Des médecins français face au harcèlement criminel électronique

Ceci est l'image EEG d'une décharge électrique produite 
par une sensation de brûlure de la voute plantaire, avant un tir d'énergie

 Ceci est l'image EEG d'une décharge électrique  produite dans le cerveau , 
au moment de la souffrance ressentie , 
DANS LE CERVEAU,  
lors d'un tir d'énergie dirigée  ( dans la gamme des micro-ondes) 

Les qualités attendues des médecins font le grand écart entre leurs connaissances scientifiques médicales, et une forme d’empathie  humaniste  faite de respect et d’écoute  attentive du patient.
 
Une  professionnelle  de ce type, équilibrée et normale , perçue après coup comme une perle rare,  existait au centre médical rue de Vaugirard à Paris  . Ce centre médical est ouvert à tous ,  et géré par le MGEN, .  Cette généraliste était  mon médecin référent/traitant.
 
Pour gérer mon ingérable situation de harcèlement électronique,  j’avais sollicité d’elle , comme il se doit,   une  prescription  pour consultation chez un neurologue de ce  centre médical . 

Le précédent neurologue, Dr Philippe BOULU, s’étant révélé un harceleur en réseau qui se moque des femmes,  que des hommes en bande organisée ridiculisent et  font souffrir en utilisant leur métier et qualité. 

Et mon médecin référent/traitant avait écrit ce que toute personne honnête peut  faire et attendre «  Je vous serais reconnaissante de recevoir   Madame Machin ( moi)  qui se dit victime de harcèlement électronique »

En lisant cette prescription avec les termes «  harcèlement électronique » , le neurologue/consultant, par ailleurs praticien à la Salpé avait immédiatement déclaré «  je ne veux pas en entendre parler. «  
Et cet homme , spécialiste entre autres des problèmes du système nerveux  , ici attaqué par des tirs d’énergie visant le cerveau , avait même contesté la réalité de l’image de l’électro-encéphaloscan que je lui avais présentée , à l’appui de mon interrogation. Il avait passé son temps  de consultation et gagner sa vie,  à me faire un dessin et me  raconter des histoires. 
J’étais repartie avec le dessin.

Pour mes renouvellements de prescriptions  anti-hypertension +cholestérol suivantes (1/six mois) les secrétaires de l’accueil du centre MGEN, m’avaient ensuite  systématiquement envoyée me faire maltraiter par la généraliste Mme le  Dr TIBERGHIEN
Face à des symptômes de  privation de sommeil et de souffrance  du cerveau par énergie dirigée , Mme TIBERGHIEN, cette madame-je-sais-tout-de-votre-réalité-mieux-que-vous , avait inventé le terme « DÉLIRE ÉLECTRONIQUE » et établi un diagnostic de PSYCHOSE.
 
La psychose est en général  définie comme une adhésion inconditionnelle à une réalité détournée.
C’était  apparemment exactement le cas de cette dame .

 
Mais elle n’est pas la seule, à dire des âneries . 



A défaut de  nouveau médecin référent/traitant pour cause de déménagements incessants , mes renouvellements de prescription avaient été faits ensuite  par des  généralistes quasi-inconnus, mais respectueux des symptômes relevant essentiellement  de l’aspect EHS ( électro hypersensible) de ma situation. Deux d’entre eux, en Vendée (85) ,  avaient même  honnêtement accepté d’expliciter les symptômes mentionnés ,  dans une attestation médicale. ( Mme Machin dit que .....)

Pour essayer de faire face à une souffrance de l’oreille droite  qui embrase douloureusement  le cerveau au moment des tirs d’énergie , un ORL avait été consulté . Des images EEG des décharges électriques de ces moments de souffrance  lui avait été proposées. «  Je ne veux pas les voir «  avait-il répondu . 
Le sujet, pour lui, qui gagne sa vie en lavements  systématiques de sinus et oreille,  et sur  deux clients  en même temps  ……était  un non sujet.

Les médecins peuvent avoir l’excuse d’une absence de formation et d’information 
 sur les conséquences de l’utilisation des nouvelles technologies  qui génèrent de l’énergie .
Dans ce nouveau domaine de  la santé ,  farouchement camouflé et  aux risques savamment minimisés, la modestie pourrait s’imposer  à tous.

A défaut de reconnaissance officielle  des problèmes liés à l’énergie diffusée ou dirigée vers des cibles   , les descriptions ou observations des victimes s’avèrent actuellement , en même temps qu’une dénonciation ,  une des  sources principales  de la propagation de l’information à l’usage du corps médical.

Cela explique aussi que  les spécialistes et scientifiques américains,  lanceurs d’alerte sur le harcèlement électronique,  disent et répètent la nécessité pour les cibles de témoigner , tant qu’elles en sont toujours ou  encore capables.
Car ,  le matraquage constant d’énergie dirigée, fait courir   un risque   évident d’épuisement cérébral, de destruction des facultés cognitives, et d’envie de suicide, comme l’avait exprimé Tim Rifat , parlant des personnes dont on veut se débarrasser , ainsi : 

« Leur cerveau micro-ondé jour et nuit avec la potentielle excitation du suicide  est entrainé  dans un cycle de dépression  qui se développe hors de leur contrôle pour les amener au suicide »



 

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