TORTURE ÉLECTRONIQUE - RAPPEL
On désigne par torture électronique ou harcèlement électronique, le traitement caché et sadique , infligé à des personnes civiles au moyen d'énergie pulsée.
L'adjectif électronique indique globalement les divers moyens technologiques utilisés , des plus rudimentaires aux plus sophistiqués.
Ce billet tente de répondre à une question posée sur les spectres de fréquences responsables du harcèlement électronique. Le choix des fréquences dépend des opportunités. Si un cible de harcèlement électronique est proche d'un mât d'antennes, c'est ce qui sera utilisé. Si elle est éloignée et que le réseau criminel a trouvé des voisins complaisants ce sont leurs logements qui seront le lieu d'origine des tirs. etc... Cela explique , pour les cibles, les variétés de spectres de fréquences utilisés et les différences de traitement appliqués et d'effets perçus et décrits.
Pour la plupart des cibles de harcèlement électronique, les agressions qui visent le cerveau et privent de sommeil et de repos , ne peuvent être définies que par le mot TORTURE .
Cette torture consiste à pulser vers le cerveau de la cible une énergie immatérielle ressentie comme violente et souvent au point de hurler.
Les amas de lignes vertes de ce clip vidéo indiquent les décharges électriques dans le cerveau au moment d’une souffrance qui correspond aussi à des éclatements sonores à l’intérieur de la boite crânienne . Ce phénomène est souvent expliqué par une brusque thermodilatation
Pour cette nuit encore, le cerveau ainsi torturé, se trouvait ( dans sa boite crânienne) sous une tente de Faraday qui normalement protège des champs électromagnétiques environnants à partir de 100 MHz , mais sert surtout , ici, et parfois , à éviter le repérage du corps par les moyens de détection de l’engin tueur.
La tente de Faraday ne protège pas des impulsions. Elle atténue la violence des premières impulsions vers le cerveau. Mais il faut vite s’en débarrasser ou ajouter autre chose en protection, car ces tirs d’énergie ont la particularité de forcir en fonction des résistances trouvées.
En fait, pour éviter un AVC, il faut changer de place sans arrêt….. dans l’épuisement de l’inéluctable poursuite de l’appareil qui retrouve le corps et la tête jusqu’à ce que l’opérateur décide d'arrêter sa poursuite sadique .
Pour la nuit du 28 au 29 janvier 2021, cette poursuite avait cessé au petit matin
La cadence des déflagrations électriques dans le cerveau pendant l’heure où j’avais essayé de ne pas bouger avec l’EEG en enregistrement était comme ci-dessus.
La position des électrodes sur la boite crânienne pendant un enregistrement EEG est toujours ainsi .
La sensibilité de l’appareil, conseillée par le technicien du fabricant est comme ceci :
L’électricité produite par le cerveau est traduite par la machine EEG en microVolts ( µV)
Le cerveau à 21h33.23 , avant le premier tir d’énergie se présentait comme sélectionné en rouge .
La partie suivante à droite avec une masse compacte de bande vertes très serrées correspond à la déflagration électrique liée au premier tir d’énergie.
A 23H33.24 l’énergie électrique, quasi nulle , dans le cerveau présentait les valeurs suivantes données par gammes d’ondes cérébrales , au niveau de chaque électrode. Le tableau de gauche donne les gammes d’ondes cérébrales avec leurs spectres de fréquences.
Au moment du premier tir d’énergie qui a éclaté dans la tête , sans les habituelles sensations de brûlures préalables, soit directement sans préparation ou appréhension , le cerveau a réagi ainsi :
On note ainsi que l’énergie électrique à l’intérieur du cerveau est passée en 8 secondes
Par exemple
pour FP1 en ondes DELTA de 1,5 microVolt à 163. 826 microVolts
Pour FP2 en ondes DELTA de 7,3 microVolts à 238.953 microVolts
Etc….
Après la violence de ce tir d’énergie dirigée 21H 33. 29 qui a perturbé le cerveau pendant 4 secondes , jusqu’à 21H33 32, le tracé des ondes cérébrales se présentait ainsi ( partie sélectionnée colorée en rouge) :
Les carrées et rectangles verts , dans la bande en bas où se trouve l’heure, correspondent aux déflagrations électriques suivantes . Elles sont toutes accompagnées d’éclatements sonores dans la boite crânienne
On voit toujours à gauche de l’image, le tracé compact vert correspondant à la décharge électrique dans le cerveau de ce premier tir d’énergie.
Le mot « outbreak » correspond à la reconnaissance de l’attaque.
Ci-dessus , cette image donne à voir l’énergie électrique dans le cerveau à 21H33 36, soit 4 secondes après l’attaque du tir d’énergie.
Dans une maison, loin de toute antenne relais, sans aucun appareil électronique produisant des micro-ondes, et avec le Holter de l’EGG entouré de sept épaisseurs de mylar ( papier aluminium plastifié) , un détecteur de CEM ( champs électromagnétiques ) à piles, qui enregistre en continu, était placé près de moi, sous la tente de Faraday.
Il a détecté et enregistré ceci au moment du premier tir d'énergie :
Il faut savoir que souvent, il n’existe pas de détection d’énergie pulsée pour les éclatements sonores suivants .
Comme s’ils se déclenchaient en interne .
Mais il existe, à espaces aléatoires, de nouveaux tirs violents, sorte de piquer de rappel, à chaque changement de place de couchage . Un opérateur qui observe l'intérieur de ma maison, via un satellite ou un radar, enclenche son sytème de tirs/matraquages d'énergie et qu'il déplace en suivant mes changements de place .
Dans la journée déjà, il y avait eu une séance de tirs ciblés, alors que je m'étais immergée dans la lecture d'un thriller sur fond de cartel de Cali, de mafia russe et de sectes de toutes
sortes.
La question du pourquoi de cette nouvelle nuit de violence sadique de vengeance m’amène une nouvelle fois à une hypothèse très vraisemblable, de vengeance bizarre, et en provenance du monde judiciaire.
Celui qui est lié aux réseaux criminels et mafieux.
En effet, hier , journée sans problèmes, la magistrate assise des Sables d’Olonne avait reçu ma dernière lettre(LAR) qui a du mettre en pétard.... certains.
L'autre hypothèse , et tout aussi vraisemblable , est la colère des pro-ondes qui auraient détesté le titre http://lezarceleurs.blogspot.com/2021/01/la-technologie-sans-fil-facteur-majeur.html
Ce qui nous ramène de toutes façons au réseau criminel qui utilise un outil de travail pour en détourner l'usage à son profit .
La cadence des déflagrations électriques dans le cerveau pendant l’heure où j’avais essayé de ne pas bouger avec l’EEG en enregistrement était ainsi.
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