Tirs du soir au laser (probable)
Cette nuit-là , comme souvent, la privation de sommeil avait superposé deux méthodes
- - des tirs fulgurants/chauds
- - des zappings
Le détecteur/enregistreur utilisé s’enclenche toutes les dix secondes . Les tirs semblaient faits dans l’intervalle de ces 10 secondes. Comme si l’appareil flingueur entreposé dans un appartement au-dessus était paramétré en intégrant cette information. Ce qui est plausible.
En effet au retour de sa vérification faite par le fournisseur étranger , mon appareil détecteur avait trainé deux jours de trop dans les services du transporteur . Il m’était , en plus, parvenu avec une étiquette du transporteur qui indiquait seulement mon prénom. Pas de nom de famille. C’était, bien sûr, censé enclencher de la suspicion et des interrogations pertes de temps avec le dit transporteur.
Pour cette nuit-là donc, en recherche de repos et de protection j’avais inauguré ceci, en sus des protections habituelles fixées sur la boite crânienne : dormir par terre au milieu des deux lits avec tout un barda de protection de natures différentes :
Soit environ 70 cms de matériaux divers. Pour rien. Mais pas tout à fait. L’opérateur ou sa machine du dessus s’était, en effet, énervé (e) et avait multiplié les tirs augmentant aussi l’intensité. Ce qui avait permis cet enregistrement , même s’il n’est pas spectaculaire :
FP = fréquence porteuse
Colonne N = 900 MHz . L’heure correspondante est celle des tirs ressentis et enregistrés
colonne W = 1,8 GHz . Les ajouts des fréquences 1,5 et 1,8 GHz avec (souvent) légère augmentation d’intensité détectée correspondent à des zappings ressentis à travers toutes ces épaisseurs.
On sait, par divers textes , dont celui de Julianne McKynney *(1) que des miroirs bloquent certains tirs de laser.
Celui de la photo avait été ajouté après 22H 33 .
Et, ce qui correspondait sans doute au tir suivant avait donné un « plock » et même un bruit de voix. Comme s’il y avait eu un retour d’énergie inattendu vers l’expéditeur.
Le reste de la nuit avait été sans tirs fulgurants Seulement ( ?!) avec des zappings à partir de 3h du matin.
Pour la nuit suivante , les miroirs avaient été intégrés à l’échafaudage de départ.
Mais l’organisation criminelle locale , dédiée et spécialisée dans l’élimination des citoyens dans les appartements qu’elle leur loue , avait tout prévu et changé sa stratégie ou ses moyens.
Les miroirs s’étaient révélés inutiles.
Une nuit suivante , les tirs venaient également de l’appartement du dessous. Cela avait été décelable par une méthode empirique . L’ajout de protections en fonction de la provenance des parties du corps atteintes et l’atténuation de la douleur qui en résultait.
Ainsi, soit ces autres voisins-là , participaient de façon aléatoire. Soit leur appartement ou leur matériel était utilisé pendant la nuit.
Cela ( le fait que cela existe et qu’on le dise) est aussi destiné à se faire de nouveaux ennemis et correspond au slogan des services spéciaux et de leurs amis « ne rien faire, ne rien laisser faire, tout faire faire « et surtout par la cible ! …. mais qui n'a pas d'autre choix que tenter de prouver ce dont elle se plaint.
Cherche des amis
Dessin de Voutch
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