TIRS de PÂQUES
Photo du zoo de La Flèche (72)
Ce tir d’énergie dirigée-là, en détection ci-dessous, était à hurler. Laser ( vraisemblable) RF de Radar, ou Ultrasons directionnels (portés).
A gauche : l'heure -- dans la colonne , en jaune, les fréquences porteuses, ---- Sur la ligne supérieure , les fréquences utilisées pour ce tir ---- en orange , dans les lignes en faces des fréquences porteuses, les densités de puissance en µW/m2
Il était allé éclater directement dans le cerveau. D’une précision millimétrique.
Ce tir venait de l’étage supérieur A221 où le locataire soudeur prétend ne rien savoir et ne rien faire .
Pour atteindre le cerveau , ce tir avait traversé ceci
en plus des 4 packs de gel , fixés par une capuche de plongée et qui entourent la tête chaque nuit depuis bientôt 4 ans. Ce tir ravageur avait en plus franchi la boite crânienne.
Pour parer les tirs suivants, il avait fallu sortir du tunnel et rajouter des épaisseurs .
Et un moment plus tard… les tirs d’énergie étaient venus du dessous où se trouve l’appartement du cuisinier DECROIX, alors en pleine popote dans son restaurant de Port Olona.
Cette nuit-là, avait été éprouvante et pire.
Les nuits de ouiquende, ou de jours fériés, sont souvent , ici comme à Vannes (56) , plus épouvantables que les autres , parce que dédiées à l’amusement de dégénérés qui s’exercent au harcèlement électronique à travers murs et planchers, selon directives ou humeurs
Ici , aussi à LSO, ville parait-il sous fraternelle emprise corse, la criminalité par harcèlement électronique était restée non traitée, non empêchée.
Image du site ACLU
Et pour la 2ème nuit du ouiquende, le résident du A221 avait continué d'assurer avec hargne et constance.
Il s’était aussi payé le folklore de m’appeler en modulant mon prénom vaguement déformé par deux fois , ajoutant même …
« est-ce que tu m’entends ? »
Il paraît que les tortionnaires tutoient toujours leur proie.
Ceci parmi bien d’autres , correspond à 4h19, à une décharge électrique dans le cerveau , provoquée par un tir d’énergie dirigée et qui avait traversé comme les autres, le même fatras que celui de la veille.
Levée , sans choix, vers 5h du matin , j’avais essayé de me rallonger, en douce, vers 9H.
Le maton Denis STEFANE , ou ce qui en tient lieu , ne l’entendait pas ainsi. Il était aussitôt venu à l’aplomb de mon lit , balancer ceci.
Ces dégénérés, sadiques , et tous ceux qui utilisent le harcèlement électronique , sans qu'un maire , des élus ou des policiers ne les en empêchent , font honte à ce pays, à cette ville, et à l'humanité entière.
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