HCG - GANG STALKING - Une étude de 2020

Une étude de 2020 sur le gang stalking a été proposée sur le site américain de défense des victimes de ce phénomène ,  PACTS INTL.
La traduction ci-après, de seulement quelques passages,  est faite sans autorisation et pourra être enlevée à la demande. 

HCG <=> harcèlement criminel global <=> Gang stalking

Cette étude  en langue anglaise se trouve à

 https://www.researchgate.net/publication/340461225_The_Phenomenology_of_Group_Stalking_%27Gang-Stalking%27_A_Content_Analysis_of_Subjective_Experiences 

Elle est proposée par :
 

1) Lorraine SHERIDAN qui est professeure associée  en psychologie à l’université  Curtin ,  de Perth en Australie- Occidentale . 
Professeure  Sheridan se définit comme suit :
"Je travaille en tant que psychologue judiciaire depuis 20 ans. Je suis reconnue comme un experte mondiale du harcèlement criminel . J'ai publié plusieurs livres et plus de 50 articles scientifiques sur ce sujet. J'ai également publié sur les sujets suivants: islamophobie, discrimination raciale et religieuse, suicide en prison, culte des célébrités, profilage des délinquants, délinquants souffrant de troubles mentaux, viol masculin, délinquants sexuels sur Internet, évaluation des menaces, rôle de la psychologie dans les sciences judiciaires."

2) Dr David V. JAMES qui est actuellement le médecin  principal du  Centre d’évaluation des menaces obsessionnelles (Fixated Threat Assessment Center (FTAC)), une unité mixte police-psychiatrie spécialisée dans  l'évaluation et la gestion des cas impliquant le harcèlement, le harcèlement ou la menace de personnalités publiques au Royaume-Uni. En tant qu'expert très recherché sur le harcèlement des personnalités publiques, le Dr James a été invité à conseiller les gouvernements et les organisations internationales sur le développement des services d'évaluation et de gestion.

3) Jayden ROTH,  qui semble être doctorant en psychologie à l’université CURTIN de Perth , Australie


Cette étude est faite sur une sélection de 50 témoignages et dit en préambule : 


 "Les données épidémiologiques suggèrent que jusqu'à 0,66% des femmes adultes et 0,17% des hommes adultes dans le monde occidental peuvent subir l'expérience subjective d'être harcelés en groupe («gang stalked») à un moment donné de leur vie. Pourtant, l'expérience de traque des gangs a fait l'objet de peu d'études scientifiques. 


Cet article représente  une tentative d’expliciter les phénomènes de base impliqués dans le harcèlement criminel en permettant d’ y accéder enfin  à travers l'analyse qualitative des témoignages d'individus qui décrivent le harcèlement criminel. Cinquante descriptions de harcèlement criminel qui satisfaisaient aux critères d'inclusion de l'étude ont été identifiées sur Internet et soumises à une analyse de contenu. Vingt-quatre phénomènes fondamentaux ont été retenus, ainsi que 11  des séquelles principales de l'expérience de la traque des gangs. Ceux-ci ont ensuite été divisés en groupes, produisant un cadre pour ces phénomènes de traque des gangs. Les résultats ont été comparés aux fréquences dans une  même catégorie d'expérience puis  aux extraits des données originales de la seule étude précédente sur les phénomènes de harcèlement criminel. 

Alors que la méthodologie de la présente étude était plus rigoureuse, les phénomènes fondamentaux étaient similaires dans chacun. L'étude actuelle a confirmé la gravité des séquelles de l'expérience de traque des gangs. Ceux-ci montrent  la nécessité d'une exploration plus approfondie du phénomène, qui peut utiliser  cette étude comme  base."

Cette même étude propose un tableau comparatif de 24 éléments retenus avec les mêmes  ( éléments) analysés dans une précédente étude de 2015 et réalisée par Sheridan et James .

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Dans leur conclusion , en 2020, les auteurs notent :
 

"L'expérience de la traque des gangs semble être un phénomène répandu qui a fait l'objet de peu d'études scientifiques. La présente étude donne une description préliminaire des phénomènes impliqués qui a été produite par une méthodologie qui n'a pas incorporé des hypothèses préconçues. Cela fournit une base sur laquelle de nouvelles recherches pourraient être construites. Cela sert également à confirmer les effets néfastes de l'expérience de traque des gangs sur les personnes atteintes, présentées pour la première fois dans la seule autre étude disponible [5]. Ces résultats constituent une raison puissante pour laquelle le harcèlement criminel devrait être considéré comme un sujet d'étude important.

S'il est important d'adopter une méthodologie permettant l'émergence de novo des phénomènes constituant l'expérience du harcèlement criminel, il conviendrait désormais de mener des études de cas sur la base de questions spécifiques afin d'avoir une idée plus précise de la proportion de victimes qui vivent chaque catégorie de phénomène, les principales catégories étant désormais élucidées et les phénomènes fondamentaux décrits. Cela est dû au fait que des proportions plus élevées sont susceptibles d'être obtenues par une interrogation directe, de préférence à celles trouvées en étudiant les descriptions sur Internet. Enfin, alors que cette étude a décrit les phénomènes fondamentaux de l'expérience de traque des gangs, la question demeure de savoir si la traque des gangs est un phénomène unique ou représente plusieurs phénomènes qui se chevauchent, chacun avec son propre modèle d'expériences."




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