Micro-puces et individus ciblés ( à refaire un autre jour)


La micro-puce sous-cutanée d’identification  est tendance . Et depuis déjà quelques années.  C’est une micro-puce passive , qui est activée par un scanner . Elle n’émet donc pas  toute seule , et ne peut être lue que si le scanner est à quelques centimètres , seulement.
La puce, la plus répandue ( verichip)  est dite « micro » , parce que sensiblement de la taille d’un grain de riz, soit environ 3 mm.
                                                                      𝜇-chip
Mais, il existe maintenant , fabriquée par Hitachi , une 𝜇 -chip  de 0,4 mm, dont le code d’identification de 128 bits ,  est  en plus,  sécurisé  lors de la fabrication. 
Ce n’est pas le cas de la « verichip » dont le code peut être piraté.
Toute  micro-puce sous-cutanée de la 1ère génération    comprend au minimum un circuit intégré, un condensateur et une antenne, enfermés dans une capsule en verre  médical , partiellement enrobé dans une substance de polypropylène poreux appelé Biobond
Biobond favorise la formation de tissu à l'intérieur du corps pour empêcher l'implant de migrer.
la micro-puce est introduite dans le corps , par  à peu près n’importe qui,  mais surtout  grâce à une aiguille hypodermique  de taille adaptée. 
Pour inciter de plus en plus de citoyens au micro-puçage, il existe des "implants parties "où les plus audacieux donnent du courage aux  plus timorés.


La micro-puce est en général  placée dans la main ou dans le triceps, obligeant souvent les heureux propriétaires à des contorsions des bras  et des épaules pour passer leur précieux sésame   devant le scanner/lecteur.
Cet aspect presque-utile/ludique de la micro-puce  est destiné à habituer les citoyens  au puçage, pour , parait-il en arriver à un micro-puçage généralisé et à une meilleure traçabilité des humains .
Par ce que le corps n’aime pas les corps qui lui sont étrangers et que le scanner de lecture produit des champs électromagnétiques à répétition pour l’activer , la micro-puce est réputée produire des cancers.
Cette puce passive est censée n’être que d’introduction volontaire. A une exception connue près cependant et découverte lors d’une opération par des chirurgiens  . Il s’agit du cas d’un génial inventeur :  Boy Boyce , qui avait été implanté d’une « verichip » à son insu, et qui lui avait fabriqué un cancer . *(1)
Pour devenir active, c’est à dire autonome, la micro-puce nécessite , en plus des éléments de base mentionnés plus haut , une batterie et qui a besoin d’être rechargée. Ce rechargement  peut être fait avec l’énergie produite par les mouvements des muscles. 
Cette puce devrait ou pourrait donc émettre en continu . Voire ,  émettre seulement à certains moments programmés.
C’est cette sorte de micro-puce  active , que redoutent les individus ciblés par le harcèlement électronique et  par ,  ce qu’il est convenu d’appeler , « le contrôle mental »
La crainte étant qu’un micro-puçace ait pu être fait à leur insu , expliquant ainsi les souffrances produites par des signaux attirés vers et sur  eux et permettant en plus des manipulations de leur comportement , par l’influence des  radio fréquences sur les fonctions du cerveau  .

  Le site   https://infokiosques.net/imprimersans2.php?id_article=253  indique  ainsi qu’ une micro-puce  active du nom de « digital angel » aurait ces propriétés de suivi d’un être humain  ( GPS) et de modification de son comportement en  stimulant certaines parties du cerveau et en modulant la production de substance produites dans l’organisme. 
Ainsi les modifications  provoquées et artificielles du taux d’adrénaline du sang pourraient rendre une personne anxieuse ou agressive et même très agressive. 
En plus, il est ajouté que l’activation  des  neuro-transmetteurs  stimulés par fréquences radios  ( qui cassent les hélices de l’ADN) peut aussi et  ainsi induire  des réactions mentales  provoquées.

Le premier individu ciblé à avoir pu prouver l’implant d’une micro-puce active est James Walbert , un américain, dont l’histoire est racontée sur internet et sur le site de Rudy Andria *(2)
James Walbert était un inventeur qui a été victime de harcèlement criminel , par haine et vengeance,  dans le cadre de son travail. 
La micro-puce trouvée sur James Walter  émettait sur 288 MHz . La société qui a pu  prouver la présence de cette micro-puce  est celle de Melinda Kidder de  Columbia Investigation
Les appareils utilisés pour cette détection sont cités dans le rapport présenté au Tribunal et sont 
JM-20PRO, 1MHz – 3GHz. Portable R.F. Detector and 
-  JM-20F RF Finder Bar Graph Display RF Frequency Detector.

Un autre cas US  connu  et présenté au tribunal  , a  été mentionné à 

Pour le moment, le seul témoignage européen  de micro-puçage avec photos des implants enlevés ,  se trouve à 
Mais dans ce même  texte , l’auteur du témoignage précise  aussi :  "Aujourd'hui, avec l'avènement des nanotechnologies et  la propagation des réseaux de téléphonie mobile et de  connexion sans fil, des implants ou des électrodes pour la surveillance électronique et  le contrôle de l'esprit sont devenus presque obsolètes."

Malgré tout on peut noter un article du journal The Canadian  du 9 janvier 2007 et citant le docteur KILDE , qui traduit bien la crainte de la plus part des individus ciblés ,  ainsi 
"Avec cette micropuce en vous, vous serez malheureusement suivi partout à travers le monde. …., « les micropuces d’aujourd’hui fonctionnent par le moyen des ondes transmises par radio-fréquence, (un signal continu, unique à chaque personne) et elles permettent de suivre les allées et venues de la personne. Avec l’aide des satellites, la personne qui porte la puce sous sa peau peut être suivie  partout sur le globe "


lezarceleurs · Article

   


http://www.22etoiles.com/terre/puce.htm (  résumé des diverses aspects de la micropuce)



FREQUENCES de MICROPUCES COMMERCIALISEES
Une fréquence plus élevée présente l’avantage de permettre un échange d’informations (entre lecteur et marqueur) à des débits plus importants qu’en basse fréquence. Les débits importants permettent l’implémentation de nouvelles fonctionnalités au sein des marqueurs (cryptographie, mémoire plus importante, anti-collision). Par contre une fréquence plus basse bénéficiera d’une meilleure pénétration dans la matière

 La fréquence utilisée est variable, selon le type d’application visé et les performances recherchées3 :
  • 125 kHz ;
  • 134,2 kHz pour la charge du transpondeur ; 134,2 kHz pour un bit 0 et 123,2 kHz pour un bit 1 pour la réponse du transpondeur dans le cas d’une transmission FSK (Texas Instruments Series 2000) ;
  • 13,56 MHz (ISO 14 443 A 1-4, ISO 14443B 1-4, ISO 15693-3 et ISO 18000-3), la plus répandue actuellement dans l'industrie et le grand public pour des applications à portée limitée (badge de transport, de ski, accès bâtiment) ;
  • 915 MHz aux États-Unis, de 865 MHz à 868 MHz dans l’Union européenne pour l’UHF (EPCglobal et ISO 18000-6c ; les fréquences et les puissances d’émission dépendent des législations en vigueur) ;
  • 2,45 GHz ou 5,8 GHz (micro-ondes), permet des portées de plusieurs mètres, utilisé pour le télépéage notamment.





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