Harcèlement électronique - Torture 2011-2012
L’ ordinateur utilisé ici, a été formaté trois fois, dont deux fois par des employés d’Apple.
Mon blog etouffoir.posterous.com avait disparu d’internet quand la plateforme posterous s’était vendue à Twitter, et sans que j’aie eu envie d’archiver ce blog de témoignage de mon quotidien de cible de harcèlement criminel dans sa totalité
Il ne devrait donc rien rester de cet ensemble de billets de témoignage sur cet ordinateur .
Seuls des copies parcellaires avaient été enregistrées sur une clé actuellement introuvable.
Pourtant cet ancien blog ( etouffoir.posterous.com 2011-2012) est apparu cette nuit sur mon ordinateur., dans sa totalité /continuité , et avec toutes ses images et photos .
Je remercie , ici, le hacker généreux qui m’a rendu ma prose.
En 2011/2012 , je ne possédais aucun moyen de détection de ma situation. Dans un article intitulé TORTURE et BARBARIE , la cadence et la violence du matraquage du cerveau par de l’énergie pulsée avait été notée comme suit et qui ressemble fort à ce qu’enregistre actuellement l’EEG , mais avec, maintenant, plus de précision ( les caractères gras des impacts plus forts n'ont pas été reproduits ) :
......
" Comme souvent , cet article se contentera d'énoncer les faits, tels que je les ai vécus et pour mémoire, avec un listage des lieux et des heures d'impact des chocs électriques destinés à priver de sommeil et de repos . Les pointillés correspondent aux moments où j'ai cessé de prendre des notes et non pas à la fin des séances de torture.
Chaque impact est douloureux Les caractères gras désignent un impact plus violent et une douleur plus intense.
Nuit du 5 au 6 juin à Vannes → 22h, 23h45, 23h50, 0h, Oh15, 0h20, 0h25, ….........6h, 6h15...
Nuit du 6 au 7 juin à Vannes ---> 22h50, 23h, 23h10, …..3h30, 4h50, ….6h, 6h10 …....
Nuit du 7 au 8 juin au 22 rue Ernest Renan P15--->1h10, 1h50, 2h15, 3h20, 4h, 4h15, 4h17, 4h40, 4h44, 4h45, 4h50, 4h55, 4h56, 4h57, 4h58, 5h, 5h04, 5h07, 5h08, 5h10, 5h15, 5h17, 5h30, 5h35, 5h45, 5h47,5h50
Nuit du 8 au 9 juin dans un hôtel rue de Vaugirard P15 --->23h40, 23h50, Oh30,........
Nuit du 9 au 10 juin dans un hôtel Bd Pasteur P15--->20 h, 21h10, 22h15, 23h30, 0h30, 1h30, 2h10, 2h20, 2h25, 2h30 départ de l'hôtel
Nuit du 11 au 12 juin, dans un hôtel au centre d'Avignon ---->22h45, 22h50, 23h15, 23h25.......
Nuit du 12 au 13 juin dans un hôtel du centre à Forcalquier ----> 19h, 9h05, 20h25, 21h, 21h25, 21h50 ….... 4h, 4h20, 5h, 5h30, 5h35, 5h40, 5h42, 5h45, 6h
Nuit du 13 au 14 juin dans un hôtel hors murs d'Avignon---> 0h, 0h45, 1h15, 1h30, 1h50 , 1h53, 1h58, 2h, 2h05, 2h10, 2h15, 2h25, ….
On peut y ajouter ce texte surprenant que j’avais aussi oublié .......et qui me fait maintenant penser à une provocation pour réaction. La fois suivante, toujours venue sur convocation, ce juriste ( ex Cour de Cass) m'avait appris qu'il ne m'avait, cette fois, absolument pas convoquée. Il était face au saccage de son bureau : étagères arrachées, livres déchirés...Le réseau crapulo-criminel à mes trousses semblait lui avoir donné un avertissement !
Le polar
........
La lettre que j’avais reçue de cet inconnu proposait un rendez-vous. Ce monsieur , juriste de haut niveau en retraite active et dévouée , souhaitait avoir des précisions sur mes malheurs . Peu avare des anecdotes révoltantes de mon quotidien , j’avais en plus répondu avec concision à toutes ses questions , même personnelles.
Sa conclusion lapidaire avait été émise en baissant les yeux « vous avez sans doute été vendue comme cobaye aux services secrets de l’armée , amis de votre frère » .
Malgré son air sérieux, j’avais opté pour une plaisanterie de pince-sans-rire et seulement répondu « mais, c’est interdit »
Il s’était contenté d’un sourire, répétant après moi « oui, c’est interdit ».
Pour faire diversion , ou finir cet entretien avec légèreté, il m’avait conseillé de faire un roman policier à partir des anecdotes significatives que j’avais généreusement alignées pendant plus d’une heure.
Mes objections l’avaient contrarié.
- La première était que la plus part des romans policiers se bâtissent autour d’ un ou plusieurs cadavres. Ici, le seul cadavre important serait forcément le mien . Le polar ne pourrait donc qu’être écrit après moi.
- La deuxième était que je n’avais pas de style et
- La troisième que j’étais dépourvue de l’imagination qui en plus participe du style particulier au polar , nourri au suspens.
En cas de polar, il est une anecdote particulière qui serait intéressante d’y glisser pour montrer les méthodes diverses d’empêchements imaginées par des militaires . Celles qui consistent à faire de tout projet actif du sujet d’expérimentation , un échec.
ou encore celui-ci sur les V2K
" Il ne s'agit pas ici de faire concurrence à notre grande petite Jeanne nationale, mais seulement de noter trois phénomènes de sons inédits . Ils sont en effet concomitants à la situation particulière de cette histoire et à ce qui ressemble également à une appropriation de cerveau, doublé de ce qui ressemble à un droit pris pour le torturer.
Les voix ou sons mentionnés ici ont été de trois natures différentes.
Dans deux cas, qui relèvent du même phénomène il s'est agit d'un son externe au niveau d'une oreille et qui m'avait réveillé. Mon prénom y était murmuré mais modulé en étirement à la façon d'un écho.
La deuxième fois à Vannes, encore, il s'était agit d'une image mentale en plein sommeil et sur la quelle se superposait un son clair et continu. L'image représentait une fontaine. Le bruit était celui de l'eau qui coule. Dangereux . Non !?
Le troisième phénomène était un son mental en état d'éveil. Dans la nuit du 10 au 11 juin avec le cerveau mis en ébullition par chaque nouvel impact d'ondes , j'avais écrit et mis en ligne un complément à l'article : les micro ondes pulsées. Un sujet auquel, pour le moment, je ne comprends que pouic. Je me contentais d'y décrire les sensations perçues de certaines ondes avec un commentaire indigné .
Quelques minutes plus tard , un son mental s'était imposé dans mon cerveau « thank you » Or je ne pense ni ne rêve en anglais.
Monsieur Thankyou , s'il existe , avait reçu en retour un « pauvre crétin » sans doute inaudible pour lui parce qu 'émis normalement.
Mais j'avais supprimé mon complément d'information et d'indignation.
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