Copropriété- représailles- torture
Ceci est une partie commune inaliénable de la copropriété du 22 rue Ernest Renan, et aliénée par les bassines de fleurs d' une copropriétaire, membre du conseil syndical de cet immeuble.
Ce serait, paraît-il pour assurer la confidentialité de l'appartement.
Il existe un moyen , pratiqué par tout le monde : un film transparent collé sur les vitres.
Le syndic de l’immeuble est Monsieur J Charpentier .
Monsieur Charpentier envoie la publicité de son agence commerciale avec les charges de copropriété. Timbre payé par les copropriétaires.
Il y a deux ans , dans cette copropriété , une proposition de vote avait été faite. Elle devait permettre d' enclencher le processus par étapes, de vente ou ré-affectation de la loge de l'immeuble prévue libérable. Cette proposition de vote, avait été refusée de vote par le président de l’AG.
La question 16 de la présente convocation de l’AG 2015 reprend ce sujet en essayant dangereusement de brûler les étapes.
En effet, depuis 2009 , et peu de syndics l’ignorent , la ré-affectation des loges de gardiennes en local à vélos et poussettes, relève à Paris d’un règlement municipal.
Ce règlement oblige à l’obtention d’une autorisation administrative préalable avec compensation par création d’une surface d’habitation , ou rachat de droit.
Ces dispositions sont d’ordre public. Elles ne prévoient aucune dérogation. Leur non respect relève du pénal.
Le 8 avril au soir les copropriétaires venaient d'en être avertis par écrit.
J'avais alors regagné ma voiture garée rue Ernest Renan, à quelques mètres de l'immeuble, pour m'y étendre, côté siège passager, proche du trottoir.
C'est la petite grise de la photo.
Et vers 21 h SCHLAK . un tir d’onde brûlante m’avait traversée de la tête au pied . L'onde avait déclenché une douleur de pincements sur un nerf du pied .
Sans être expert en balistique n'importe qui pourrait dire que ce tir d'ondes était fait à l'oblique .
Et re-SCHLAK immédiatement Avec mon nerf énervé, j'avais jailli de l'auto , appareil photo en main... et faisant fuir une silhouette de la fenêtre latérale de la bow window du 3ème étage
La lumière de l'appartement avait été éteinte illico.
Cet appartement du 3ème est celui de la famille Certaines.
Le chef de cette famille est la président du conseil syndical de l'immeuble , co- responsable de la convocation de l'assemblée générale des copropriétaires et .....du projet de vote hors la loi de l'année
Manifestement contrarié par mon intervention, qui mentionnait les obligations légales de la copropriété , il avait sévi ou fait sévir par un sbire.
Seulement contrarié. Ça suffit en France à certains pour se donner le droit (protégé ) à torturer et même de tuer, comme l'avait écrit son homme de main qui l'appelle « patron »
Il y a de nombreuses années , un individu , concurrent de mon père, lui avait fracassé la boite crânienne , faisant gicler la cervelle sur le talus.
Par jalousie.
Il n'avait jamais fait de prison.
Les individus nommés dans cette actuelle mienne histoire, m'ont torturée et continuent de le faire , par des souffrances volontairement infligées, jour et nuit, depuis 34 mois.
Ces individus ne supportent simplement aucune contrariété.
Dans mon cas, tes tirs d'ondes de Walti et autres , dans la nuque et la cage thoracique ont brûlé le cerveau et la glande thyroïde.
Les tirs d'ondes de Walti et autres ont endommagé volontairement l'ouïe, la vue , la santé.
Tout comme VOIX autrefois , WALTI et confrères maintenant , sont exemptés de pénal . Très officiellement. Le parquet l'avait écrit avec beaucoup d'assurance d'impunité. Aussi.
A travers la fin tragique de mon père et l'immunité pénale ambiante , et ce qui va se passer ici, on voit très clairement que
la FRANCE ne change pas .
La FRANCE est un pays stable.
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