « médicament » le plus meurtrier sur terre : les vaccins ? Les injections de COVID-19 ne sont même pas des vaccins, mais on les appelle ainsi parce que la majorité des gens croient déjà aux mythes du « Saint Graal » de la médecine. Ces "injections de caillots" sont mal testées, mises sur le marché à la hâte, non approuvées par la FDA, assurées comme "sûres et efficaces", et tout cela de la part de monstres d'une "science" criminelle et de leurs complices de l'industrie pharmaceutique les plus infâmes qu'ait jamais vu cette planète.
Une injection létale d'un virus pas vraiment mortel a été imposée aux masses naïves en menaçant les gens par leur travail, en les effrayant avec une propagande scénarisée par MSM-CDC et en falsifiant les statistiques sur les décès dus au "COVID".
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