Articles

Affichage des articles du septembre, 2017

TORTURE au RADAR - 1' 10" pour retrouver le corps et viser la tête

Image
Pour rentrer dans le parking , en voiture, il existe un rond point inévitable. L’un des harceleurs anonymes qui ne me lâchent pas d’un déplacement,  m’y attendait avec son  appareil photo et son excuse. Dans la littérature anglo-saxonne qui explicite le harcèlement criminel en réseau, « l’excuse  » caractérise  le ou les éléments utilisés par les harceleurs, pour faire croire à une situation normale et semer le doute chez leur cible. On trouve ce procédé basique de l’apparente normalité d’un geste ou d’une action,  dans tous les  mauvais  films  d’espionnage  . Ici, « l’excuse » était la petite famille : compagne + deux inoffensifs minots.  Le harceleur de service, dans ma ligne de mire,  avait fait la mise au point  de son appareil photo  quelques secondes avant mon passage. A mon approche, il avait brusquement  visé et photographié ma voiture arrivant de face . Comme par erreur. Il avait ensuite dans un second geste ostentatoire , pris une seconde photo ( ou fait semblant

CHOCS dans le CERVEAU- criminalité de psychopathes

Image
Pour des internautes qui tomberaient sur ce blog ou cet article par hasard, on peut rappeler que ce qu’on désigne par  WiFi  ambiant, ne provoque pas de chocs violents et douloureux  au cerveau. Ce WiFi-là est  celui qui s’impose à notre environnement et  permet des connexions à partir   des centres commerciaux, MacDo , bords de mer ou autres médiathèques . Tout le monde peut l’utiliser  facilement , et aussi  le détecter avec des appareils conçus pour cela .  Ce WiFi est indolore pour des personnes non sensibles à ses propriétés et inconvénients évidents.  Par contre, une personne EHS (Electro Hyper Sensible) et selon la gravité de son cas ,  ressentira  souvent le WiFi ambiant  par une première ou soudaine vague impression de malaise , une lourdeur anormale du cerveau qui semble s’embrumer, une envie de se gratter  une oreille, le cuir chevelu, le cou, un poignet……tous les endroits où les terminaisons nerveuses sont plus ou moins à fleur de peau. Sans la voir, une personn

Cuisson de femme à l'électricité

Image
« Vous ne resterez pas «   avait claironné le joyeux diablotin-déménageur « Si, Si «   «  Vous ne resterez pas » avait-il répété, sûr de lui. Et il en avait profité pour jouer du couteau. Apparemment c’était permis ou suggéré. Quelqu’un ou plusieurs  lui avait donné le mot de passe «  Personne à harceler, sans danger . Dégradations souhaitées». Alors il avait fait éclater ce qu’il avait pu , avec son couteau de plongée porté à la ceinture, arrachant dans la foulée une plaque de contre plaqué qui maintenait un meuble en équilibre et jetant sur le sol des petites choses restées dans des tiroirs. «  Je n’aime pas ça «  avait dit son collègue «  Moi j’aime beaucoup » avait répondu le diablotin, qui n’avait pas oublié de jouer la comédie sirupeuse du service  de déménagement accompli, au moment du pourboire. Alors, rester ou ne pas rester ? Accepter de cuire ou refuser d’être cuite et torturée par les manigances de deux ou trois  jeunes ou vieux fous mal finis

Les salves de la 4

Image
Ma nuit  de SDF précédente , passée  sur  mon siège de voiture  presque couchette ,  avait été de nouveau agitée. Des cinglés avaient appelés le mouchard de ma voiture qui,   en réponse m’avait envoyé des décharges dans la tête.  D’autres  étaient sortis  de chez eux à une heure et deux heures du matin , en quête d’une cible signalée, pour actionner ce qui ressemblait à des téléphones choqueurs . Le plus motivé  et acharné avait fait plusieurs appels du mouchard du véhicule  et autant de décharges  électriques dans mon cerveau , pour réussir à me trouver en repassant lentement plusieurs fois et de plus en plus près. Un autre de  ces tarés sadiques avait fini par se faire coincer sur le terrain vague où je m’étais endormie. Il utilisait une voiture de service pour faire du harcèlement à plus de 2 h du matin ! EK 978 RP (44) Pour mémoire de cet état de SDF, il suffit de rappeler que j’avais été jetée à la rue par Catherine BARRAT ,   vice-présidente du TGI des Sables d