TORTURE ici et ailleurs
Pour mémoire, la torture mentionnée dans cette histoire criminelle consiste à priver de sommeil et infliger de la souffrance à distance , de façon intentionnelle et répétitive, par ondes pulsées interposées.
Il faut y ajouter la destruction également intentionnelle , par ondes pulsées à distance, d'organes et de fonctions vitales . Cela semble destiné à accélérer le vieillissement de l'organisme : les yeux, les oreilles, le cerveau, la rate, les poumons, les reins sont atteints par brûlures internes et épuisement du au phénomène de résonance forcené , provoqué par les basses ou hautes fréquences * (1)
Cette torture est une torture sans contact ,
Les preuves de cette torture , quand elles existent, sont niées, oblitérées , volées et par la police même . Ces preuves peuvent être aussi transformées par des médecins spécialistes, complices à la déontologie vacillante, en prétendus troubles de comportement de la victime.
Cette torture existe en FRANCE. Elle est couramment infligée dans TOUTES les régions de FRANCE, par des groupes constitués qui possèdent le matériel ad hoc sur place ou qui le transportent dès que leur victime se déplace.
Ici, c'est au 22 rue Ernest Renan où quelqu'un continue de voler mon courrier dans ma boite à lettres, et de l' ouvrir pour le lire avant moi. Le même encore, viole systématiquement mon domicile où il salope et se sert sans façon .
Ce même quelqu'un , continue par ailleurs de s' éclairer branché sur les parties communes . Ce quelqu'un habitué à violer les droits de ses voisins , est aussi habitué à voler tout ce qu'il peut.
Il s'agit là de harcèlement en réseau dans sa forme crapuleuse . Ce comportement délinquant et crapuleux se décline ensuite dans le sadisme jusqu'à la criminalité . Cette criminalité consiste à infliger une souffrance intentionnelle par ondes pulsées à travers les parois.
Ici encore, au 22 rue Ernest Renan, une conseillère syndicale continue d' annexer les parties communes de l'immeuble par multiplications de ses pots de fleurs dans la cour.
" Personne ne se plaint " disait-elle, piétinant ainsi allègrement la loi sur la copropriété et le règlement de copropriété…
Cette dame , au service du syndic, affiche aussi , comme les autres , dans le hall d'entrée, toute information signée de sa main.
Et ce sont ces gens-là qui m'avaient fait convoquer par des policiers du commissariat pour "encombrement des parties communes" * ( 2) et "affichage sauvage".
Et des policiers , leurs collaborateurs, y avaient consacré deux fois une heure de temps de commissariat, en propos insultants, menaces et intimidations diverses . Exception faite pour la dernière convocation.
Ceci est un exemple de harcèlement de proximité en réseau qui mène , par laxisme ,consensus et participation de certains fonctionnaires, à la criminalité décrite dans ce blog.
Ceci est un exemple de harcèlement de proximité en réseau qui mène , par laxisme ,consensus et participation de certains fonctionnaires, à la criminalité décrite dans ce blog.
C'est aussi à cette adresse que le même quelqu'un crapulo/criminel volontaire avait un jour glapi :
" Je vais te tuer" .
Il se prétendait alors employé de l'armée * (3) . Plus tard, il mentionnera aussi un droit, donné par ses patrons , à de nouvelles brutalités physiques * (4) .
Ceci ci-dessous correspond à une détection faite à cette adresse , au moment d'une brusque lévitation du bassin sous l'effet d'un tir d'ondes venant de l'appartement WALTI/CHARLOT, juste en dessous de mon lit.
Il y a quelque temps, les tirs d'ondes en provenance de l'appartement du dessous , faisaient gigoter l'épaule et le bras forcé par l'énergie dirigée propulsée , à un début de quenelle imposé.
Ailleurs , c'était par exemple à 300 kilomètres au sud ouest de Paris , en bord de mer .
La mobilisation des hordes de guetteurs comme celui ci-dessus, permettait de suivre mon véhicule jusqu'à la nuit .
Cela semblait destiné à faciliter la focalisation des tirs d'ondes vers ce même véhicule quand transformé en chambre pour la nuit . L'appareil propulseur d'ondes , une fois correctement configuré sur une distance, débitait alors ses tirs à toute allure .
Chaque déplacement nocturne du véhicule était rapidement accompagné d'un suivi. Ce qui indiquait aussi une information retour , de la cible vers l'appareil , et couplée à une surveillance soit humaine soit par alerte sonore de l'appareil.
Car il y avait systématiquement , à cet endroit, une re-adaptation des tirs d'ondes du matériel de torture.
Là, à 300 kms de Paris , un nouvel élément avait fait sa re-apparition : la cuisson des plantes de pied.
Les premières cuissons de plantes de pied avaient été faites au 22 rue Ernest Renan. * ( 5 ) à une époque de micro-ondage intense .
Ici, dans ma voiture , le micro-ondage provenant du dessous semblait plus improbable et n'était , de toutes façons , pas détecté.
Cela incitait à penser à l'utilisation éventuelle d'ondes scalaires. * (6)
Ce type de cuisson provoque une sensation de brûlure violente, impossible à calmer une fois la douleur installée
Il s'agit, bien sûr d'une méthode complémentaire de privation de sommeil par empêchements de l'endormissement ou réveils brusques douloureux.
Dans la journée du dimanche 2 novembre , l'immeuble " Pierre et vacances " des Sables , avait ses portes ouvertes. L'accueil était fermé, l'éclairage minimal.
J'en étais sortie en courant sous l'effet d'une sensation connue et insupportable de pincement/brûlure d'un nerf du pied . Juste à temps pour voir le 4x4 qui stationnait devant l'entrée moteur allumé , détaler à toute allure. L'arrière du véhicule montrait ceci.
Corse ou pas ou corse surtout, le conducteur à chapeau de ce véhicule venait de déclencher une douleur devenue habituelle.
Cette sensation de douleur était rangée dans la case " repérage de cible avant matraquage d'ondes au cerveau". Elle était systématiquement utilisée au 22 rue Ernest Renan, depuis plusieurs semaines.
Ce qui fait bien penser à un logiciel paramètre, couplé à un générateur/propulseur d'ondes. Peut-être simplement un portable un peu sophistiqué.
Encore ailleurs, en pleine campagne cette fois , l'aérodrome le plus proche était à 5 kms, et l'antenne relais , perchée sur son château d'eau était à environ 2 kms.
Les deux premières nuits y avaient été presque supportables. Les CEM stables étaient détectés régulièrement ainsi. L'utilisation d'une ou deux fréquences supplémentaires provoquait à chaque fois un sifflement zappant
Ce sont ces sifflements d' ondes sonores qui privent de sommeil dans la douleur du cerveau et de la cage thoracique.
Ce calme relatif avait vite cessé .
Ce calme relatif avait vite cessé .
Allongée sur mon lit en plein près-midi , j'avais été comme coupée en deux par une lame d'acier chauffée. Clouée sur mon lit par un tir violent d'ondes brûlantes qui coupaient le souffle. J'attendais que le coeur lâche enfin. Chez des trappistes.
Et la nuit avait été à l'avenant . Un vrai supplice . Avec cette fois, des ondes sonores violentes détectées ainsi :
Le spectre des fréquences utilisé allait de 1500 MHz à 4000 MHz.
Les valeurs CEM très faibles , montrent qu'il ne s'agit pas de micro-ondage.
Pour une nuit suivante , j'avais migré dans une chambre au sous-sol . La détection avait donné ceci qui ressemblait à un mix micro-ondage + ondes sonores :
et
Pour la dernière nuit dans cette abbaye accueillante et presque déserte , j'avais changé de chambre 3 fois . A chaque fois poursuivie mais surtout atteinte par les tirs d'ondes sonores qui privent de sommeil dans une souffrance innommable.
Au matin , sans bouger l'appareil détecteur , avec seulement une pression sur un bouton ,l'enregistrement avait été passé de RF ( radio fréquences)
et
vers électricité , montrant ceci (199 v/m)
et
vers électricité , montrant ceci (199 v/m)
Le matériel de torture avait très vraisemblablement été introduit dans l'abbaye . Il était , sans doute aussi , commandé à distance.
* (1)
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