Réglage des signaux
Pour un rappel de la terminologie appropriée aux situations de victimes de harcèlement électronique , on peut lire ou relire le texte d'Eleanor WHITE , en français à :
en anglais à :
L’organisation criminelle à mes trousses travaille les jours fériés . Elle avait dépêché un technicien le jour de Noël . Il allait supprimer rapido des preuves : celles de CEM à 400 W/m2 et 500 W/m2 dans un appartement sans WiFi, sans appareil électronique branché et situé à 2 kms d'une antenne relais. * (1)
Comme à Paris 15 et à Vannes , il y avait eu des bruits de bricolage dans un appartement voisin , vide de ses occupants .
A la recherche d'uns piste sur le bricoleur d'ondes du 25 décembre , j'avais seulement trouvé une voiture corse dans le village proche.
La nuit suivante ( 25 au 26 décembre) donnait des indications de valeurs CEM divisées par 10 ou 3 par rapport à la nuit précédente (24-25) et une cadence un peu ralentie des tirs , comme ceci en exemple : 0h00.30 – 0h01.00 – 0h02.20 – 0h06.20 – 0h14.20 – 0h28.30 – 0h45.20 –0h56.00 – 1h11.00- 1h24.00
Soit, parfois, jusqu’à 10 minutes et plus , sans sursaut du cerveau
Après ce réglage de l’appareil à torturer la voisine ( moi) les tirs se présentaient ainsi:
et
ou
La sensation douloureuse de ces tirs d'ondes-là est celle du cisaillement du cerveau.
Cette même nuit (25-26) à 3 h du matin , des voisins étaient , de nouveau venus faire du ramdam devant ma porte.
Dans cette histoire, on avait compris depuis longtemps que le réseau de harcèlement intermédiaire et manipulé était chargé de cristalliser l' attention sur le chiffre 3 , censé évoquer la toute puissante franc-maçonnerie et/ou une triade .
Au matin, ceci était surprenant :
plus de 58 MicroTesla en 2Hz modulées et pulsées
Dans ce nouvel endroit hyper protégé , censé fonctionner sur une base de solidarité positive active, l’organisation criminelle à mes trousses avait reproduit son schéma habituel : immédiates violations de domicile, dégradations, petits messages de type mafieux. Comme l'avait annoncé le psycho. du 22 rue Ernest Renan dans un message daté du 9 décembre et qui en bavait déjà de plaisir .
Parmi les participants, il y a deux-amoureux-d'eux-mêmes, et qui n'ont que l'allée à traverser pour faire leurs coups vicieux : des voisins, qui ont la copie de mes clés fournie par la précédente résidente.
Cela correspond à ce qui est connu et qu'avait expliqué D. Lawson dans ses livres : Terrorist Stalking in America et Cause Stalking
D. Lawson est un détective américain qui avait infiltré des réseaux de harcèlement aux US pendant plusieurs années. Des extraits avaient été présentés et commentés sur internet par Eleanor White . On y trouvait notamment ceci , en traduction libre :
« …... à partir du moment où une cible a été désignée, elle sera toujours suivie ou photographiée mais par des personnes toujours différentes. Car certains de ces réseaux de harcèlement sont composés de centaines de personnes.
Tous ces harceleurs ne se contentent pas d’une présence soutenue ou continue, ils pratiquent les violations de domicile, les dégradations des biens, et des agressions qui peuvent aller jusqu’au meurtre.
Pour établir leur base d’opérations les harceleurs ont l’habitude d’enrôler les voisins Cela est souvent fait par intimidations diverses. Ceux qui ne collaborent pas risquent même d’âtre eux-mêmes harcelés et leurs biens ou voitures endommagés.
La surveillance est ainsi organisée H/24 et 7j/7 . Dès que la cible sort de chez elle, les membres du réseau sont alertés et la poursuite/surveillance commence.
Pendant ce temps d’autres pratiquent les violations de domicile avec des clés obtenues des gardiennes , de divers techniciens ayant accès à l’immeuble et à l’appartement ou des propriétaire eux-mêmes."
La première violation de domicile avec dégradation, le lendemain de mon installation, montrait ceci ;
C’ est la partie inférieure d’un cadre. Le cadre avait été déballé le matin et laissé à terre. A mon retour le soir, il montrait des entailles faites sans doute avec un couteau. Les débris avaient été laissés sur le sol.
Une violation de domicile suivante , m’avait permis de trouver une punaise pointe en l’air dans mon lit . Les violeurs de domicile de cette histoire « adorent » les punaises qu'ils avaient cachées, et toujours pointe en l'air, à l'intérieur de chaussures, entre les franges d'un tapis , près de la douche et des WC. Tous endroits où l'on marche parfois pieds nus.
Enfin, on peut ajouter, à l'intention spéciale du bouffon-criminel de Paris suspendu à ce blog,
que les mini caméras destinées à piéger les violeurs de ce domicile-là ont toutes été arrêtées et déprogrammées selon un processus déjà décrit à TROYES (2010) . sur un blog précédent et disparu
D. Lawson parlant des recrues de réseaux de harcèlement dit
"Les recrues harceleurs ….. sont plutôt des travailleurs simples , employés comme gardiens d’immeuble , veilleurs de nuit d’hôtels, chargés de sécurité. Ce sont des personnes qui peuvent permettre aux autres harceleurs le passage ou l’entrée dans des endroits où, sinon, ils n’auraient pas accès. Ils peuvent également être employés municipaux , ce qui leur permet de suivre une cible toute une journée dans leur véhicule , ou encore d’organiser une campagne de bruit à proximité du lieu de vie de la cible. Les chauffeurs de taxi font également partie de groupes de harceleurs et présentent l’avantage d’être sans arrêt dans la rue. Les employés du téléphone ou du câble qui font partie des groupes de harcèlement peuvent facilement créer des problèmes divers à la cible et participer aussi à des patrouilles pendant leur temps de travail."
A Paris 15, le nu-propriétaire du 5ème étage principal harceleur/violeur de domicile et devenu criminel tireur d’ondes, se prétendait écrivain . Il est en fait enregistré « artisan » et sans activité . Sa maman, harceleuse à ragots et troueuse de linge, et qui se promène en chemise de nuit dans les escaliers de l’immeuble , en hurlant , était « commerciale »
A Paris 14, la gardienne, faisait le gros œuvre des violations, aidée d'une jeune algérienne , employée de son petit frère.
A Angers, (49) dans la maison, c’est un employé du garage du commissariat central , et Madame, assistante maternelle , typés " grenouilles de bénitier", qui violaient, volaient et cassaient chez nous.
A Angers (49) Bd Pasteur , c’était surtout , l’homme de ménage de l'immeuble qui profitait de sa position , pour voler et casser chez moi et passer mes clés à qui les demandait.
A DOL de BRETAGNE, (35) c’était la femme du propriétaire , et son gendre tous deux routiers , qui s’activaient et surtout volaient. Ils avaient mes clés en copies.
A VANNES, (56) le couple des lovely92, oisifs mateurs de poubelles, étaient les spécialistes. Mes clés avaient été données en copie par une agente immobilière.
Ici, je ne connais pas encore le nom de métier des deux-amoureux-d'eux-mêmes.
Pour une majorité de ces harceleurs , le harcèlement en réseau , protégé par des fonctionnaires et employés d'Etat, , est surtout destiné à VOLER. Certains employés d'Etat en profitent.
Ces vols sont enveloppés dans toutes les autres andouilleries non stop, dont les harceleurs étouffent la cible.
A Paris XIV , par exemple, la plus grande partie de l'argenterie avait été volée . Le reste avait disparu de l'appartement à Dol de Bretagne .
Les violations de voiture servent également à voler, en échangeant des pièces neuves contre des pièces usées ( tapis de sol, filtre habitacle , pneus et pièces de moteur facilement démontables).
Une victime de harcèlement en réseau dont les copies de clé de voiture existent même dans l'endroit réputé hyper protégé où je me trouve , doit s'attendre à ce que le contenu de la boite à gands et du coffre soit également volé.
Car c'est déjà le cas.
Toutes ces personnes forment " la couche de diversion" qui va monopoliser et mobiliser l'attention d'une cible de harcèlement en réseau. Pendant ce temps-là , les manipulateurs de la situation , ceux qui procèdent selon le slogan * mentionné dans les romans de Volkoff, s'occupent de son cerveau qu'ils occupent.
* "Ne rien faire, ne rien laisser faire, tout faire faire"
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