Criminalité et manigances
Photo Wikipedia
Les anecdotes de ce blog sont un schéma possible de compréhension du harcèlement en réseau et de la criminalité confiés en voisinage.
Ici le protagoniste qui se veut le correspondant principal de l'organisation criminelle à mes trousses, a fait un échange de part d'héritage avec sa soeur pour devenir propriétaire dans l'immeuble et , croit-il, incontournable.
Il possède des copies de clés de tous les studios du 6ème étage où il entre et se conduit en propriétaire absolu de tout ce qui ne lui appartient pas.
Pour mémoire :
A cette adresse du 22 rue Ernest Renan, et depuis 7 ans maintenant , J-J WALTI a un but désigné par l'organisation criminelle qui l'emploie : me faire partir de chez moi .
C'est actuellement son occupation principale et qui mobilise toutes ses ressources mentales et pratiques de nuisance.
C'est un habitué mais qui semblait avoir procédé jusqu'alors , presque par accident, faisant fuir des jeunes femmes effrayées par ses actes d'autorité et ses bizarreries.
Seule exception notoire , celle d'un commerçant noir sur lequel il s'était acharné pour une histoire de cabinet ( WC) sali. Le commerçant avait quitté sans porter plainte . Et pour cause : il vendait de la sécurité.
Dans mon cas, il s'agit de harcèlement en réseau , devenu criminalité. Le 1er responsable était son mentor désigné , De Certaines dont l'épouse avait , selon J-J Walti, fait des dossiers contre moi , pour la police.
Comme sous l'occupation allemande.
Le plus étrange étant que la police prenait ce type de dossier, venait sur place dans l'immeuble faire du boucan et me convoquait au commissariat pour des problèmes relevant des parties communes de l'immeuble : histoire de cabinet ( WC) aussi .
Plutôt lâche , malgré tout, pour arriver à ses fins J-J Walti avait mis en avant , les uns après les autres tous ceux du voisinage qui avaient succombé à son charme persuasif de terroriste.
Mon dernier voisin de droite , locataire de Mr Besagni, était l'élève Frenove. qui avait peut-être berné ses parents dans une premier temps. Il avait servi de relais à la criminalité, mise en place par Walti/De Certaines . Cette criminalité par ondes pulsées en voisinage vers ma chambre vise mon cerveau.
Le maintien sur place de cet élève , dans ce contexte criminel, tend à prouver que sa scolarité n'est pas la préoccupation majeure de sa famille.
C'est en effet de ce studio que mon réseau électrique est utilisé pour surveiller mes connexions et le contenu de mon ordinateur ou mes impressions.
L'élève Frenove est un spécialiste d'électronique et d'ondes.
Le dernier tir en provenance de ce studio date d'hier soir. Il semblerait qu'il s'agisse d' un tir au laser et sans doute fait lors d'un passage de J-J Walti dans le studio, puis reparti ensuite dans son appartement du 5ème ( en-dessous) pour continuer et avec micro-ondage moyen en prime.
Ici, comme autrefois chez Marc Levystone, il faut noter également l'utilisation en voisinage d' un logiciel qui provoque des douleurs .
La nuit dernière, comme il y a quelques années au 81 rue du Fbg St Jacques, puis à Vannes, il s'est agit de douleurs à l'anus.
D'autres fois , ce même logiciel, avec ondes interposées, inflige des douleurs aux pieds, des brûlures des jambes ou des douleurs qui pénètrent au niveau du pavillon de l'oreille . Ces manigances sont toutes également destinées à empêcher le sommeil. mais aussi à faire croire à une manipulation à distance du cerveau.
Ce qui n'empêche pas.
Mais, ici, il est évident que ce logiciel pour torture à été confié en voisinage à un psychopathe/criminel , jouissant même d'une immunité pénale comme l'avait indiqué un courrier en provenance supposée du bureau du Procureur.
"Les faits dont vous vous êtes plaint ont donné lieu à une mesure décidée par une autre administration que celle de la justice . En conséquence le parquet estime qu'il n'est pas utile de faire juger cette affaire "
"Les faits dont vous vous êtes plaint ont donné lieu à une mesure décidée par une autre administration que celle de la justice . En conséquence le parquet estime qu'il n'est pas utile de faire juger cette affaire "
Il s'agissait d'une plainte pour menace de mort répétée 3 fois par J-J WALTI et enregistrée. Le support audio avait été envoyé au procureur avec ma plainte , qui a donc été sous-traitée par la justice française à une autre administration.
Il n'a jamais été répondu à ma demande de désignation de cette autre administration.
Il faudrait donc comprendre qu'il s'agit, alors d'une criminalité organisée ou protégée par certains fonctionnaires de l'Etat qui invalident ou font assassiner des citoyens dans leur lit par des gamins et des vieux immatures .
C'est aussi ce que le laxisme d'une certaine police tend à indiquer.
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