Le racket de protection
L’expression Racket de protection a été utilisé par Hiroyuki Hamada dans son article d’analyse de la situation de la Covid-19.
https://www.globalresearch.ca/the-global-capitalist-cage-and-the-corona-crisis-solutions-by-those-who-have-created-the-problems/5727349.
De façon générale , il semblerait que le racket de protection soit une forme d'action violente et sinon de manipulation insidieuse et rampante mais également violente , qui consiste à cacher ( ou pas) des actions à buts lucratifs , ou à intérêts inavoués pour en tirer des avantages pour le racketteur et ses comparses, tout en prétendant protéger sa ou ses proies .
Pour une compréhension rapide , Wikipédia nous dit que l’expression racket de protection est un concept fortement lié au monde criminel. Il s’agirait d’une situation où un groupe criminel fournit en l’imposant , sa force de menace , d’intimidations et d’actions violentes , pour prétendre protéger des citoyens ou des activités, et en exigeant de l’argent en contrepartie.
Le racket de protection s'avère être un contrat non-officiel extorqué à des individus ou sociétés qui n’ont pas les moyens de le refuser, ou de porter plainte , sauf à prendre des risques d’anéantissement et de violences exemplaires.
Traditionnellement le racket de protection s’épanouirait sur des marchés, zones ou domaines ou la police et le système judiciaires seraient défaillants .
Toujours , selon Wikipedia, il existerait une tendance nouvelle de racket de protection constituée par des réseaux corrompus composés d'agents publics. Des membres d’agence de justice pénale sont explicitement notés, avec pour exemple la « mafia rouge » de Chine
Cette « mafia rouge » serait formée de fonctionnaire corrompus devenus protecteurs extra-légaux de gangs, d’entrepreneurs et d’hommes d’affaire aux activités criminelles .
Le racket protection tel que proposé dans l’article Hiroyuki Hamada, s’appliquait à la situation du Covid-19 et à la manipulation opportuniste de la crise sanitaire volontairement déformée et amplifiée par des hommes de pouvoir , et ce à des fins financières , mercantiles et autoritaires, en vue de la construction d’un prétendu « Nouveau monde » .
Dans la situation de violence légale fabriquée et mise en place à l’occasion d’une crise sanitaire improvisée, une des premières mesures traitre et non urgente, prise en catimini par notre président technocrate , a été l’implantation de la 5G , sans consultation des biologistes et médecins spécialistes du sujet, mais en aliénant le pouvoir de décisions d’élus locaux , et toute contestation possible des populations concernées par leur bonne santé.
On mettait ainsi en place, par la contrainte d’une Ordonnance un nouveau facteur de fabrication de mauvaise santé par des moyens cachés et dont les effets délétères sont documentés et connus, en prétendant "en même temps" , par les autres mesures décidées, œuvrer pour la santé de la population.
Pour ce cadeau d’un technocrate à des technocrates milliardaires, l’avis de médecins et spécialistes n’était pas souhaité.
Le comble , étant que la mauvaise mais spectaculaire excuse de cette décision d’imposition de la 5G , passe aussi par le monde médical. On nous annonce , par exemple un avantage pour se faire traiter plus facilement et se faire opérer à distance.
Une liposuccion par un chirurgien brésilien dans sa langue d’origine avec traduction google instantanée ?
Une opération du coeur d’un petit enfant en Afrique , où les pannes de courant sont parfois encore un problème ?
Naturellement, on évite de préciser que la crise sanitaire terrifiante , amplifiée, est destinée aussi, à promouvoir une vaccination généralisée , doublée d'une traçabilité totale des populations grâce surtout au déploiement général et rapide de la 5G.
Après bien des tergiversations et propos contradictoires , le port des nouveaux lots de masques faciaux à écouler avait été rendu obligatoire , avec violentes sanctions à la clé en cas de non-soumission aux dictats d’utilisation impérative de ce survêtement facial.
On sait :
- qu’ une maille de masque fait 3 microns
- Un virus mesure environ 0,02 micron et il en passe plusieurs centaines dans un seule maille de ces masques
- Une gouttelette d’éternuement ou de toux peut mesurer jusqu’à 10 microns, et c’est le seul cas où le port du masque peut avoir une utilité.
- Un grand nombre des masques vient d’Asie et est fabriqué dans des sweat shops , coupés et mis en forme à même le sol, et sans précaution d’hygiène .
- Les masques grand public sont faits de fibres de plastique que le frottement et l’humidité de la respiration décollent et que les aspirants forcés à la mauvaise santé inhalent et stockent dans leur organisme.
- Les masques de fibres de plastique bouchent le nez et l’inhalation de l’oxygène, censée revitalisante , et qui approvisionne en temps normal le cerveau et les organes ainsi réduits à un fonctionnement de survie .
- Les masques de fibres de plastique bloquent le CO2 nocif et normalement expiré ,mais que les masques contraignent à re-inhaler pour s’auto-intoxiquer.
Et on voudrait nous faire croire que tout cela est décidé avec l’aide du corps médical, et pour notre bien ?
Puis un nouveau confinement stratégique et draconien avait de nouveau été imposé , pour prétendument protéger la bonne santé de la population d’une épidémie qui emporte surtout les gens âgés.
Or, pour être en bonne santé, tous les êtres sains et surtout les médecins , savent qu’il faut bouger pour faire circuler le sang et même produire de la sérotonine qui éviterait la déprime.
Au lieu de cela , la technocratie , a décrété que la population ne devait plus bouger pendant encore au moins un mois, sauf pour acheter des paquets de nouilles et du riz, mais en aucun cas pour acheter une pince à épiler , un veston, une bicyclette , ou une nuisette, et encore moins des livres pour s’évader ou s’instruire autrement que par le bourrage de crâne imposé à travers les médias officiels.
Les tamis à terre sont autorisés à la vente, mais pas les passoires à nouilles .
Les pelles, les brouettes , les bottes et autres éléments de jardinage sont autorisés.
La tonte des pelouses est autorisée .
Le coiffage à domicile qui suppose la proximité de deux personnes est interdit .
On a encore rien décidé pour l'utilisation d'un même lit pour deux personnes , et sans distance sociale réglementaire possible .
Verra-t-on dans un mois les membres du gouvernement, privés de coiffeur (?) avec une queue de cheval ?
Les confinés dans 20 ou 35 m2, contraints au télétravail par notre polytechnicienne de service qui agite les menaces de sanctions, peuvent garder en mémoire que nous prêtons à l’homme qui prend les décisions de notre mauvais santé entretenue , un palais de 11 179 m2 avec 365 pièces , où ses appartements privés s’étalent sur 300 m2, et où 2 hectares de jardin doivent permettre de faire un jogging digne de ce nom, et sans masque , pour pouvoir s’oxygéner le cerveau et penser vite.
Entretenir la mauvaise santé avec des masques et des frustrations , appauvrit le système immunitaire des enfants et de la population qui pourrait travailler.
Pour créer "un nouveau monde" que naïvement la population avait compris comme un lieu de plus d'équité , on nous annonce la fin obligée de l'individualisme ravalé au rang de quasi tare , et on nous impose la responsabilité des malheurs collectifs, par la faute personnelle de toute contamination si nous n'obéissons pas aux ordres d'un conseil de militaires et d'un autre conseil de savants paravents.
En continuant seulement avec l’article généraliste de Wikipédia sur le racket de protection, on en arrive à ce phénomène décrit, quand appliqué en temps de crise. Il y est alors précisé que c'est un moment utilisé par des dominants pour voler le pouvoir au plus grand nombre au nom de la sécurité.
Il y est dit que : "Plus l'ennemi est insaisissable ou imaginaire, mieux c'est pour fabriquer le consentement. "
et
" En temps de guerre ou de crise, le pouvoir est facilement volé au plus grand nombre par une sécurité. Plus l'ennemi est insaisissable ou imaginaire, mieux c'est pour fabriquer le consentement. "
Par définition, les faits pertinents ne sont jamais fournis de manière complète et exacte; par nécessité, ils sont arrangés pour représenter une certaine interprétation subjective d'un événement. Ceux qui sont le plus familiers avec le plus grand nombre de faits concernant un certain environnement, construisent un pseudo-environnement qui s'aligne avec leurs propres «stéréotypes» et le transmettent au public, sciemment ou non, pour répondre à leurs propres besoins privés. «
Dans :
La guerre et la construction de l'État en tant que crime organisé,
l'auteur, Charles TILLY ne mentionne pas l’utilisation d’une crise sanitaire pour justifier
- la numérisation et digitalisation forcée de la population
- l’effondrement économique et la faillite des entreprises qui passeront dans l’escarcelle des hyper- riches
- l’abandon de l’utilisation des espèces pour achats incontrôlables et non programmables
- l’hypercontrôle des populations appauvries, affamées et conditionnées au servage d’un « nouveau monde »
Mais il met en garde, plus généralement , contre un racket à la protection mis en place par des individus coercitifs et imbus de leur pouvoir et qui l’utilisent en prenant appui sur l’illusion de leur légitimité sur fond de contrat social détourné et au profit des élites financières et militaires.
En voici quelques extraits:
Si le racket en échange de protection représente la forme la plus manifeste du crime organisé, alors la guerre et l'Etat - quintessence de ce type de racket avec l'avantage de la légitimité - apparaissent comme les plus grands exemples de crime organisé.
….dépeindre ceux qui font les guerres et ceux qui font les Etats comme des entrepreneurs coercitifs et égoïstes correspond beaucoup plus aux faits que les principales représentations alternatives : l'idée d'un contrat social, l'idée d'un marché ouvert sur lequel les agents des armées et des Etats offrent des services à des consommateurs bien disposés, l'idée d'une société dont les normes et les attentes partagées appellent un certain type de gouvernement
Néanmoins, en remontant
jusqu'à Machiavel et Hobbes, les observateurs politiques ont reconnu
que, quoiqu'ils fassent d'autre, les gouvernements organisent et, autant
que possible, monopolisent la violence. Peu importe qu'on conçoive la
violence dans une acception étroite (dommages sur les personnes et les
biens) ou plus large (violation des désirs et des intérêts des gens).
Quel que soit le critère, les gouvernements se distinguent des autres
organisations par leur tendance à monopoliser les moyens concentrés de
contrainte. La distinction entre force « légitime » et « illégitime »,
en outre, ne change rien à ce fait. Si la légitimité dépend de la
conformité à un principe abstrait ou de l'assentiment des gouvernés (ou
des deux à la fois), ces conditions peuvent servir à justifier,
peut-être même à expliquer, la tendance à la monopolisation de la force
L'idée que l'on aura du mot « protection » dépend principalement de l'estimation que l'on fait de la réalité et de l'extériorité de la menace. Celui qui produit à la fois le danger et la défense, payante, contre celui-ci, est un racketteur
Mais considérons qu'un racketteur est celui qui crée une menace et fait ensuite payer pour s'en protéger. Selon cette définition, le fourniture de protection par les gouvernements apparaît souvent comme du racket. Dans la mesure où les menaces contre lesquelles un gouvernement donné protège ses citoyens sont imaginaires ou sont la conséquence de ses propres activités, ce gouvernement a organisé un racket en échange de protection. Puisque les gouvernements eux-mêmes simulent, stimulent ou même fabriquent des menaces de guerres extérieures et puisque les activités répressives et extractives des gouvernements constituent souvent les plus grandes menaces pour les moyens d'existence de leurs propres citoyens, de nombreux gouvernements opèrent exactement comme des racketteurs. A cette différence près, bien entendu, que les racketteurs, au sens conventionnel du terme, agissent sans disposer du caractère sacré des gouvernements.
Si le racket en échange de protection représente la forme la plus manifeste du crime organisé, alors la guerre et l'Etat - quintessence de ce type de racket avec l'avantage de la légitimité - apparaissent comme les plus grands exemples de crime organisé. Sans taxer tous les généraux et hommes d'Etat de meurtriers ou de voleurs, je veux souligner la valeur de cette analogie. Au moins pour ce qui concerne l'histoire européenne de ces derniers siècles,..... "
On notera accessoirement que cet article de Charles Tilly, fait partie de la rubrique
Les mafias
Charles Tilly
Politix. Revue des sciences sociales du politique Année 2000 49 pp. 97-117
Fait partie d'un numéro thématique : Les mafias
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Charles Tilly, né le 27 mai 1929 à Lombard en Illinois et mort le 29 avril 2008 à New York, est un chercheur en sciences sociales, de réputation internationale. C’était un sociologue , un spécialiste des sciences politiques et un historien. Il a écrit sur la relation entre politique et société. La France et la Grande Bretagne ont été au coeur de ses recherches.
Il a enseigné à la New School University du Michigan.
Il a collaboré avec son frère Richard, son épouse Louise, à une étude comparative sur les mobilisations en France, en Italie et en Allemagne. ( The Rebellions Century 1830-1930, 1975)
Il a écrit 51 livres et plus de 600 articles académiques
https://www.globalresearch.ca/what-pharmaceutical-industry-connections-schools-public-health/5726913
https://www.globalresearch.ca/mask-symbol-subjugation/5718574
https://www.globalresearch.ca/open-letter-robert-redfield-director-center-disease-control-prevention/5725629
https://www.globalresearch.ca/masks-psychological-preparation-mandatory-vaccinations/5720053
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