Toxicité des hyperfréquences micro-ondes




Le texte ci-après est extrait d’un site commercial qui propose des évaluations ,  des détections et des protections contre les hyperfréquences de l’environnement. 



Ce texte a été proposé par une personne du groupe des individus ciblés  par le harcèlement électronique .  Cette personne fait partie des associations  ( ADVHER et FREE ACT-ARTICLE 3) qui regroupent , informent et défendent les IC ( Individus Ciblés par le harcèlement électronique ) 

Selon cette IC, le  présent texte  est destiné a rappeler les informations de base que tout individu ciblé ,  fragilisé par le harcèlement électronique , doit connaître et garder en mémoire, pour pouvoir analyser sa situation spécifique , en tenant compte d’abord ,  aussi et surtout  des conditions de son environnement. 



Comme suit : 

Jusqu’à récemment, seuls les rayonnements ionisants (X, gamma), et dans une moindre mesure les UV, étaient considérés dangereux. Ces rayonnements sont bien connus pour leurs effets destructeurs.  La peau bronze sous l’influence des UV et vieillit plus rapidement. Des cancers cutanés surviennent suite des expositions de longue durée. 

La communauté scientifique a mis 30 à 50 ans avant de reconnaître la dangerosité des rayons X et gamma. En 1943, Marie Curie meurt de leucémie, sans que personne ne fasse le rapprochement avec ses travaux sur la radioactivité. De nombreux radiologues meurent de cancer, avant que des mesures de protection soient enfin prises.

Aujourd'hui, l'histoire se répète avec les hyperfréquences pulsées. Des milliards de gens s'exposent sans précaution aux rayonnements micro-ondes des appareils de communication modernes : téléphones portables, téléphones sans fil d'intérieur DECT, antennes relais, systèmes de transferts de données (WIFI, WIFIMAX, bluetooth).


Le cancer du cerveau de Jean-Louis Servan Schreiber n'est pas arrivé par hasard (90% des cancers ont une origine environnementale). Jean-louis reconnaissait ne pouvoir se passer de téléphone portable. Comme beaucoup de ses contemporains, il passait plusieurs heures de communication chaque jour. 

La mort à 42 ans de Jean-Luc Delarue d'un cancer de l'estomac est un autre exemple des conséquences désastreuses de l'irradiation micro-onde. L'animateur portait sur lui un micro sans fil. L'appareil, caché sous sa veste et fixé à sa ceinture, émettait constamment des micro-ondes pulsées.

L'épidémie de cancers et maladies dégénératives (troubles immunitaires, accident vasculaire cérébral) a déjà commencée. L'irradiation électromagnétique par les hyperfréquences pulsées sera probablement le plus grand scandale sanitaire du XXI ° siècle. Les autorités sanitaires sont complices de ce génocide programmé. 
Quelques exemples pour mieux comprendre.

Mme W. professeur de physique, utilisait le téléphone sans fil d'intérieur (technologie DECT) et la téléphonie mobile 2G. A 47 ans, elle se plaint de violents maux de tête. Un scanner cérébral révèle un cancer du cerveau, du côté précisément où elle téléphonait. Elle est opérée en urgence pour l'excision de la tumeur. Une radiothérapie et une chimiothérapie suivent. Très diminuée physiquement, elle revient dans son habitation après une année de convalescence et rééducation. Son état finit par se détériorer et elle décède quatre ans plus tard à l'âge de 51 ans.

Mme K. était notre médecin référent. Un téléphone DECT et un émetteur WIFI irradiaient 24H/24 son bureau. Moins de 5 minutes d'exposition me donnait de violents maux de tête. En dépit de mes avertissements répétés, elle ne change rien à ses habitudes. Les années passaient et je m'étonnais toujours de la bonne santé apparente de Mme K. L'inévitable finit par arriver. Elle déclare un cancer inopérable et décède le jour de Noël à l'âge de 39 ans.


Depuis une dizaine d'années, de nouvelles fréquences artificielles, les hyperfréquences pulsées, ont envahi notre environnement : réseaux de téléphonie mobile (GSM, UMTS, LTE), téléphones d'intérieur DECT, systèmes de transferts de données (bornes WIFI, WIMAX, Bluetooth), radars et répéteurs paraboliques, fours à micro-onde, TNT, souris et claviers sans fil, etc...).

De nombreuses études scientifiques confirment la nocivité des ondes électromagnétiques, à des valeurs des centaines de fois inférieures aux normes internationales.

Plusieurs facteurs influencent la toxicité des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées : intensité du champ électrique, temps d’exposition, énergie transportée, énergie absorbée, caractère pulsé.

  • Champ électrique (V/m).
La mesure du champ électrique détermine la puissance, l"amplitude ou l’intensité du rayonnement. Le champ électrique peut être mesuré en mode peak et en mode RMS. Seule la mesure en mode peak est valable pour évaluer les fréquences pulsées.
Les experts indépendants ont fixé le seuil de sûreté à 0,1 V/m, seuil à partir duquel des effets biologiques commencent à être observés.

L'intensité du rayonnement émis par un téléphone portable dépend du DAS et de la qualité du réseau. Le DAS est le débit d’absorption spécifique propre à chaque téléphone portable. 

C’est l’énergie maximale exprimée en watts/kg. La valeur maximale de DAS est de 2W/kg pour les téléphones GSM et 0.5W pour les téléphones UMTS. Le DAS indique donc la puissance maximale émise par un téléphone. Plus le DAS est bas, moins le téléphone rayonnera, mais aussi moins bonne sera la réception.

S'il convient de privilégier les téléphones dont le DAS est le plus faible, se limiter à ce seul critère est extrêmement réducteur. L'unité DAS est obsolète. L'important est la qualité du réseau. En effet, si la réception est mauvaise, le téléphone augmente automatiquement sa puissance pour communiquer, et l'irradiation augmente proportionnellement.

Le choix du réseau et de l'opérateur sont donc essentiel pour limiter l'irradiation. 
Le rayonnement des antennes relais varie en fonction du trafic, avec des valeurs maximales à 18H et presque nulles vers 2-3H du matin.
  • Temps d’exposition.
Cet aspect est fondamental pour comprendre la nocivité des faibles doses. L'exposition à un rayonnement faible sur un temps long est aussi toxique (voire plus) qu’une exposition forte sur un temps court.

L'irradiation est proportionnelle à la quantité d'informations téléchargées et au temps d'exposition. Il est déconseillé d'utiliser un téléphone 3G ou 4G pour charger des pages Internet et regarder des vidéos. 

Pour les bornes WIFI et la téléphonie DECT, l’irradiation est continue (24H/24). L’effet biologique est donc maximal. En définitive, aucune dose n’est inoffensive et les scientifiques indépendants parlent de seuil maximal acceptable. C’est le principe ALARA des Anglo-saxons (as low as reasonably acceptable).

  • Energie transportée.
L’énergie photonique transportée dépend de la fréquence porteuse. Plus la fréquence est élevée, plus l’énergie est grande et plus grands seront les effets biologiques.
Pour tenir compte de ce facteur, les valeurs limites internationales diminuent lorsque la fréquence augmente.

Les ruptures d’ADN sont observées avec les micro-ondes pulsées. L’étude internationale Reflex en a définitivement apporté la preuve.

Pr Franz Adlkofer, coordinateur de l’étude internationale Reflex, a constaté que les signaux UMTS (2 GHz) sont plus dangereux que les signaux GSM. 
Des coupures d’ADN apparaissent à seulement 1/40ème (2,5%) des valeurs limites. Cela s’explique par l’énergie transportée et la quantité d'information plus grande véhiculée par la 3G. 
En pratique, les téléphones 3G/UMTS) ont leur puissance limitée à 0,5W (à comparer à la puissance de 2W d’un téléphone 2G/GSM). 

La fréquence de résonance de la molécule d’eau est 2,5 GHz Cette propriété est utilisée pour chauffer l’eau avec le four à micro-onde.

Les rayonnements hyperfréquences utilisés par les technologies modernes de communications et de transferts de données sont très proches de la fréquence de résonance de l’eau. Il faut préciser que les tissus vivants sont constitués de 90% d’eau. De nombreuses molécules d’eau entourent l’ADN cellulaire. Par conséquent, toute agitation moléculaire à la fréquence de résonance de l’eau déstabilise l’ADN intracellulaire. Toutes les fréquences situées à proximité de 2,5 GHz sont donc potentiellement toxiques.

  • Energie absorbée.
L’énergie absorbée dépend du rapport entre la longueur d’onde et la longueur du corps traversé. 
Ainsi pour la fréquence de 50 MHz (téléphones sans fil analogiques d’intérieur, CT1), la longueur d’onde est de 6 m. Si l’on prend 0,30 cm pour valeur de l’épaisseur du corps humain, on obtient le rapport suivant : 6/0,3 =1/20(5% de l’énergie transportée).

Concrètement, cette fréquence est 20 fois moins absorbée qu’une fréquence de 1 GHz.
C'est l'explication de l'innocuité des ondes radio (PO, GO, OC, FM). Ces ondes traversent le corps humain sans être absorbées.

En réalité, la vitesse varie en fonction du milieu traversé. A 900 MHz (téléphonie GSM), la longueur d'onde est de 33 cm dans le vide et de 3,5 cm dans le corps humain. L’énergie des rayonnements micro-onde est donc bien absorbée. A 4,5 cm de profondeur, on ne trouve plus que 1% de la puissance incidente. Pour une fréquence de 900 MHz, la majeure partie de l'énergie est absorbée dans les premiers centimètres.

Plus la fréquence devient élevée, plus l'absorption se rapproche de la surface. Les champs électromagnétiques de fréquence supérieure à 10 GHz sont reflétées ou absorbés à la surface de la peau. La quantité d'énergie qui pénètre dans les tissus sous-jacents est très faible (pas d'effet biologique).

  • Caractère pulsé.
Les rayonnements utilisés par la radio, la télévision, les anciens téléphones sans fil d’intérieur (type CT1), ainsi que par les premiers téléphones mobiles étaient de type analogique, c'est-à-dire que le signal est continu. 

Le signal est modulé en fréquence (FM) ou en amplitude (AM) pour transmettre des informations. Le rayonnement est continu, c'est-à-dire non pulsé. Observé à l’oscilloscope, on peut voir le rayonnement onduler gentiment.
Il n'en est pas de même des fréquences utilisées par les technologies modernes (GSM, UMTS, LTE, WIFI, WIMAX). 

Ces ondes sont pulsées à basse fréquence avec des montées en puissance rapides et courtes. L’émission est discontinue. Les pics d’amplitude sont à l’origine de la forte toxicité des hyperfréquences pulsées, nocivité d’ailleurs souvent niée par les opérateurs. Cette notion est fondamentale pour comprendre la nocivité des micro-ondes pulsées.

Toutes les hyperfréquences pulsées à basse fréquence (fréquences ELF de 3 à 300 Hz) produisent des effets biologiques sur les êtres vivants.

Les ondes WIFI sont pulsées à 10 Hz (fréquence proche de celle des ondes émises par le cerveau). A cette fréquence s’ajoutent des signaux utilisés pour transmettre les données (toutes les millisecondes). Pour constater les effets de la WIFI, il suffit de placer une borne WIFI allumée sous votre lit. L’insomnie est garantie.

L'émission hyperfréquence d'un téléphones DECT est pulsée 100 fois par seconde.

La basse fréquence associée au GSM (téléphonie mobile) est de 217 Hz.

Les antennes relais comportent jusqu’à 8 canaux, ce qui multiplie d’autant les pics d’émission (maximum de pulsation basse fréquence 8X217= 1736 Hz).

L'article suivant explique, en plus ,  pourquoi les hyperfréquences pulsées sont cancérigènes.






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