21 fréquences
*(1)
J = 500 MHz AG = 3000 à 4000 MHz
Ces tirs d’ondes ne sont ressentis douloureux que lorsque le cerveau fonctionne dans
une gamme d’ondes inférieure à l’état de conscience .
Ils donnent aussi et depuis longtemps l’impression de se déclencher au moment du
basculement vers l’endormissement, qui est ainsi rendu impossible . Ce qui pourrait
indiquer une captation d’information d’un niveau d’ondes de repos, qui est empêché
par stimulation externe systématique
J = 500 MHz AG = 3000 à 4000 MHz
21 fréquences et même 24 fréquences ,
à plusieurs reprises , formaient le spectre des signaux qui avaient visé la tête, la cage thoracique, et l' estomac sans discontinuer entre 21h50 le 30 novembre et 1h du matin le 1er décembre.
Les tirs d’ondes correspondant avaient impacté systématiquement le côté de la tête posé sur
l’oreiller, indiquant la provenance de ces tirs : l’appartement du dessous au 5ème étage.
Les émetteurs détectés donnaient alternativement 500 MHz puis 620 Mhz (ici) et 2117 MHz et
4048 MHz :
Comme d’habitude les déplacements n’avaient retardé que de quelques minutes les tirs
d'ondes vers la tête. Ce type de retrouvailles entre le faisceau d’ondes et la tête, fait
encore et toujours penser à un élément du corps qui le permet .
encore et toujours penser à un élément du corps qui le permet .
Ces tirs d’ondes ne sont ressentis douloureux que lorsque le cerveau fonctionne dans
une gamme d’ondes inférieure à l’état de conscience .
Ils donnent aussi et depuis longtemps l’impression de se déclencher au moment du
basculement vers l’endormissement, qui est ainsi rendu impossible . Ce qui pourrait
indiquer une captation d’information d’un niveau d’ondes de repos, qui est empêché
par stimulation externe systématique
.
L’autre hypothèse plus simple, étant que les criminels qui pratiquent cette torture par
privation de sommeil , surveillent tous les bruits et mettent leur appareil à torturer en
fonction dès qu'ils pensent le moment favorable .
privation de sommeil , surveillent tous les bruits et mettent leur appareil à torturer en
fonction dès qu'ils pensent le moment favorable .
Ces ondes détruisent le cerveau parce qu’elles ne correspondent pas à celles de son fonctionnement .
Les tirs d’ondes ULB, en pleine nuit , comme ceux montrés ici, prouvent la criminalité
et la bestialité des participants locaux, acteurs et complices .
et la bestialité des participants locaux, acteurs et complices .
Les gens normaux utilisent rarement des appareil de type radar à balayage électronique,
dans leur appartement. Ni le jour , ni la nuit.
dans leur appartement. Ni le jour , ni la nuit.
Outre le groupe criminel qui l'instrumentalise, et l'approvisionne , il faut compter ici avec le criminel psychopathe en titre qui ne pense qu'à ...moi.
Après 1h du matin, ce 1er décembre , la méthode avait changé. Le spectre du signal avait été
réduit d’ une dizaine de fréquences. Les séances de tirs d’ondes relevaient alors d’un
micro-ondage moyen avec un CEM entre 100 µW/m2 et 150 µW/m2.
réduit d’ une dizaine de fréquences. Les séances de tirs d’ondes relevaient alors d’un
micro-ondage moyen avec un CEM entre 100 µW/m2 et 150 µW/m2.
La veille, dimanche 30 novembre, l’après-midi avait été animé par d'incessants tirs dans les canalisations qui avaient fait monter les ELF 2Hz de 15µT à 55µT. Ces ELF étaient pulsées
Apparemment inquiet de mon absence de réaction, un des criminels du 22 , était passé
sans cesse d'un studio voisin à l'autre espérant sans doute grappiller quelque information pour ses patrons.
Raté
*(1)
sans cesse d'un studio voisin à l'autre espérant sans doute grappiller quelque information pour ses patrons.
Raté
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