Plainte avec C P C - un piège
Pour les cibles qui pensent engager des procédures.
Parce qu’il n’y a pas de raison d’accepter l’inacceptable.
Dans cette histoire, il y avait eu 3 plaintes avec constitution de partie civile .
Celle-ci était la 2ème
Le dossier de plainte avec constitution de partie civile proposé à Angers (49) avait été établi sur les infractions suivantes.
Ce dossier avait été accepté et une fois la consignation de 2000 euros encaissée, il avait été confié à Mme Poncet , une toute nouvelle juge.
Son premier courrier de décembre 2004 très vague avait proposé une évaluation de préjudice.
Profane et confiante j’avais vaguement penser à un entretien préliminaire à l’enquête.
Un courrier de Mr Lhuillier m’avait immédiatement détrompée .
La jeune juge Mme Poncet avait essayé d’évacuer le dossier vers la psychiatrie avant toute commission rogatoire.
Face à mon refus, la commission rogatoire avait été délivrée en janvier 2005 .
L’audition avec une policière du commissariat d’Angers avait eu lieu dans la foulée. Le PV de cette policière était clair, articulé, et cohérent avec les faits dénoncés.
Avant d’envoyer ce procès verbal à sa juge, la policière lui avait téléphoné . La juge lui avait interdit de venir sur place faire un constat des dégradations.
Après cette conversation avec sa juge, la policière avait fait un rapport en conséquence . Elle m’y disait , c’était nouveau , affabulatrice et confuse. Ce document ne m’était pas connu à ce moment là . Il était devenu une pièce importante du dossier mais invisible pour moi .
Je n’en aurai connaissance qu’ après qu’un avocat aura eu obtenu les pièces de mon dossier. Très mince.
Et en octobre 2005 Mme Poncet avait prononcé un non lieu avec un joli mensonge et un argument logique de pure fabrication .
Elle prétendait que mon comportement au cours de l’enquête ( en 2005) l’avait amenée à demander une expertise psychiatrique , que j’avais refusé. Et alors que sa tentative de psychiatrisation du dossier datait de 2004.
Elle prétendait que l’audition de janvier 2005 par la policière, confortait sa décision.
Tordre ainsi le cou au droit et à la loi de façon aussi flagrante était audacieux. Surtout pour une débutante.
Et en rêvassant devant la page de sa décision basée sur de faux arguments , j’avais fini par m’intéresser à son dessin, triangle renversé énorme , qui ponctue un texte lapidaire, véritable pied de nez à l’institution qui la nourrit.
Plus tard cherchant un avocat pour avoir accès aux pièces de mon dossier, j’essuierai les refus
de Me H. Leclerc, Me Dupont-Moretti, Me W. Bourdon, Me Varault, Me Warusfel …. entre autres
On peut voir utilement sur ce sujet : http://lesharceleurs.wordpress.com/2014/03/08/lorganisation-2/
Parce qu’il n’y a pas de raison d’accepter l’inacceptable.
Dans cette histoire, il y avait eu 3 plaintes avec constitution de partie civile .
Celle-ci était la 2ème
Le dossier de plainte avec constitution de partie civile proposé à Angers (49) avait été établi sur les infractions suivantes.
Ce dossier avait été accepté et une fois la consignation de 2000 euros encaissée, il avait été confié à Mme Poncet , une toute nouvelle juge.
Son premier courrier de décembre 2004 très vague avait proposé une évaluation de préjudice.
Profane et confiante j’avais vaguement penser à un entretien préliminaire à l’enquête.
Un courrier de Mr Lhuillier m’avait immédiatement détrompée .
La jeune juge Mme Poncet avait essayé d’évacuer le dossier vers la psychiatrie avant toute commission rogatoire.
Face à mon refus, la commission rogatoire avait été délivrée en janvier 2005 .
L’audition avec une policière du commissariat d’Angers avait eu lieu dans la foulée. Le PV de cette policière était clair, articulé, et cohérent avec les faits dénoncés.
Avant d’envoyer ce procès verbal à sa juge, la policière lui avait téléphoné . La juge lui avait interdit de venir sur place faire un constat des dégradations.
Après cette conversation avec sa juge, la policière avait fait un rapport en conséquence . Elle m’y disait , c’était nouveau , affabulatrice et confuse. Ce document ne m’était pas connu à ce moment là . Il était devenu une pièce importante du dossier mais invisible pour moi .
Je n’en aurai connaissance qu’ après qu’un avocat aura eu obtenu les pièces de mon dossier. Très mince.
Et en octobre 2005 Mme Poncet avait prononcé un non lieu avec un joli mensonge et un argument logique de pure fabrication .
Elle prétendait que mon comportement au cours de l’enquête ( en 2005) l’avait amenée à demander une expertise psychiatrique , que j’avais refusé. Et alors que sa tentative de psychiatrisation du dossier datait de 2004.
Elle prétendait que l’audition de janvier 2005 par la policière, confortait sa décision.
Tordre ainsi le cou au droit et à la loi de façon aussi flagrante était audacieux. Surtout pour une débutante.
Et en rêvassant devant la page de sa décision basée sur de faux arguments , j’avais fini par m’intéresser à son dessin, triangle renversé énorme , qui ponctue un texte lapidaire, véritable pied de nez à l’institution qui la nourrit.
Plus tard cherchant un avocat pour avoir accès aux pièces de mon dossier, j’essuierai les refus
de Me H. Leclerc, Me Dupont-Moretti, Me W. Bourdon, Me Varault, Me Warusfel …. entre autres
On peut voir utilement sur ce sujet : http://lesharceleurs.wordpress.com/2014/03/08/lorganisation-2/
Commentaires
Enregistrer un commentaire