Les tirs d'énergie dirigée dans le cerveau


Les tirs dans le cerveau n’ont pas cessé.

Ils sont concrétisés depuis plusieurs années  (2015 à 2019) , en images et indications de puissance ( uV) par les déflagrations électriques enregistrées par EEG. Un très grand nombre de ces déflagrations électriques  ont été  accompagnées de douleurs  intenses et fulgurantes  et qualifiées de violentes . 



La cadence  parfois affolante, et tout aussi épuisante,  de ces tirs dans le cerveau , se voit sur le tracé des EEG et par un tableau qui note le moment des déflagrations électriques 



L’achat d’un HOLTER ( EEG fonctionnant  sur batterie)  était destiné à prouver la véracité  de ce que je  décrivais et que je subis dans une indifférence criminelle des élus et fonctionnaires d’Etat . Ces responsables de notre sécurité au plus haut niveau de l’Etat,  ont pourtant été avertis du phénomène à de multiples reprises . 
Ces informations  transmises  , de torture sadique du cerveau ,  à nos dirigeants tout puissants, étaient toujours assorties d’une demande d’intervention pour   faire cesser  cette torture. Sans effet.

L’expression de ce phénomène de torture  du cerveau , par déflagrations électriques anarchiques  produites par énergie pulsée,   a été montrée par photos, schémas ou tracés EEG . Il se trouve sur  internet, par blogs interposés,  et à portée de tous .

liste des 27 derniers enregistrements EEG


Au cours des 41  derniers  mois écoulés , il y a eu 432 enregistrements EEG à des moments différents de la journée , de la soirée,  ou de la nuit. Ces enregistrements donnent tous la même indication d’un ciblage sadique et criminel du cerveau.

L’observation de cette situation  globale de ciblage, montre  quelques constantes qui pourraient être communes à diverses cibles de harcèlement électronique 

Tout d’abord, il semble qu’Il existerait,  une volonté de « couverture » du phénomène par des interventions locales , comme à Paris XV ou en Vendée, et qui fassent diversion.



Ici, par exemple, dans un village  calme de campagne, et  très peu de temps après mon arrivée dans ma nouvelle  maison,  à l’origine idéalement située dans un  endroit à l’abri de signaux de haute fréquence, un concentrateur ENEDIS a été installé en  extrême proximité, permettant ainsi une confusion possible quant à l’origine des  ( de mes) agressions.électroniques 

Cependant, avec un calfeutrage maximal, le processus  de ciblage   avec souffrance et épuisement du cerveau,  est à peu près le même  ici et ailleurs. 

Tout d’abord , il faut noter ce qui ressemble a une recherche  systématique du positionnement du corps  et ce,  avant  ciblage particulier , précis et fulgurant  de la boite crânienne . 
Cette recherche est ressentie,  au niveau surtout des pieds et des mains,  sous forme de piqûres plus ou moins aigües.

Ainsi, plusieurs couvertures de survie posées sur le lit, en plus du reste, n’empêchent pas des sensations de piqûres sous la plante des pieds, dans les paumes des mains , au bout des orteils, au bout des doigts , ainsi que des pincements sur les nerfs des chevilles, et qui indiquent une présence d’énergie indésirée.

Les agressions par énergie pulsée douloureuse  débutent très peu de temps  ( de 5’ à 15 ‘) après avoir pris la position allongée, ou après avoir éteint les lumières, et  ce, quelque soit l’heure de la soirée (lumière).
Il n'est pas exclu qu'il existe deux systèmes complémentaires simples et liés. L'un pour géo localiser. L'autre,  pour programmer le matraquage d'énergie au bon endroit , et provenant, peut-être,  d'une source et d'un moyen  différent.

Les agressions ne sont ressenties   ou subies , qu’en position allongée et plutôt  dans un état cérébral de  tentative de  relaxation ( empêchée)  .

Lorsque les agressions sont accompagnées de sifflements  ou de bruits  ( éclatements ou bruits de type métallique ) à l’intérieur de la boite crânienne , cela existe aussi bien avec les oreilles bouchées par des boules quies , qu’à l’intérieur  du côté où le  crâne  est fermement  maintenu plaqué contre un oreiller. ( donc partie osseuse non accessible directement à un tir)

Les détections de signaux  et CEM , concentrateur ENEDIS  mis à part, qui étaient souvent  facilement repérables jusqu’à récemment ( Paris, Vannes, Vendée)  ont changé . Ils  ne relèvent plus  maintenant ( sauf antennes du concentrateur) de la plage des fréquences  ( 300 MHz à 6000 MHz) de mon détecteur , au moment des tirs dans le cerveau. 

Les agressions des antennes du concentrateur ENEDIS , si et quand  violemment pulsées,  sont typiquement ressenties comme des boules de feu qui traversent le cerveau ( sensation de chalumeau) 

Dans cet endroit sans WiFi, il existe cependant , et depuis le début, à longueur de nuit ,  une très faible émission pulsée intermittente  sur la fréquence 2,5 GHz

Le 19-1-19


de Wil Raymakers






la  video  du 2-1-19 , encore trop longue , n'a pas pu être chargée - 






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