Une audition - un piège - des irrégularités de procédure
Une vie de cible de harcèlement en réseau est une accumulation de situations tordues , inadmissibles et savamment camouflées.
Un piège n'est considéré comme tel que parce qu'il se situe dans un contexte d'irrégularités empilées sans respect de la loi ou du droit.
La brigadière que j'avais en face de moi ce jour-là était jeune et souriante. V. Deschamps. Elle m'avait convoquée à la suite d'un imbroglio habituel.
J'avais dénoncé l'attitude coercitive d'un de ses collègues , Mr Billaud, qui m'avait empoignée ( maintenue par les poignées) puis empêchée de sortir du poste de police en bloquant la porte de tout son corps. Il avait voulu me forcer à signer un PV inexact . Ce que j'avais refusé de faire.
Craignant ce qui risquait de se produire , la collègue de Mr Billaud , Mme Monneray avait annoncé qu'elle ferait un rapport pour protéger le policier. C'était censé me faire peur, et taire.
L'histoire à l'origine de ce PV -là était à peine croyable. Le président du conseil syndical (PCS) de l'immeuble d'Angers, ex-militaire avait trouvé un mot anonyme dans sa boite à lettres et qui lui avait déplu. Il avait fait fouiller mon ordinateur par un de ses anciens collègues spécialiste de l'armée, au cours d'une violation de domicile, clés de mon appartement fournies par G.Touret , l'homme de ménage habituel violeur de domicile.
Le texte de ce message avait prétendument été retrouvé dans mon ordinateur et le PCS avait porté une main courante contre moi.
Pour le folklore, le spécialiste de l'armée envoyé le jour de la fouille de mon ordi. avait quitté mon étage au moment où j'y arrivais, une mallette OSCOR à la main, histoire de détecter un éventuel mouchard qui aurait pu le trahir avec une preuve.
Fort de cette précaution, il avait harcelé à bon compte et pour celui du PCS.
Naturellement, je n'avais rien trouvé dans mon ordi. par ailleurs et depuis longtemps à disposition de n'importe quel violeur de domicile ou hacker et à tout moment.
J'avais cependant mentionné le comportement de Mr Billaud complètement inacceptable et niant en plus mon droit à refuser de signer un PV.
Avec , par ailleurs une procédure en cours ( 3 ème plainte avec CPC) , ma dénonciation de victime d'un employé de l'Etat , valait une plainte.
Et c'était Mme Deschamps , sa collègue qui allait prendre ma déposition , vite fait, dans ce cadre-là.
En relisant son PV j'avais noté qu'elle me faisait dire ce que je ne risquais pas de vouloir :
"je m'engage à ne plus porter plainte"
Elle avait dû refaire son PV sans cette phrase pour que je signe. Moins souriante.
De retour chez moi, j'avais réalisé que sur les 3 exemplaires signés, je n'en avais relu et fait corriger qu'un seul. Dans un pareil contexte général de situation de cible de harcèlement en réseau ( terme que j'ignorais alors) , j'avais vite fait une lettre à la procureure d'Angers l'informant que je me réservais le droit de porter plainte à tout moment et qu'un PV qui dirait le contraire relèverait d'un subterfuge.
Fin, pour moi, croyais-je, de cet épisode.
Mais pas vraiment.
L'année suivante en 2007, mon audition dans le cadre de ma 3ème plainte avec CPC avait été déléguée par la juge de Paris Mme POUS , au seul commissaire du commissariat central d'Angers.
Elle avait eu lieu , dans un poste de police périphérique et fait par une gardienne de la paix selon les circonstances racontées à :
http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/03/3eme-plainte-avec-cpc-parodie-daudition.html
Comme indiqué dans ce texte il n'existait aucune preuve de cette audition dont le PV m'avait été illégalement refusé . Il n'y avait non plus de preuve du passage des 3 policiers à mon domicile pour constat. Autre comédie.
Rien, Niente, Nada. Meiyou. Dossier VI-DE.
Cependant , dans le cadre de ma plainte avec CPC, le juge de Paris Mme POUS attendait le PV d'audition obligatoire dont elle avait fixé les règles.
A la place elle obtiendrait ce qui s'appelait un rapport et qui avait été fait par la brigadière Mme DESCHAMPS , non intervenue , sauf en cachette, dans cette plainte avec CPC .
Dans son rapport , Mme DESCHAMPS y notait ceci , établi sur dossier :
et une magistrate française Mme POUS avait accepté qu' aucun PV d'audition, ( remplacé par un rapport sur dossier) n'existe dans une plainte avec CPC ainsi conclue sans témoignage de la victime : une cible de harcèlement en réseau , sans droits constitutionnels reconnus.
Citoyenne reconnue seulement au moment des paiements des impôts ou taxes diverses.
http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/03/cour-europeenne-des-droits-de-lhomme.html
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