Harcèlement électronique - 5G et/ou ORANGE

Sur ce département,  et  avant l’ordonnance n°6 du 25 mars 2020 qui donne carte blanche aux opérateurs pour faire ce qu’ils veulent sans préavis ni contrôle, un document officiel  comptabilisait 124 antennes ORANGE.
 
Avant le 25 mars 2020, L’antenne la plus proche de mon domicile était un 2G, non boostée, donc seulement dans la gamme des 900 MHz
 
Depuis  la vente par l’Etat de la fréquence 700 MHz, le seul  mât de téléphonie Orange qui exhibe joyeusement cette fréquence passe-muraille se trouve à 9, 3 kms de mon domicile . Ce qui , normalement , m’en met royalement à l’abri, mais  interroge cependant sur la détection proposée plus bas.
 
Pour mémoire, on sait qu'au début, la 5G va utiliser une seule bande de fréquence, celle des 3,5 GHz. À terme,  la 5G utilisera au minimum deux autres bandes de fréquences, celles des 700 MHz et celle des 26 GHz.
 
Par ailleurs, il faut savoir que pour me protéger d’ennemis obsessionnels mais invisibles,  il n’existe aucun appareil en WiFi dans la maison que j’occupe. Ni TV  par précaution , ni   four à micro-ondes.
 
L’ordinateur dédié utilisé sur  internet est  un Mac relié à la box par un câble RJ45.
Ce jour, le MAC était éteint, et 5mètres plus loin, j’utilisais un PC non connecté, sans blue tooth, ni autre technologie que son propre processeur . Pourtant le détecteur de HF posé à côté du PC  faisait des bonds sur 2,4 GHz.
 
Mieux ou pire, il montrait la présence insolite et continue de deux « fréquences en or «  (700 MHz et 800 MHz) normalement inexistantes  sur le mât de téléphonie proche . Comme suit :

Dans le pavé  bleu : la densité de puissance

Dans le pavé jaune : la fréquence porteuse

Même avec le tableau complet 

Une fois la BOX  éteinte , le même PC émettait ceci :

et qui n’est pas nouveau pour une cible de harcèlement électronique .
 
Il est intéressant de noter que les détections ici, montrent des émissions de CEM en continu, alors que le harcèlement par torture du cerveau , tel celui des quelques nuits précédentes , montre des impulsions , dites « rafales » ou « tirs » d’énergie dirigée. 

Il y avait eu , enregistrées en détection et  en correspondances  de déflagrations électriques dans le cerveau enregistrées  sur EEG, chaque nuit, plusieurs centaines  de rafales d'énergie dirigée.