Tirs d'énergie dirigée en clinique


La convocation  à la clinique était pour 9 h. Comme le lit n’était pas prêt, j’avais poireauté  70 minutes dans le hall, avant d’être envoyée au 3ème et dernier étage. C’était une chambre à deux lits. Sans supplément.

Au bout d’un moment, une aide-soignante était arrivée les bras encombrés de vêtements , de paquets et de béquilles. C’étaient ceux de ma bientôt-voisine, encore en salle de réveil.
L’intervention qui me concernait avait été rapide, et faite sans anesthésie générale.
Avec une légère hypothermie à 36.3°, j’aurais dû être éligible pour un repas chaud à midi
Niet . Ce serait un sandwich . A faire soi-même. Avec une fine tranche de jambon  d’un côté et un petit pain  mou de l’autre.

Malgré des téléphones filaires à la tête de chaque lit , la clinique  propose le WiFi obligatoire , pour permettre l’usage de tablettes et de téléphones cellulaires des allongés. 
Ce qui  donnait  ceci en ambiance  CEM ordinaire.  
                                                           ligne  en orangé : les fréquences 
Au moment des appels de ma voisine sur son téléphone privé, les CEM grimpaient ainsi. Rien d’anormal , ni de douloureux.
                                                colonne N = 900 MHz      AA=2,2 GHz

Avec un cerveau très largement détruit par les tirs d’ondes brûlantes des criminels  toujours  en liberté nommés dans ces blogs , un tel contexte de CEM tend, sur du court terme,  à me fatiguer et à provoquer des réactions cutanées. 
Le monde sanitaire  français force au WiFi sans  proposer  de lit sous tente de faraday pour les EHS. Dommage.
Mais le pire , improbable ,  pour cette  unique nuit en clinique , était à venir, sous forme de tirs d’énergie vers le haut du corps. Ces tirs provenaient  du dessous. Donc  faits,  soit de la chambre du deuxième, soit grâce à un gadget posé sous mon matelas et commandé à distance.
Tout avait , manifestement,  été préparé et prévu. Comme d’habitude.
Lors des premiers tirs,  les épaules avaient été violemment secouées, décollant du lit. A tour de rôle . Puis,  un tir ou des tirs  au niveau des vertèbres cervicales avaient fait se tordre la boite crânienne. Balancée de gauche à droite  sans que j'y puisse rien.  Un mouvement à 180 ° en quelques fractions de secondes . 
Incapable de bouger,   avec un œil handicapé, et ma voisine à ne pas réveiller en allumant sans arrêt, je n'avais pas pu noter les heures de ces tirs.

J'avais seulement coiffé  mon chapeau anti-ondes. Pour rien. Par réflexe de survie inutile . 
Il s'agissait bien  de «  tirs  » qui traversaient tout et qui avaient continué.
L’enregistrement des détections, vérifié le lendemain,   donnait ceci,  qui s' approchait le plus  des tirs en question.
La colonne AH indique une fréquence entre 3 GHz et 4 GHz

colonne AB = 2,3 GHz , AC = 2,4 GHz

Il n'existe pas d'antenne de téléphonie sur la bâtiment de cette clinique . Seulement une antenne PMR.

Pour pratiquer la criminalité en milieu sanitaire, il faut bien sûr , des complices , une  connivence malfaisante, et la détermination de ne laisser aucun endroit où séjourne la cible de cette haine,  inatteignable .  C'est ce que raconte cette histoire.
C'était  aussi ce qui avait été déjà noté au moment de l'incarcération médicale fabriquée de toutes pièces  par l'addictologue de l'hôpital Georges Pompidou , Mr Delchev, son collègue interne Mr Boillet,  et le serial électrochoqueur du SHU suivant Mr Gay....... et les autres
Pour mémoire, un aide-soignant beur d'un autre service était venu à plusieurs reprises trainer dans celui où je me trouvais. Puis n'ayant pas l'information qu'il cherchait,  il avait fini par inspecter les chambres au moment de la sieste . Il savait ainsi qui dormait où.
L'étage supérieur était occupé par des bureaux. 
Les nuits suivantes , des meubles avaient été poussés à l'étage supérieur et le micro-ondage avait commencé. Je n'avais pas réagi. Seulement par des étourdissements .
Alors ,  de nuit en nuit ,  il y avait eu ration double . Et cela avait fini par atteindre  aussi ma jeune voisine de lit,  une impétueuse kabyle. Elle  avait voulu le signaler , avant d'admettre que ce serait juste une bonne raison supplémentaire pour être forcées à des doses doublées de Risperdal ou autres cochonneries.  



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