Harcèlement en voiture
Le harcèlement a souvent été un exercice raciste violent.
C’était le cas pendant et après la guerre d’Algérie, quand de prétendus justiciers français organisaient des ratonnades. Les ratonnades consistaient , à sortir la nuit, entre copains , avec des gourdins ou pire, pour bastonner des maghrébins qui rentraient souvent à pied du turbin.
Les fachos tabasseurs voulaient être chez eux entre eux, tout en se vengeant collectivement de l’insoumission des ex-colonisés.
Ce type de mentalité et d’exercice raciste sur fond de prétexte de vengeance de rien, par tous , a perduré dans la France entière, en changeant de formes et de moyens. Les justiciers sadiques utilisent maintenant l’énergie dirigée pour handicaper et assassiner sans preuve.
Et les petits enfants nantis des fachos tabasseurs des années 50 et 60 , harcèlent maintenant en voiture, grâce à la technologie qu’on met à leur portée . Lâches et veules selon une tradition qui perdure , ils s’attaquent à ce qu’ils peuvent : souvent des femmes seules , parce que c’est plus facile.
En sortant du parking ce 23 mars-là, ma voiture avait été prise en chasse par une hystérique qui pratiquait la poussette : pare choc avant , contre pare choc arrière .
Sa présence instantanée à ma sortie du parking indiquait bien une information donnée permettant d’anticiper mon départ de l’immeuble
- - Soit une alerte donnée par la concierge de l’étage
- - Soit une alerte donnée par le démarrage du véhicule
Juste avant le remblai, l’hystérique avait lâché la poursuite à hauteur d’un véhicule stationné , moteur en marche .
Comme dans les mauvais films policiers , ce véhicule DW739VL ( 2B) avait pris la filature à son compte sitôt après mon passage.
J’avais ralenti à plusieurs reprises. Lui aussi.
Je m’étais garée en bord de mer. Lui aussi.
Et il avait continué d’attendre moteur en marche pendant que j’inaugurais une promenade sous un crachin nocturne. … juste le temps de voir sa carte GPS qui montrait 2 points rouges : l’emplacement de mon véhicule et le sien.
J’étais restée pour dormir dans ma voiture en bord de mer . Pas lui.
Vers 2 heures du matin , une boule de feu ( tir d’énergie dirigée) avait traversé mon véhicule et ma tête en provenance de la mer. Donc venant du chemin qui longe la côte.
Manifestement les jeunes et vieux fachos nantis des Sables d’Olonne et perclus d’ennui, voulaient jouer au rodéo avec une cible qu’ils venaient de faire sursauter sous une douleur fulgurante .
Et ils s’étaient démenés , sur fond de contorsions en U turns imbéciles, accélérations puériles et autres manoeuvres d’une niaiserie affligeante.
CD630 LX
AL711GF
CL640PC
EF956BW
AD228QM,
et qui diront forcément tous, qu’ils étaient là, à plus de 2h du matin, complètement par hasard..
Il faut noter ici, que les mêmes scénarios se sont ainsi répétés à la virgule près, à ANGERS, VANNES, LA BAULE ou PARIS
Cap Olona = le rond
Rue Bargeourie = la flèche
Après la mise en ligne du billet ci-dessus, il m’avait semblé prudent de quitter l’immeuble .
Sachant pourtant que des veilleurs locaux en recherche de leur proie guettent l’écran de leur ordinateur H/24.
Depuis quelque temps, un curieux qui se serait réveillé à 1h du matin, puis 3h du matin, puis 4h du matin dans cet immeuble , aurait pu y constater , une activité de nuit constante , à tout le moins de veille, et toujours dans les mêmes appartements dont les lumières ne s’éteignent jamais.
Mais...... ce ne sera plus possible à observer après la publication de cette info
Sauf ... s'il s'agit ici, des spécialistes de bourses asiatiques en surveillance et recherche de bons coups H/24, pour accroitre leur fortune ?
Vers 23 h le 26 au soir , la rue Bargeourie ( carte au-dessus) avait son lot de voitures habituelles rassurantes . Je m’y étais effondrée de fatigue . Dans la mienne . Pas longtemps.
Un matraquage du cerveau à une cadence rapide et quasi régulière avait eu raison de mon état semi-comateux. Réalisant qu’ aucune voiture n’avait pointé sa carrosserie ou le bruit de son moteur à proximité, pour venir activer un gadget dans la mienne et le mettre en fonction ou résonance, il fallait chercher ailleurs.….Dans le ciel.
Ce ciel-là était balayé d’un faisceau lumineux qui tournait , à la manière de celui d’un phare .
Mais là il s’agissait d’un phare pour terre , et qui faisait pivoter son rayon de lumière au-dessus des maisons de la Chaume, et non vers la mer . La source du rayon avait tari à plusieurs reprises, reprenant ensuite , vaille que vaille.
La direction d’origine du rayon indiquait vaguement CAP OLONA.
A chaque passage du faisceau lumineux, une onde sonore frappait mon véhicule et se répercutait dans le cerveau. C’était, semble-t-il , la cause de ce nouveau matraquage cérébral épuisant.
Comme souvent, l’intensité de l’onde sonore semblait diminuer avec l’état de conscience. Elle était moins perceptible quand le cerveau quittait les gammes d’ondes Delta ou Têta. Dans ces deux gammes-là elle privait du sommeil qui va souvent avec.
Avec un vieil appareil à tout faire, j’avais essayé d’immortaliser sous forme de vidéo , cette autre source de criminalité avec atteinte à l’intégrité physique grave.( destruction du cerveau)
Mais le faisceau lumineux tournoyant ne semble pas avoir impressionné ma pellicule.
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