Criminalité électronique - Bis repetita
Le 3 novembre au soir, je n’avais pas eu à ouvrir mon véhicule dans le parking. Quelqu’un l’avait fait avant moi.
Ce quelqu ‘un avait
- soit rafraîchi ou forcé un bricolage criminalo- mafieux de l’électronique de ma voiture,
- soit posé un gadget activable à distance.
et j'avais quitté l'immeuble pour une nuit dans ma voiture, loin des sadiques obsédés du A221, mais ainsi vaguement prévenue.
Effectivement , en tous endroits, même distants de plusieurs kilomètres , j’avais reçu des décharges électro- quelque chose , venant de mon véhicule , dans la tête et dans les reins . La cadence des agressions , était seulement moins effrénées que dans l’appartement .
Dans l’appartement l’appareil émetteur du criminel-mafieux du dessus (A221) est à seulement 3 mètres de moi.
Dans la voiture, un appareil de criminel mafieux lambda devait d’abord rechercher l’emplacement de mon stationnement (GPS ?) avant de pouvoir déclencher l’appareil émetteur. Peut-être ( ou pas) par le même moyen.
Après les 2 ou trois premières agressions qui montaient en puissance, la cadence des déflagrations se stabilisait . Pépère.
Et il fallait alors de nouveau bouger , pour éviter une nuit blanche de souffrances .
De retour chez moi, au matin du 4 novembre , à 11H29 , j’avais opté pour la position allongée sur un lit.
A 11H31, une brève impulsion ressentie au cerveau, avait été détectée ainsi venant du dessus :
Et mon cerveau avait réagi ainsi à 11h 31:
et ainsi ( déflagrations électriques ) à11h 31.21
ce qui s'exprimait également ainsi à 11h 31.21, et au niveau des électrodes :
Des »tirs », modérés, n’étaient venus que 10 bonnes minutes plus tard, avec cuisson des jambes en sus . Malin
« Chacun a droit au respect de sa vie privée »
Commentaires
Enregistrer un commentaire