CONSEIL SCIENTIFIQUE COVID-19 et THE LANCET

Le Conseil scientifique COVID-19 a été mis en place le 10 mars 2020

Son existence  été officialisée par décret le 3 avril 2020

Les membres de ce Conseil scientifique COVID-19,  sont  bénévoles  et donc  ne perçoivent ni rémunération ni avantage lié à cette qualité. 

Le règlement intérieur du Conseil Scientifique  se trouve ici: 

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/reglement_interieur_cs.pdf

 Les membres qui  composent le conseil scientifique COVID-19 sont :  

Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique

• Laëtitia Atlani-Duault, Anthropologue
• Daniel Benamouzig, Sociologue
• Lila Bouadma, Réanimatrice
• Simon Cauchemez, Modélisateur
• Pierre-Louis Druais, Médecine de Ville
• Franck Chauvin, Médecin de santé publique
• Marie-Aleth Grard, Milieu associatif
• Aymeril Hoang, Spécialiste des nouvelles technologies
• Arnaud Fontanet, Epidémiologiste
• Bruno Lina, Virologue
• Denis Malvy, Infectiologue
• Yazdan Yazdanapanah, Infectiologue

Le 17 février 2021 le groupe s’est agrandi  avec :

Catherine Chirouze,  infectiologue 

Olivier Guérin, gériatre

Angèle Consoli , pédopsychiatre

Thierry Lefrançois, vétérinaire 

et le 18 février 2021 des membres du Conseil scientifique français ont publié un article en anglais  qui n’est pas encore notre langue nationale, pour donner leur avis ,  qui est de laisser la vie reprendre  son cours habituel , sur la base des réflexions de bon sens suivantes  : 

( extraits de https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)

- L’évolution des virus qui ne permet pas d’attendre une fin d’épidémies

L’évolution virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouvelles variantes émergeront et que l'évasion immunitaire réduira l'efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

- La campagne de peur (reconnue ) orchestrée

"Par conséquent, il est temps d'abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur de nouveaux confinements généralisés apparemment aléatoires  comme principale réponse à la pandémie; des approches qui attendent des citoyens qu'ils attendent patiemment jusqu'à ce que les unités de soins intensifs soient renforcées, que la vaccination complète soit réalisée et que l'immunité da masse  soit atteinte."

- La catastrophe économique  et sanitaire , conséquence des mesures décidées

" Les populations ont jusqu'à présent été relativement satisfaites, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L'impact de l'enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire reste à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale.4, 5 Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, malgré elles. étant à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2."

- L’absence de transparence ......

On pourrait déduire de ce choix  de publication dans le LANCET , un aveu de l’impossibilité d’utiliser la presse officielle  nationale  pour ce type  communiqué ,et de toute façon, encore moins,  les médias alternatifs, qui leur vaudrait les foudres des décideurs. 

 Cependant , malgré cette courageuse déclaration, il faut rappeler que  Le Conseil scientifique COVID-19 n’a un avis que consultatif. 

Ce sont des  cabinets de conseil  qui décident  depuis 1 an , des stratégies diverses  à mettre en place , et ce,  en toute opacité . Aussi bien à l'Elysée qu'au ministère de la Santé.

Depuis les articles de POLITICO et du CANARD ENCHAÎNÉ sur les cabinets de conseil utilisés par Mrs Macron et Véran  , la population française sait que  de mars 2020 à février 2021 , elle a versé à ces cabinets de conseil  utilisé par le ministre de la santé , les sommes suivantes,- et sans cependant priver les hauts fonctionnaires en charge et inutiles,  de leurs salaires-  : 

- CITWELL :  3 774 164 euros

- JLL :  1 259 833 euros

- Roland Berger  : 940 549 euros 

- DELOITTE  :  49 032 euros

- ACCENTURE  : 1 266 123 euros 

- McKINSEY :  4 013 700 euros 

                      Domicilié dans le Delaware , avec un  forfait fiscal 175 dollars/an

- CGI :  74 959 euros 

source : https://www.consultor.fr/devenir-consultant/actualite-du-conseil/6369-covid-comment-le-ministere-de-la-sante-a-distribue-les-missions-de-conseil.html