Criminalité électronique de voisinage
Le terme de CRIMINALITÉ ÉLECTRONIQUE avait donc ainsi été noté dans un compte-rendu médical , par une omnipraticienne bien décidée à ridiculiser la personne en face d’elle .
La question de la femme au stéthoscope qui avait entrainé ce commentaire ressemblait à « pourquoi voulez-vous aller consulter dans ce service spécialisé hospitalier ? «
La réponse avait été sensiblement « parce que je suis victime de harcèlement électronique et qu’il y a plusieurs phénomènes que j’aimerais pouvoir comprendre en interrogeant des professionnels »
Cet énoncé, comme la question, correspond au droit de dire qui s’appelle aussi la liberté d’expression.
Pourtant la réponse avait déclenché une bouffée de colère de la dame en blouse blanche entrainant aussi de nouvelles alliances de termes censées dépréciatives , par cette généraliste , avec d’abord « délire électronique « et qui s’était traduit ensuite sur le papier par « criminalité électronique ».
Va pour "criminalité électronique" !
Ceci, ci-après est pour mémoire et confirmation de ce que subissent les cibles de harcèlement électronique dans une indifférence souvent ricaneuse et parfois hostile de ceux qui ont le devoir, l’obligation payée, ou la charge de dénoncer ce crime contre humain et surtout de le faire cesser.
Ce qui est raconté ici, se passe aux Sables d’Olonne (85) ville du Vendée Globe . C’ est en tous points semblable à ce que vivent certaines des « cibles « de criminalité électronique à Nice, Lille, Grenoble , Paris.....
En ce 3 novembre ensoleillé, la foule se pressait sur les pontons à Port Olona.
Pas le voisin du A221.
Parce qu’ épuisée, et malgré sa présence évidente dans l'appartement au-dessus du mien , j’avais essayé une sieste sous la couette .
A 14h50, j’étais en place , avec détecteur en tête du lit et EEG, sur la tête. Au cas où.
Dès 14h53, le tortionnaire du dessus avait déjà repéré ma présence . Il était donc à l'affût, et avait donc, semble-t-il , la possibilité de voir ou savoir ce qui se passe chez moi.
Le coin du dessus avait mis en fonction ou réglé son appareil . Ce qui apparaissait ainsi en détection.
Photo de Taka Sakamoto
Le coin du dessus avait mis en fonction ou réglé son appareil . Ce qui apparaissait ainsi en détection.
A 15h 07, le matraquage avait commencé et selon la cadence indiquée par les alertes ( outbreaks) Les "alertes" correspondent à des sortes de sursauts du cerveau. Elles se voient sous forme de déflagrations électriques , sur la vidéo faite à partir de l’écran de l’EEG
A 15 H22 , j’avais perdu conscience et cessé d’appuyer sur le bouton des alertes ( outbreaks) à chaque plainte du cerveau.
Ça avait été "une sieste béton".
J’en avais émergé , comme souvent avec l’impression , douloureuse cependant, d’un bloc de béton à la place du cerveau, et qu’il allait falloir trainer le reste de la soirée.
J’en avais émergé , comme souvent avec l’impression , douloureuse cependant, d’un bloc de béton à la place du cerveau, et qu’il allait falloir trainer le reste de la soirée.
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