Virus - Vaccin - "Mind control "

 Il existe , à l'international, une communauté de personnes aux parcours divers, qui se disent et se savent ciblées par ce qu'il est convenu d'appeler le "harcèlement électronique" 

Le mot "harcèlement" signe la répétition obsessionnelle .

Le mot "électronique" indique l'usage de technologies variées utilisées pour produire l'énergie  pulsée destinée à  agresser  ces personnes et les contrôler en manipulant leur système nerveux et leur cerveau. 

Le premier et plus simple effet et moyen réalisé par ce harcèlement électronique est la privation de sommeil qui induit la perte des facultés cognitives .

Les raisons de leur ciblage, fait de haine, de volonté d'éliminer  ou de désir de vengeance ,  sont liées à leur histoire personnelle  .

La documentation et  la littérature qui mentionnent  et explicitent  ce phénomène est essentiellement accessible par des textes en anglais. 

Mais les technologies utilisées contre des cibles  pour les détruire en les faisant souffrir, sont susceptibles  d'être déclinées de façon différente sur la population dans son ensemble pour la soumettre  sans difficulté à abdiquer ses droits , ses libertés, son humanité.
 

A cet effet, il n'est pas indifférente de constater que la 5G qui pénétrera partout , se déploie , ici, par la seule volonté et décision d'un tyran déguisé en jeune technocrate dynamique.  Aux USA, c'est l'organe de régulation des fréquences   qui est à l'oeuvre et permet la pose d'antennes 5G  sur les toits des  maisons par des propriétaires privés , qui irradieront  ainsi tout le voisinage non consentant , en empochant un peu d'argent.
 

La précipitation à déployer cette technologie agressive n'est certes pas anodine et ne sert peut-être pas que la communication. En liant la marche forcée de la vaccination à la décision  d'accélérer la couverture du pays par les ondes , en début de prétendue crise sanitaire , on peut formuler  des hypothèses différentes du discours officiel lénifiant.
 

Cela amène à  essayer de considérer d'autres causes que les plus évidentes et à présenter de nouveau, le problème du contrôle mental,   sous un éclairage différent , tel que celui proposé par Mojmir Babacek dans une conférence datée de 2014.

 

Les extraits présentés ci-après viennent de sa  conférence  en anglais

et ont été traduits par Rudy Andria . 

Le texte complet avec liens , de cette conférence , se trouve à https://lezarceleurs.blogspot.com/2014/12/the-ways-to-defeat-secrecy-surrounding.html?zx=c54581bbbcefb52e

........

La question de la classification des technologies de contrôle mental 
fait partie de cette favorisation du pouvoir au détriment de la
démocratie. Il n’y aurait aucune raison de cacher des yeux du public
ces technologies, si nous devions vivre dans un monde où prévaudrait
la démocratie.
Le fait que les technologies de contrôle mental soient classées 
secrètes est la raison pour laquelle les technologies en question
peuvent être utilisées sur des individus innocents. Dès lors que les
citoyens savent que leurs gouvernements sont en possession des
technologies en mesure de contrôler les fonctions mentales et
corporelles des citoyens, ces citoyens exigeraient l’interdiction
immédiate et contrôlable de ces technologies, et les gouvernements en
sont parfaitement conscients. Savoir que les gouvernements sont en
possession de ces technologies équivaut à savoir que la démocratie
n’existe plus.
……
Une fois que la technologie destinée au contrôle à distance du système nerveux est déclassifiée, il ne resterait plus qu’à obtenir une législation interdisant l’usage de ces
technologies, créer des équipes capables de mesurer et de détecter les
radiations nocives et en trouver les sources. Les victimes ciblées par
ces radiations seront en mesure d’exiger le contrôle de l’utilisation
de ces technologies sur leur personne et pourront ainsi mettre fin à
leur torture. Très peu d’individus, jusqu’ici, sont touchés par ces
radiations et, vu leur nombre dérisoire, ils n’ont aucune chance de
l’emporter dans le processus démocratique. C’est là que réside le
problème.
…..
A titre d’exemple, nous pouvons lire sur le site du Ministère de la
Défense de la République Tchèque:. « Rayonnement électromagnétique à
hautes fréquences: il perturbe l’activité du cerveau et du système
nerveux central. L’effet est perçu par l’individu, à la fois comme une
insupportable et douloureuse sensation d’intense bourdonnement et un
grincement accompagné d’anxiété et de malaise, en fonction des
conditions et des paramètres précis du signal
……
La plupart des détecteurs disponibles sur le marché
peuvent détecter des fréquences allant jusqu’à 8 GHz. La plupart des
scientifiques qui effectuent des expérimentations sur les effets de
radiations micro-ondes pulsées sur le cerveau humain en sont venus à
la conclusion que les fréquences porteuses de micro-ondes supérieures
à 3 GHz n’ont pas d’effets. La raison en est que plus la fréquence des
micro-ondes est élevée, plus elle est absorbée dans le tissu humain.
C’est pour cela qu’elle ne va pas assez profondément dans le cerveau
pour y produire des effets. Il y a, malgré tout, des fenêtres pour des
fréquences supérieures à 3 GHz, où les ondes électromagnétiques iront
assez profondément dans les tissus du cerveau pour produire des effets
sur le système nerveux. Parmi ces fréquences, il y a celles de la
lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge (PIR). La lumière
rouge de 620 à 750 nanomètres de longueur d’onde va jusqu’à une
profondeur d’environ 1 cm dans le tissu du cerveau et est en mesure
d’affecter environ un quart de la matière grise du cerveau. La lumière
du proche infrarouge (PIR) avec des longueurs d’onde de 700 à 800
nanomètres vont normalement jusqu’à une profondeur de 3 à 4
centimètres dans le tissu mais quand la forme géométrique des ondes de la lumière du proche infrarouge est modifiée, cette lumière peut être amenée à aller à une
profondeur de 20 centimètres dans le tissu humain. La pénétration de
la lumière rouge et de la lumière du proche infrarouge dans le tissu
humain s’explique par le fait que la longueur d’onde moyenne de
l’activité du tissu de la cellule dans le corps humain est comprise
entre 600 nanomètres et 720 nanomètres.

Ils correspondent aux fréquences de la lumière rouge et de la lumière infrarouge. Il y a des
études suggérant la capacité de la lumière du proche infrarouge à
affecter l’activité des fibres nerveuses.

Pour que le système nerveux humain soit plus susceptible d’être
contrôlé par des fréquences pulsées de lumière, aucune puce n’est
nécessaire. Les scientifiques ont développé des virus qui peuvent
rendre les neurones plus susceptibles de réagir à des
fréquences pulsées de lumière.

Donc, pour que le système nerveux d’un individu puisse être manipulé,
il suffit de faire manger à cet individu des aliments contaminés ou de
lui faire faire un vaccin.

……
Cependant, la lumière rouge et la lumière du proche infrarouge (PIR)
ne passent pas à travers les murs et autres obstacles optiques
et, pour cette raison, elles ne peuvent pas être utilisées pour la
manipulation continue du système nerveux humain. La lumière rouge est
également visible et peut être détectée assez facilement. On peut donc
se demander si les mêmes virus qui peuvent amener des neurones à
réagir à la lumière peuvent amener ces neurones à réagir à des
fréquences micro-ondes de 100 mégahertz à 3 Gigahertz, qui pénètrent
dans le cerveau humain. Si cela ne peut être fait, la science
contemporaine n’a certainement pas de problème pour développer des
virus qui puissent amener les neurones à réagir à des fréquences micro-ondes.
……
Quoi qu’il en soit, de nombreuses expériences, avec les périphériques
disponibles, doivent être effectuées, lors de la recherche de preuve
de l’utilisation des fréquences de micro-ondes pulsées sur les êtres
humains, fréquences appelées « psychoactives »

……
Mais qu’est-ce qu’on entend par « preuves convaincantes »?. Selon divers
rapports, la densité de puissance du rayonnement électromagnétique
dans les villes, la plupart du temps ne dépasse pas 5 microwatts par
centimètre carré. Cependant, il arrive que, dans une ville indienne,
la mesure atteigne 1 MW par centimètre carré. La plupart des
scientifiques, qui ont effectué des expériences avec les effets des
micro-ondes sur l’organisme humain, conviennent que la densité de
puissance nécessaire ne dépasse pas 10 microwatts par centimètre
carré. Dans l’expérience de Frey avec l’effet d’audition par
micro-ondes, la densité de puissance moyenne pour les différentes
fréquences et les  largeurs d’impulsion a varié de 0,4 microwatts par
centimètre carré à 7,1 milliwatt par centimètre carré. Dans les
expériences de Ross Adey avec l’efflux (ou écoulement) de calcium dans
le système nerveux, l’efflux s’est produit uniquement dans la gamme de
densité de puissance de 0,1 à 1 mW par centimètre carré. Adey obtenait
les meilleurs résultats dans d’autres unités, lors de l’utilisation du
champ électromagnétique de 10 V par mètre et 56 V par mètre. Étant
donné que la densité de puissance des fréquences de contrôle mental
est proche du smog électromagnétique à l’intérieur des villes, il est
conseillé de prendre les mesures de la densité de puissance en-dehors
des villes.
Les mesures doivent être prises, le plus loin possible des
antennes de téléphone cellulaire, loin également des lignes
électriques, sous lesquelles l’intensité du champ électromagnétique
peut atteindre 100 V par mètre et aussi loin que possible des lignes
électriques à haute tension, sous lesquelles l’intensité du champ
électromagnétique peut atteindre 10,000 V par mètre. Il faudrait que
la distance entre l’individu dont on prend les mesures et l’individu
prenant les mesures permette à ce dernier de voir sur caméra-video si
la densité de puissance augmente, au fur et à mesure que l’individu
dont il prend les mesures s’approche. L’expérience devrait être
répétée plusieurs fois.

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