TORTURE au RADAR - 1' 10" pour retrouver le corps et viser la tête


Pour rentrer dans le parking , en voiture, il existe un rond point inévitable. L’un des harceleurs anonymes qui ne me lâchent pas d’un déplacement,  m’y attendait avec son  appareil photo et son excuse.
Dans la littérature anglo-saxonne qui explicite le harcèlement criminel en réseau, « l’excuse » caractérise  le ou les éléments utilisés par les harceleurs, pour faire croire à une situation normale et semer le doute chez leur cible. On trouve ce procédé basique de l’apparente normalité d’un geste ou d’une action,  dans tous les  mauvais  films  d’espionnage  .
Ici, « l’excuse » était la petite famille : compagne + deux inoffensifs minots. 
Le harceleur de service, dans ma ligne de mire,  avait fait la mise au point  de son appareil photo  quelques secondes avant mon passage. A mon approche, il avait brusquement  visé et photographié ma voiture arrivant de face . Comme par erreur. Il avait ensuite dans un second geste ostentatoire , pris une seconde photo ( ou fait semblant)  visant l’horizon lointain  de bord de mer  sans intérêt,  avant de   foncer à toute vitesse sur la plage  entrainant  femme et enfants  . 
Dans le harcèlement en réseau basique, ce procédé de la photo  par surprise est destiné
  • - à inquiéter la cible
  • - à diffuser dans un réseau de copains ou de quartier , la photo du véhicule et de la cible  à poursuivre et harceler, en essayant ainsi d’agrandir encore un peu plus le groupe des harceleurs inconditionnels.
Et pour ce qui est de  l’intérieur de mon appartement,  il y avait ceci, minuscule mais bien en évidence :

détail




Toutes les fenêtres de l’appartement étant fermées, un violeur de domicile , était bien entré par la porte. Comme d’habitude.
Ce petit sac  contenant une pile avait été volé plusieurs jours plus tôt , dans mon véhicule laissé dans le parking. Le véhicule avait été retrouvé ouvert, au matin. C’était la quatrième fois, depuis le début du mois.
La volonté locale  d’inquiéter ou d’angoisser en laissant le véhicule ouvert,  était manifeste. Là aussi.
En harcèlement en réseau de type mafieux, ce  type de dépôt d’objet anodin  , bien en évidence, est censé être porteur d’un message. Au choix, pour faire travailler l’imagination et/ou  induire des conclusions qui seront autant de fausses pistes d’explication. Le sens du message est, en fait,  dans le mental perturbé des crétins qui s’adonnent à ce jeu débile , faute d’intérêt dans leur vie ,  de tout  sens moral ou d’un élémentaire  respect des autres.
Les français  harceleurs au mental très perturbé , de toutes les classes sociales, s’ adonnent à ce jeu de groupe imbécile , avec une constance déconcertante.
Sachant que tous les appartements situés dans la colonne au-dessus du mien étaient vides, je m’étais allongée sur mon lit. Quelques minutes plus tard , il y avait eu du ramdam dans l’appartement du dessus n° 16.

Le crétin de service,  sans doute résident voisin,  y était même peut-être  entré avec son portable, sinon la détection de 200 µW/ m2 indique la mise en service d'un appareil , radar, antenne ou autre.



La fréquence radar de 1000 MHz ( 1 GHz) est en effet celle , pratique, qui peut  donner l'impression d'une fréquence de téléphonie.



Le tir dans mon cerveau avait été quasi immédiat. C’est souvent ainsi. Les criminels accros de torture de femmes, sont en embuscade permanente,  soit  à disposition en proximité et/ou par roulement,  pour mettre un appareil en fonction, dans l’attente de leur première poussée sadique d’adrénaline  grâce au tir effectué en cachette  vers  un être humain désigné à torturer avec un radar qui débitera des tirs.
Quelques jours plus tôt j'avais poussé la porte d'une gendarmerie pour porter plainte contre X pour tirs d'énergie au cerveau. 
" jamais entendu parler "avait été la réponse du pandore qui n'avait paru ni surpris, ni intéressé et nécessite manifestement un stage de mise à niveau.
Sauf si..cette torture est le fait de collègues ou copains à protéger plus que les victimes.
Puisqu'il est connu et constant que le harcèlement criminel en réseau se fait sans perdre de temps, caché sous les habits de la fonction ,  protégé par l'aura du métier  et avec les outils de travail mis à disposition et détourné à des fins personnelles. 
Les radars sont surtout les instruments de travail des policiers, gendarmes , militaires et autres pilotes de ligne. 
Or en cinq ans de plaintes renouvelées , aucune enquête n'a jamais été diligentée. Aucune policière ou gendarmette n'était venue en catimini , envoyée par son service, pour tester la véracité de  cette torture et de  ce crime .Bizarre , non ? 

Cet appartement, pour le moment sans box ADSL, semble sous surveillance constante par signaux électromagnétiques , si j’en crois les incessantes sensations de brûlures du cuir chevelu, du visage (sourcils, front, oreilles,  nuque) et des jambes ( genoux, chevilles, orteils) .
 Sous l'effet de ces signaux, le frigidaire réagit aussi par de soudains ronflements inquiétants.
Pour la nuit, j’avais voulu choisir mon lit . Grave erreur. Le canardage par tirs fulgurants m’avait vite fait migrer sur le sol du couloir. Pas mieux, après 20 ‘ de répit. 


A plus de 23 h, j’avais commencé à charger la console pour me fourrer dessous, en superposant 
  • - 2 plaques de fonte ( fond de cheminée) 
  • - 6 plaques d’aluminium, 
  • - 5 cms de plaques de caoutchouc synthétique, 
  • - 5 couvertures de survie pliées en 4 et 
  • - les oreillers et coussins du sommet  pour une épaisseur compacte d’environ 30 cms. 
Et , au bout d’une minute 10 en position allongée,  un tir fulgurant, représenté en détection seulement par ceci ci-dessous ,  m’avait atteinte  au centre du cerveau. Le tireur fou n’avait mis que  70 secondes pour trouver ma  nouvelle couchette et   m'atteindre  à la tête.

J’avais perdu connaissance. 
Ça aide à oublier la pourriture  mentale ambiante des faibles d'esprit et  des salauds  en bande organisée de ce pays  de tortionnaires au radar . Aussi.

Au matin, le lendemain de ce tir qui m’avait envoyée dans les  limbes , en attendant  que ce soit ad patres , j’avais émergé avec perte d’équilibre,  mal aux yeux, mal à la tête lourde comme un bloc de ciment , envie de vomir et  suicidaire .

D’autres fois, c’est plutôt trucidaire. Et ça ne dépend pas de mon libre arbitre .
Un jour, un flic, peut-être pour les aider, avait (peut-être, encore) fait semblant de me donner un conseil , en termes avoisinants ceux-ci :   A votre place , je feindrais la folie .
Pour faire plaisir à des fous assassins ?


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