CEM de radars
Quand des riverains de bases militaires aériennes , râlent contre le bruit des avions qui survolent leurs maisons ou leur région , la réponse des autorités est simple :
" C'est le prix de la sécurité " . C’est ce qu’a répèté aussi récemment un quotidien national.
Les râleurs sont priés de comprendre qu’ils doivent sacrifier leur petit confort égoïste au bien général et national . Et tant pis si leurs gamins sursautent à chaque passage rapide et tonitruant des appareils de l’armée, et deviennent nerveux , violents ou archi-mous selon les cas . La sécurité nationale ne se négocie pas localement.
Les râleurs réagissent à ce qui est repérable : le bruit.
Et pourtant, il y a bien pire et qui reste invisible : les décharges de champs électromagnétiques des radars, comme celles-ci , produites par deux appareils venus sillonner les cieux d’un bord de mer vidé de ses résidents saisonniers.
En blanc sur fond bleu, sont enregistrés les champs électromagnétiques exprimés en µW/m2
En jaune , des indications détectées de fréquence en GHz et qui montrent la présence de plusieurs bandes juxtaposées de radar
Le détecteur qui avait enregistré ces champs électromagnétiques (CEM) , était proche de la live box, sous surveillance constante.
Au-dessus , il y a trois étages et demi (duplex) d’appartements .
La gamme de fréquences enregistrée ci-dessus , rappelle furieusement celle enregistrée près du champignon vert de Rocheservières (85) dans un champ militaire de bord de route ,
et où trônent plusieurs antennes de radars , avec ceci en CEM détectés au passage :
Ces CEM "cuisent" mais ne font pas mal, contrairement à ceux qui sont pulsés.
Depuis la mise en ligne du précédent article ( enlevé) qui s’intitulait « le prix de la sécurité » , il y a eu, ici, le passage éclair , pour quelques heures , d’un résident de l’immeuble.
C’est son droit de propriétaire.
Depuis ce passage , et de façon , peut-être tout à fait fortuite bien que concomitante, la gamme des CEM et fréquences détectées chez moi à changé , avec des mini-pulsations sur 1,4 GHz - 1,5 GHz - 1,6 GHz -. Comme ceci :
Pour mémoire seulement :
En Mai 2014, j'avais cru pouvoir me réfugier/reposer 48 heures à Lanester , dans un endroit improbable, introuvable pour mes ennemis .
Dans l’immeuble où je croyais me cacher, des travaux avaient été faits dans l'appartement voisin , juste après mon arrivée. Au diner , le distingué « mon voisin- résident- à-l'année " s'était inquiété de savoir si les travaux m'avaient dérangée.
Les travaux ? non . Mais peut-être , la conséquence des travaux .... et qui aurait bien pu être du matériel temporaire fixé contre le mur mitoyen, par exemple.
Pendant la sieste ou la nuit , à chaque fois que mon cerveau épuisé essayait de passer en ondes Alpha , pour aller vers le sommeil, il était violemment secoué par une déflagration de champs électromagnétiques brûlants,. Comme ceci :
Mes 48 h dans cet endroit s'étaient transformées en un 48 h de torture intense … et même dans ma voiture où j’avais cru pouvoir me réfugier.
On voit clairement sur la photo ci-dessus que les propulsions de CEM sont faites sous forme de rafales . Il y a un temps mort avant et après la propulsion des CEM brûlants.
Pendant ce court séjour , j’avais noté et subi, des passages incessants d’avions militaires de la base proche . Un couple de résidents , sur place depuis moins d'un an, m'avait appris que cette démonstration d’appareils militaires hyper-bruyants était inhabituelle . C’était leur première fois, en 8 mois. En riant, ils avaient ajouté : « c’est pour fêter votre séjour »
La fête au cerveau brûlé . Une torture de phallocrates français, pour femme à éliminer.
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