Lettre de Madame KREBS et réponse
Mme KREBS est la cheffe du service qui pratique les incarcérations hospitalières pour Paris XV. Cette lettre est sa réponse à ma demande d’annulation d’un dossier fabriqué à partir d’inventions délibérées et dans l’irrespect total de plusieurs articles du code déontologie qui régit le métier de médecin.
On y apprend que la confidentialité d’un faux dossier gardé en réserve , serait plus importante que la reconnaissance de la nullité de ce dossier . Ce qui mettrait ce service médical dans la dépendance de l'organisation criminelle qui organise la torture de citoyens dans leur lit, et les incarcérations hospitalières .
Ma réponse du 2 avril 2014, à Madame KREBS a été laissée à ce jour sans réponse.
Madame,
J’ai lu avec attention votre courrier du 25 mars 2014 en réponse à ma demande d’annulation de dossier datée du 16 mars 2014
Je renouvelle ici cette même demande, car le harcèlement dont j’ai pu faire état ne relève pas de votre domaine de compétence . S’il doit relever d’une institution , il ne pourrait s’agir que de la police.
Or il se trouve que la police du XVème m’a convoquée , en faisant état du certificat médical de votre service et qui ne serait donc pas confidentiel . Cette police m’a informée être en contact constant avec vos services d’hospitalisation de jour, indiquant même une étroite collaboration .
Ce qui semblerait vous ferait dépendre, partiellement du Ministère de l’Intérieur et de ses ordres.
Vous notez dans votre courrier ne pas avoir d’éléments pour annuler ce dossier , qui encore une fois, ne relevait pas de votre domaine . Je vous les propose cependant ci-après en référence à votre code de déontologie, uniquement.
Pour mémoire : le certificat initial de ce dossier ne mentionne que des hématomes après une chute , raison de mon passage à HEGP pour un scanner. Je n’étais ni confuse , ni agitée . Je dormais en attendant l’examen.
Pourtant deux médecins successifs de cet hôpital se sont employés à confisquer mes droits constitutionnels reconnus et protégés par votre code de déontologie en m’empêchant de rentrer chez moi.
Pour cela ils ont inventé . L’un m’a prêté des relations avec des extraterrestres et des propos non tenus ( un complot) . L e second, en colère, a inventé un diagnostic de dix lignes sans consultation ou interrogation autre que celle du nom de mon référant. .
L’invention de la relation avec des extra terrestres pour enfermer quelqu’un sans raison est connue depuis une bonne vingtaine d’années.
Les médecins de votre service l’ont accepté comme une évidence, et sans interrogation, pour continuer le processus engagé .
Le certificat fait par votre service a) liste des informations que je n’ai pas données, b) comporte des termes que l’on m’y prête ( réseaux criminels) mais que je n’avais pas utilisés dans le cadre de cette incarcération hospitalière , c) montre une manipulation de ma réalité ( viol devenu conviction d’agression sexuelle) , d) affirme faussement que les problèmes d’insanité mentale que l’on m’attribuait opportunément en mai 2013 , remonterait à dix ans.
Cela n’est ni admissible ni possible, en seule référence à votre code de déontologie.
Dans votre courrier vous notez que ma contestation de ce diagnostic est faite à postériori.
Il me semble difficile de faire autrement.
La France a besoin de gens courageux pour faire cesser ce type d’ incarcération hospitalière qui affecte surtout des femmes que l’on ridiculise ou infantilise à souhait.
Je sollicite ici le vôtre et renouvelle ma demande d’annulation de ce dossier sur les bases des erreurs relevées en relation avec votre code de déontologie.
Ci-après voici un résumé en traduction libre d’un passage du témoignage d’un individu ciblé du New Jersey ( USA) . Il concerne , ce qui ressemble à une habitude mondiale , d’évacuation des individus ciblés vers le domaine psychiatrique complaisant, pour s’en débarrasser.
Je rappelle que UltraSonics est le terme utilisé par cet individu ciblé pour désigner ses persécuteurs qui utilisent justement des ultrasons pour l'attaquer.
Le texte original est en anglais à : http://www.hiddenmysteries.org/mind/exposed/ex011705c.html
La photo ci-dessus vient de son témoignage.
"Les UltraSonics ont également des stratégies pour discréditer les gens sains d'esprit et les faire enfermer dans des établissements psychiatriques sans limite de temps, et drogués de force. Il suffit pour cela d'avoir une bonne connaissance du domaine de la santé mentale, et des lignes directrices de la bible des psychiatres : le DSM-IV
En harcelant une personne saine d'esprit avec des appareils de haute technologie ( méconnus ou dont l'existence est niée ) on peut amener cette personne devant un psychiatre qui la déclarera dérangée. Il s'agit-là de "la méthode de la folie créée artificiellement "
Ce harcèlement par des appareils de haute technologie, constitue le terrain propice pour disqualifier les propos d'une personne saine d'esprit . En allant plus loin , les UltraSonics tenteront de provoquer des réactions violentes de cette personne saine pour entraîner ainsi des hospitalisations à durée indéterminée . Avec des symptômes ( violence) de maladie mentale créés artificiellement , la personne saine se retrouvera affublée de l'étiquette de malade mentale et devra subir un traitement en conséquence.
Il faut garder en mémoire que toute cette énergie dépensée par les UltraSonics pour s'acharner sur une seule personne à une bonne raison. La haute technologie utilisée est effectivement destinée à pousser la personne saine à la violence en réaction . Présentée à un psychiatre , elle parlera de son harcèlement ce qui alors permettra de la considérer comme une malade mentale et de l'enfermer sous contrainte , en régime de péril imminent . Ce qui aussi permettra de la droguer à volonté et sans limite de temps.
Et si les UltraSonics n'arrivent pas à obtenir une réaction violente de la personne saine, alors ce sont eux qui par ruse feront en sorte qu'elle soit présentée à un psychiatre pour qu'il l'enferme.
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