"Survivre à l’apocalypse ?" par Pr Marc Henry

 De : 

 article d'octobre 2021

53•Survivre à l’apocalypse ?

53•Survivre à l’apocalypse ?

Épisode 53 Covid-19, octobre 2021. Nous savons qu’ils mentent, ils savent qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir… 

Alexandre Soljenitsyne

Qu’est-ce qu’une apocalypse ?

Cette cinquante-troisième chronique va être un peu spéciale. L’époque que nous vivons pourrait, assurément, bien correspondre à une forme d’apocalypse. Rappelons que ce mot n’a en soi rien d’effrayant. Il dérive du verbe grec καλύπτω, kalúptô (« cacher »), précédé du préfixe de privation ἀπό ápó. L’apocalypse, c’est donc le moment où quelque chose qui était secret est dévoilé. Ce secret pourrait être, entre autres, la découverte en 1953 de la molécule d’ADN en forme de double hélice. Vers la fin des années 1950, naît l’idée d’un ARN messager. C’est-à-dire d’une molécule à un seul brin, intermédiaire entre l’ADN et le ribosome, la machine de synthèse de la protéine. 

Un point culminant sera atteint en 1965 avec la résolution quasi complète du code génétique universel de la vie. La question se posa alors de savoir ce que l’on allait bien pouvoir faire de ce code. Ainsi, les années 70 verront la naissance des premières des bactéries transgéniques. En 1978, un gène humain codant pour l’insuline est introduit dans la bactérie Escherichia coli. Cet organisme génétiquement modifié (OGM) devient ainsi capable de produire de l’insuline humaine. Les spécialistes du diabète jubilent. On rêve alors que l’on pourra bientôt soigner n’importe quelle maladie grâce à des OGM. Les injections d’ARN messager pour lutter contre la Covid-19 ne sont donc que la énième réplique du séisme de 1953. 

Où il est question de vie et de mort

Toutefois, lever un secret peut, très souvent, s’avérer mortel. Les proches de ceux qui sont décédés dans les jours suivant l’injection de matériel génétique (ARN ou ADN) sont là pour en témoigner. Ce qui est effrayant, c’est que la mort frappe parfois des personnes très jeunes ayant entre 12 et 39 ans. Et, ce qui est scandaleux, c’est qu’aucune autopsie n’est réalisée pour essayer de comprendre ce qui s’est passé. En fait, pas vraiment, puisqu’en Allemagne, ils ont osé faire des autopsies. Les résultats ont ainsi révélé que les injections engendrent une « crise de folie lymphocytaire ». D’où une réduction des facultés immunitaires externes, un réflexe immunitaire abusif capable d’engendrer des maladies auto-immunes.

Aujourd’hui, la pression se fait très forte. Beaucoup de dirigeants n’hésitent pas à recourir au chantage pour arriver à leurs fins. Faut-il prendre le risque ? Ceci, afin d’avoir une vie normale et conserver son travail. Où bien faut-il s’abstenir de toute injection et accepter de vivre comme un paria ? La mort physique ou la mort sociale ? Le choix est cornélien et typique d’une situation apocalyptique. L’inefficacité de ces injections n’est même plus niée par ceux qui les recommandent. Puisqu’on parle de troisième dose. Mais, question angoissante, à quand la quatrième ? Va-t-on accepter de se faire injecter du matériel génétique tous les six mois durant toute sa vie ? Il semble bien que oui.

Refuser toute injection de matériel génétique

Mon conseil est clair : refuser toute injection. Pas parce qu’il y a un risque de décès ou d’effets secondaires. Car, la peur est toujours mauvaise conseillère. Comme expliqué dans les deux dernières chroniques, je me moque des chiffres agités en tous sens par les pro-vaccins ou les anti-vaxx. Un lecteur de ces chroniques m’a transmis le lien suivant. Il vous faudra un peu de moins de 2 heures pour visionner la vidéo en entier. Mais, croyez-moi, cela vaut le coup. Vous comprendrez comment certains manipulent les chiffres et même les équations pour justifier ces injections. Ce n’est donc pas les chiffres qui vont nous dire ce qu’il faut faire ou pas. 

Pour motiver une décision, il faut d’abord utiliser son intuition. Et, la conforter par ce que disent les scientifiques restés honnêtes et lucides. Justement, revenons, à ce que je vous ai appris dès le début de l’épidémie dans la chronique n°4. Le virus SARS-CoV-2 possède donc une protéine S (pour « spike » en anglais). Il l’utilise pour pénétrer dans nos cellules, via un récepteur nommé ACE2. Or, le produit que l’on vous injecte est un ARN ou un ADN. Cela permet à vos cellules de fabriquer elles-mêmes cette protéine S. Maintenant, la bonne question. Où trouve-t-on des récepteurs ACE2 dans les organes humains ?  La réponse se trouve dans le papier suivant que je vais vous résumer.

Des récepteurs ACE2 partout

On y apprend que l’intestin du tube digestif présente l’expression la plus élevée du récepteur ACE2. Viennent ensuite les testicules et les reins. D’où la détection positive du SARS-CoV-2 dans les fèces et l’urine des malades. L’expression du récepteur ACE2 dans le cœur est plus faible que dans l’intestin et les reins. Mais, plus élevée que dans les poumons. Si l’expression est faible dans les cardiomyocytes, elle devient forte et spécifique dans les péricytes. Enfin, on trouve aussi le récepteur ACE2 dans les îlots pancréatiques humains. Plus particulièrement dans les cellules bêta productrices d’insuline. Enfin, on sait aussi que les niveaux d’ACE2 se trouvent augmentés dans des conditions pro-inflammatoires.

Or, cette foutue protéine S, produite par vos cellules, est susceptible de se lier à tous ces récepteurs ACE2. D’où, évidemment, une perturbation de leur fonctionnement. De plus, on sait que le produit injecté ne reste pas sur le lieu d’injection. Il diffuse partiellement dans le tout le corps. Il faut ainsi s’attendre, quelques jours après toute injection, à des problèmes digestifs, reproductifs, rénaux, cardiaques, pulmonaires et pancréatiques. Rien que cela…  Le Prof. Dr. Burkhard qui a osé faire des autopsies déclare : « Il y a beaucoup de choses que j’ai vues pour la première fois. Je ne peux pas encore vous nommer certaines choses, car je cherche toujours des noms pour les désigner ». Bigre, il semble que lorsque les lymphocytes deviennent fous, tout peut arriver. Y compris une apocalypse.

Un exemple concret

On pourra toujours affirmer de manière péremptoire que les risques sont très faibles. Ainsi, la source suivante rapporte que chez les hommes âgés de 12 à 17 ans, on observe 1 cas de myocardite pour 16 000 injections d’ARNm. Le risque est plus faible chez les femmes de la même tranche d’âge : 1 cas sur 115 000 injections. Or, il y a environ 8 millions d’hommes et de 8 millions de femmes âgés de moins de 20 ans en France. On attend donc environ 500 myocardites pour les jeunes français. Et, environ 70 pour les jeunes françaises. La question est de savoir qui va gagner le gros lot suite à ce joli cadeau empoisonné. Et, cela ne concerne que la France. A l’échelle mondiale, cela va être un véritable massacre. Comment peut-on ainsi jouer avec la santé de personnes qui ont tout l’avenir devant elles ? 

Car, une fois endommagées, les cellules cardiaques ne se renouvellent pas. Donc, parmi les jeunes qui survivront aux injections, combien devront aller voir un cardiologue à vie ? Où se trouve la balance bénéfice/risque pour ce type de population ? Réécoutons notre cher Dr. Butkhard. “ Des effets graves sont probablement diagnostiqués à tort comme des crises cardiaques par de nombreux pathologistes. On trouve des accumulations de lymphocytes partout ”. Non seulement des gens meurent, mais en plus, on se trompe sur les véritables causes du décès. Comme je le disais, on nage en pleine apocalypse. Que faire dans de telles conditions ? Surtout si l’on a déjà subi ces foutues injections. J’ai déjà donné des conseils pour tenter de neutraliser l’ARN messager tout de suite après l’injection. Mais, que faire après plusieurs jours ou plusieurs mois ?

Clin d’œil numérologique

D’abord, évidemment, refuser toute nouvelle injection. Si vous  avez eu la chance de passer entre les gouttes lors des précédentes injections, celle-ci pourrait bien vous être fatale. Ensuite, n’oubliez pas qu’il s’agit de ma cinquante-troisième chronique. Je vous avais promis une chose peu banale et la voici. Car, tout le monde sait que 666 est le chiffre de l’apocalypse. C’est la raison pour laquelle la largeur d’un billet de 1 dollar américain vaut exactement 66,6 mm. C’est aussi la raison pour laquelle les amendes à payer en cas d’infraction sont de 135 €. Car, lu à l’envers, 135 devient 531 et que 135 + 531 = 666, le nombre de la bête ! Heureusement pour nous, la somme des occurrences de tous les nombres du Nouveau Testament supérieurs ou égaux à 666 donne 53. Sur un plan symbolique, 53 représente la sanctification de la nature humaine. Et, ceci est précisément la chronique n°53 !

De plus, 53 est un nombre colombien ou autonombre. Donc, il ne peut pas être exprimé comme la somme de n’importe quel nombre entier et des chiffres décimaux le représentant. Le philosophe Chin Fang (78-37 AEC) avait déjà compris qu’il fallait 53 quintes justes pour couvrir 31 octaves (un autre autonombre). L’erreur finale est de 0,2 % soit, 3,6 cents, un écart inaudible à l’oreille humaine, appelé « comma de Mercator ».  C’est la raison pour laquelle la gamme des solfèges (ou des violonistes) compte exactement 53 notes. On sait également que pour découper une octave entre n intervalles égaux  de manière optimale, il faut prendre n = 1, 2, 3, 5, 7, 12, 19, 31, 53, 72 (voir mon livret « Musique et Physique quantique ». Parmi ces 10 nombres, on trouve 5 autonombres (3, 5, 7, 31 et 53). Enfin, on a 53 =  5 + 7 + 11 + 13 + 17, qui fait intervenir la suite des 5 nombres premiers consécutifs autres que 2 et 3. 

Ma trilogie sur la conscience

Passons maintenant à des choses plus sérieuses. La première chose à faire est de télécharger ma trilogie sur la conscience. Ceux qui ne comprennent pas le langage de la science se borneront à juste lire le premier article. La lecture des deux autres articles est optionnelle, car relativement technique. Dans ce papier publié dans une revue avec comité de lecture, on démontre que la conscience vient avant la matière. D’où un moyen de survivre à l’apocalypse, car ce point est crucial. Car, on cherche à vous injecter, ou on vous a déjà injecté de la matière porteuse d’une information. Mais, regardez attentivement le schéma résumant le premier article. On y trouve la hiérarchie concentrique suivante : neurones (matière) < activité < information < sens < conscience. 

Vous voyez que la matière et l’information qu’elle porte sont soumises au contrôle de la conscience. Donc, par la conscience, vous pouvez dire à votre corps de ne pas traiter cette information que l’on vous injecte. Même s’il s’agit d’un viol de votre intégrité corporelle. Certains d’entre vous l’ont d’ailleurs sûrement déjà fait. De manière intuitive, par le cœur et non de manière intellectuelle via leur cerveau. C’est pour cela que beaucoup de personnes ne meurent pas. Ou ne sont que très légèrement affectées par les injections. Si tel est le cas, ne croyez pas pour autant que vous soyez un champion de la conscience. Il se peut tout bêtement que l’ARN ou l’ADN était simplement déjà dégradé. Du fait de mauvaises conditions de conservation, ou parce que l’injection a été mal faite…

De l’utilité des protéodies

Ceci est la première étape. La deuxième ne concerne que les personnes qui ont du mal à admettre que la conscience vient avant la matière. Ces dernières sont donc vulnérables à l’injection et il faut qu’elles se protègent. C’est ici qu’entre en jeu la technologie des protéodies. Cette dernière permet, via la musique, d’informer les ribosomes qu’il ne faut pas faire la transcription de l’ARN messager en protéine S. La théorie sous-jacente à ce sixième cadre de pensée a été développée par le physicien français Joël Sternheimer. Je l’ai reprise et développée dans mon livret « Musique et physique quantique ». Peu importe, que vous la compreniez ou pas. Le principal est de savoir qu’elle existe et qu’elle peut vous aider dans ce moment crucial de votre existence. Vous n’avez rien à perdre et tout à gagner. 

Car, bien sûr, la musique de la protéine S a été décodée. Il suffirait donc de vous la faire écouter en mode inhibition pour annihiler les effets des injections. Mais, il y a un hic. On n’a pas assez de recul pour savoir si on peut utiliser cette technique en toute sécurité. Car, il s’agit là d’un autre secret (dévoilé en 1983 par Joël). Vous comprenez maintenant peut-être pourquoi nous vivons une époque vraiment folle. Car, nous avons le poison et un antidote. Mais, pas le recul. Et, je me dois d’insister sur le fait que tout secret dévoilé peut-être mortel. Heureusement, il y a une solution, et c’est celle que je vous recommande. Il s’agit de faire appel à nos amies les plantes. Ces dernières peuvent effectivement créer sans aucun risque des protéodies. Car, elles existent depuis environ 400 millions d’années. Il suffit donc de leur demander gentiment.

Musique des plantes

De fait, même si elles sont dénuées de cerveau et de cœur, toute plante a une activité électrique. Activité qu’elles peuvent moduler à volonté selon leur environnement. Or, il se trouve que je dispose d’un boitier permettant de transformer l’activité électrique d’une plante en notes de musique. Et, que pour ce qui me concerne, je suis convaincu que la conscience prime sur la matière. J’ai donc pris une fougère et je l’ai branchée à mon clavier Tyros 5 qui permet de synthétiser des sons de très haute qualité. Puis, en pleine conscience, j’ai demandé à ma fougère de produire une musique annihilant les effets du matériel génétique injectés à des êtres humains. Car, les plantes nous connaissent bien. Puisque c’est elles qui nous nourrissent et qui ont nourri les animaux bien avant notre apparition. Elles savent donc tout de nous. Plus de détails ici

Je me suis donc connecté à ma fougère par le cœur. Et, je l’ai accompagnée au clavier pendant environ 8 minutes. J’ai bien sûr enregistré notre musique sous forme de fichier WAV. Que je vous propose maintenant d’écouter. Bien sûr, il n’y a absolument aucune garantie que cela fonctionne. C’est juste un essai, une bouée jetée dans une mer déchaînée. Pour tenter d’aider ceux qui souffrent ou qui sont terrorisés par les médias. Au pire, vous aurez juste écouté de la musique. Vous serez donc dans le même état qu’avant écoute. Car, écouter de la musique n’a jamais tué personne. Au mieux, cela peut stimuler vos défenses naturelles pour neutraliser la redoutable toxine injectée. La musique a été crée par une plante, non affiliée à la SACEM. Il n’y a donc aucun droit d’auteur à acquitter. C’est un cadeau que la nature nous fait en cette époque apocalyptique.

En pratique

Vous pouvez donc copier ces fichiers WAV et les distribuer comme bon vous semble. Surtout, ne modifiez jamais le contenu de ces fichiers. Veillez juste à citer l’information disponible dans les métadonnées de ces fichiers audio. Ces métadonnées sont lisibles avec le logiciel libre Audacity, entre autres. Les voici en clair : 

Artistes : Nephrolepsis Green Lady & Marc Henry
Genre : Musique des Plantes
Année : 2021

Comme tout le monde n’a pas les mêmes goûts, j’ai dû procéder à plusieurs enregistrements avec à chaque fois des rythmes et des instruments différents. J’ai choisi la tonalité de Mi Majeur pour tous les morceaux. Car, selon Jean-Philippe Rameau, elle convient aux chants tendres et gais, ou encore au grand et au magnifique. Pour le diapason, j’ai utilisé la fréquence de l’eau à 429,6 Hz. Les curieux pourront aller sur Vicky au module « Musique », troisième vidéo. Dernière remarque. S’il vous prend l’envie de pleurer en écoutant ces musiques, laissez-vous aller. Surtout ne cherchez pas à retenir vos larmes. Leur présence indique que la musique résonne profondément en vous. C’est toujours un signe de guérison. Pour ceux qui le souhaitent, n’hésitez pas à danser sur ces musiques. Seul, en couple ou en groupe. Le ressenti n’en sera que plus fort. A vous de voir ce qui parle le mieux à votre cœur. 

Ballade apocalyptique rêveuse (flute classique et clarinette romantique).
France apocalyptique des années 50, version longue (piano droit de saloon uniquement).
France apocalyptique des années 50, version courte (saxophone jazz et piano droit de saloon).
Fantaisie apocalyptique chlorophyllienne, version longue (flute classique) 
Fantaisie apocalyptique chlorophyllienne, version courte (flûte classique).
Ballade apocalyptique au clair de lune (clarinette, trombone, saxophone jazz et trompette).
Valse swing apocalyptique (grand piano 2 octaves).

Bien sûr, à écouter sans modération et autant de fois que nécessaire, surtout en hôpital ou maison de retraite. Quand vous vous sentirez lassé, c’est que ce qui fallait faire a été fait. Tout simplement.

Par Marc HENRY : Ils ont essayé de nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines.

Proverbe Mexicain

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