Le Conseil d'Etat croit que les vaccinés sont des contaminants



Le Conseil d'Etat  dont le Vice-Président , qui fait office de Président ,  a été nommé en 2018 , veut que les vaccinés qu'il considère comme contaminants, soient soumis au mêmes restrictions que les autres  : confinement et couvre-feu.

C'était bien la peine  de servir de cobayes à des laboratoires pharmaceutiques !

Dans sa fonction de police administrative , le Conseil d'Etat est l'instance suprême censée corriger les aberrations de l'administration d'Etat dirigée par le chef du gouvernement , et  ce, en garantissant un traitement impartial à chacun. 

Ici, la situation est inédite . Les volontaires à une vaccination  anti-Covid ont accepté l'injection d'un produit  totalement nouveau ,  et encore en phase expérimentale, en croyant  se sauver de la mort prédite, et pouvoir gambader à l'aise.

Pour les inciter à subir cette injection aux conséquences inconnues , on leur a fait miroiter leur ultérieure libération de toutes les  contraintes imposées aux soit-disant réfractaires à la vaccination. Et pour ces gens qui pensent surtout à eux-mêmes - et personne ne leur reprochera- on a re-inventé en pointillé  un concept prétendument altruiste  de solidarité sanitaire  qui disait que se faire vacciner c'est protéger les autres, en plus d'être enfin libre de ses mouvements. 

Et patatras. Malgré la vaccination, il y aurait un nombre indécent d'infectés, avec des hôpitaux qui débordent. 

Et voilà qu'un juge- quasi-médecin du Conseil d'Etat décide au nom d' une simple hypothèse peu rassurante , sans études, documents ou preuves à l'appui , sinon la surcharge supposée des hôpitaux pour cause  supposée de Covid, que ce phénomène  d'infection est du aux   nouveaux vaccinés que le juge-médecin croit et décide contaminants. 

Comment cela peut-il être possible , alors que le produit  injecté est en phase expérimentale et que personne n'a pu présenter  d'étude sur ce phénomène de vaccinés dangereusement contaminants  ?

Ce juge-médecin clairvoyant  ignore-t-il  que des infections qui mènent à l'hôpital  sont  possibles  et existent simplement parce qu'on interdit aux praticiens de terrain  de soigner dès les premiers symptômes  d'une infection respiratoire et ce,  en les privant  tout bonnement des produits efficaces et bon marché disponibles. ?

Ignore-t-il  la confusion volontaire faite entre les différentes catégories de soins d'urgence  et de pathologies et qui permet de gonfler les statistiques pour générer des décisions liberticides   et contraires à l'intérêt général des 99%++ de bien portants. ?

Mais , au diable les détails , les précisions ou les preuves , l'essentiel semble  d'avoir le doigt sur la couture  , pour une nouvelle pantalonnade . 

 Et voici la décision  du juge du Conseil d'Etat , copiée de Réseau International 

Voici l’ordonnance du Conseil d’État dans sa version originale

« Un retraité de 83 ans a demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre les restrictions de déplacement prises par le gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées. Le juge des référés rejette sa demande considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion.

Le 19 mars dernier, le premier ministre a décidé de limiter les déplacements dans les 19 départements où la situation sanitaire est la plus critique.

Le requérant, qui réside dans l’un des départements concernés et qui a été vacciné, dénonce une atteinte à sa liberté d’aller et venir. Il demande au juge des référés de suspendre ces limitations pour toute personne ayant bénéficié de la vaccination contre la covid-19. Il considère que les mesures de restriction de déplacements, de couvre-feu et de confinement ne sont plus nécessaires et adaptées pour les personnes vaccinées.

Le juge observe que la diffusion du virus s’est aggravée de manière significative sur l’ensemble du territoire, mettant fortement sous tension les hôpitaux, et conduisant à la généralisation des restrictions à tout le pays.

Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées.

Pour ces différentes raisons, ces restrictions de déplacement, même pour les personnes vaccinées, n’apparaissent pas disproportionnées. C’est pourquoi le juge des référés du Conseil d’État rejette la demande du requérant ».

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