Pour les cibles de harcèlement électronique
Le harcèlement électronique de ce samedi et dimanche
A mon arrivée dans cette maison isolée , il existait un petit objet ajouté sur une prise de courant par le propriétaire et qui le disait indispensable.
Et les douleurs de cisaillement nocturnes du cerveau y avaient été rapidement égales à celles des adresses précédentes et montrant une évidente programmation .
Au bout de longues années de ce supplice, la privation de sommeil avec souffrances dans le cerveau répétées toutes les deux ou trois minutes rend suicidaire.
Lorsque j’avais interrogé un ingénieur électronicien et défenseur des EHS sur ce petit objet placé sur une prise électrique par le propriétaire , la prétendue réponse du défenseur EHS par internet montrait que ma messagerie et connexion était piégée. Ce message retour , prétendument de l’homme de confiance des EHS , indiquait « pare-foudre », soit la version du propriétaire , là où une sérieuse société étrangère d’électronique , avait répondu catégoriquement « module CPL ».
Par ailleurs , il existait déjà un parafoudre intégré au compteur électrique. La supercherie était grotesque.
Le mensonge autant que la provocation ou la détermination sadique s’étaient imposés mieux qu’en hypothèses.
Une fois débarrassée du module CPL, il m’avait fallu de nouveau faire face à l’acharnement pathologique des fans de ce genre de torture cachée et dont les moyens sont aussi différenciés que difficiles à détecter: le harcèlement électronique .
Pour m’en protéger j’avais repris des habitudes d’amoncellement protecteurs divers, de façon , croyais-je, à ce qu’aucune partie du corps ne soit décelable, détectable ou atteignable par des signaux.
Peine perdue.
Malgré l’accumulation des épaisseurs de matériaux réputés protecteurs, je ressentais même les brulures de signaux recherchant l’emplacement du corps , à l’arrière du corps étendu ( talon, mollet, fessier, épaule, nuque) comme si le signal global ou divers signaux avaient traversé le corps avec une blessure/brulure au dernier point d’impact . Puis venait le matraquage du cerveau exclusivement. Parfois pour quelques heures. Parfois pour la nuit entière.
Samedi soir , une voiture était stationnée dans la rue, très près de la chambre où j’avais édifié un incroyable monticule d’épaisseurs de couvertures de survie , de cuir, de caoutchouc et autre tissus de métal tissé utilisé par l’armée.
La séance pré-matraquage du cerveau , avait commencé avec des pincements douloureux et répétés sur les nerfs des pieds : donc, avec un signal qui avait la capacité de traverser TOUT ce qui est censé protéger lorsqu’il ne s’agit pas d’une agression volontaire.
L’hypothèse facile habituelle est l’utilisation d’un appareil de type radar à effet Doppler.
Le matraquage du cerveau avait commencé quelques minutes plus tard, à la cadence d’un choc dans le cerveau toutes les quelques minutes et qui entraine un effet de sidération empêchant de réagir.
Au bout d’un moment , réussissant à quitter mon antre, j’étais allée m’installer dans la chambre voisine pour une petit 1/2 heure de répit, avant un nouveau matraquage maousse et d’incessants déménagements d’évitement.
Pour la nuit suivante ( dimanche à lundi) j’avais mis mon couchage dans la cuisine avec des protections rudimentaires de feuilles d’aluminum sur le corps et seulement de plaques de caoutchouc au-dessus du cerveau.
Et BING.
Le tir d’un signal fulgurant avait atteint le cerveau directement . Sans recherche préalable puisque le cerveau était « visible » ( mal protégé).
J’avais du tourner de l’oeil.
Je ne sais rien de la suite.
Ça aurait pu être une belle mort. Sans vaccin.
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