La concoction injectée est un viol du Code de Nuremberg


Les coronavirus existent, plus ou moins redoutables et les vilains  rhumes et les mauvaises grippes nous le prouvent chaque année. 
Les virus varient et mutent . Ils n'ont pas de passeports , ni de langue nationale . Ce n'est pas nouveau. En faire des anglais redoutés ou des sud-africains redoutables  est une autre façon de désigner des ennemis  ou des causes extérieures.  C'est aussi la faute des autres, interprétée de diverses façons , selon sa conviction personnelle. 

 Les infections se soignent , par la prévention d'abord  et par des traitements accessibles et connus du monde médical , quand il n'est pas dévoyé par des liens et conflits d'intérêts, ou des ordres politiques incohérents de leur Ordre national.   

Le  premier coronavirus de la saison  et  qu'on nous a fait détester a été utilisé comme une aubaine par des pervers et psychopathes en mal de pouvoir absolu et d'argent, sur fond d'injections généralisées pour justifier les mesures liberticides imposées. 


Pour remettre les idées à l'endroit  , on a l'article   ci-dessous -  en lien -   extrêmement documenté et détaillé,  qui analyse la réalité d'un chamboulement mondial orchestré et dont on a tendance à ne retenir que le présent  des phases successives de communication imposées par les médias officiels. 

Loin de ces distractions pour gogos crédules et confiants , ce long article expose   ce que des médecins courageux  , informés et honnêtes ,  transmettent et dissèquent pour  aider nos cerveaux embués à réaliser la gigantesque comédie/supercherie dont nous sommes les acteurs/figurants. 

Pour cela  Sott.net a synthétisé des informations d'ici et d'ailleurs  qui élargissent les connaissances et la reflexion de chacun  sur un problème mondial  de peur panique de mourir auquel presque personne n'échappe  et qui permet de faire et faire faire n'importe quoi à la population. 

Pourtant naître, c'est bien prendre le risque de mourir par inattention , un jour. Non ? 

https://fr.sott.net/article/36487-Le-dispositif-a-ARNm-anti-Covid-n-est-PAS-un-vaccin-ni-meme-un-medicament-un-traitement-ou-une-therapie-Alors-c-est-quoi

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