HCE- Privation de sommeil par sifflements
La détection suivante des plaintes et réactions du cerveau, avait été organisée sans protections. Rien sous le lit, pour éviter toute réflexion d’une projection d’énergie renvoyée vers la nuque. Pas de boules Quies.
Allongée tôt, j’avais attendu , attention tendue vers les pieds, dont les terminaisons nerveuses semblent servir souvent d’informateurs de géo-positionnement, les 1ers signes de mon repérage avant matraquage.
Raté. Cette fois , c’est un sifflement aigu , continu, audible de l’oreille droite qui semblait avoir servi de repérage....ou de mise en bouche .
Les agressions sifflées qui avaient suivies avaient évité le canal des oreilles pour s'éclater directement dans le cerveau. En l’absence de protections, ces agressions étaient restées, relativement modérées en intensité, à l'unité, comme le montre la vidéo.
Sur cette partie de la vidéo , le mot « outbreak » ( alerte) est une indication de sensation douloureuse enregistrée en temps réel , en appuyant sur un bouton.
Il y en avait eu 24 dans les 33 premières minutes.
La première forme de privation de sommeil de cette histoire réside dans l’empêchement de l’endormissement. Aucun début de repos possible. Comme c’est le cas ici.
Dans certains endroits et dans certaines circonstances qui dépendent des problèmes mentaux des organisateurs de cette torture et de leurs sbires, la privation de sommeil continue dans la souffrance toute la nuit.
Le troisième moment que ces individus semblent apprécier est le réveil dès potron minet. Comme ici
Pour cette nuit du 19 au 20 , la douleur de répétition des agressions et le danger pour le cerveau déjà en mauvais état, m'avaient amenée à éviter ou prévoir un éventuel état comateux de fatigue . Quelques épaisseurs de cuir et couvertures de survie avaient été ajoutées, pour essayer de tenir dans la durée.
S’adaptant aux protections, les agressions avaient forci, jusqu’à donner ceci à partir de 2h du matin.
Il n'y pas d' "alerte" (outbreak) sur cette vidéo. A 2h du matin , après une nuit d'agressions, c'est l'état d'hébétude qui domine. Impossible de penser à appuyer sur un bouton.
Pour tromper l’ennemi , au matin, j’avais changé de lit. L’onde de repérage avait alors fait sa folle, provoquant un étouffement/suffocation, qui oblige à tousser pour ne pas étouffer.
Pour tromper l’ennemi , au matin, j’avais changé de lit. L’onde de repérage avait alors fait sa folle, provoquant un étouffement/suffocation, qui oblige à tousser pour ne pas étouffer.
Excellent repérage par réaction et retour d'information.
Une nouvelle ruse un peu éculée, avait consisté à passer de nouveau sur l’autre lit, mais la tête au pied.
L'assoupissement s'était fait en touchant les draps. Et vlan. La projection de l'onde suiveuse suivante avait fait vibrer les cordes vocales. Des sons sinistres gutturaux avaient alors animé la chambre , au rythme des impulsions .
Image provenant de :
Condamnée à bouger, j'avais comme souvent et comme beaucoup , petit déjeuné à 4h du matin.
Toujours dans la série des agressions par sifflements, ceci ci-après , montre la réaction de la partie antérieure gauche du cerveau au moment d'une agression manifestée en un sifflement , le 18-1 à 22H 12
Pour illustrer les agressions modérées du début de soirée du 19-1, voici les détails enregistrés par l'EEG, des réactions du cerveau à deux sifflements de faible intensité.
1ère partie
tête
partie droite
partie gauche
deuxième sifflement ( celui détecté à droite de la 1ère image)
partie droite
partie gauche
Commentaires
Enregistrer un commentaire