HCE - Un satellite pour voir dans vos maisons
Un certain nombre de cibles de harcèlement criminel électronique, dont je fais partie, signale depuis des années , la capacité d’un signal a) a retrouver d’abord le corps quand en position allongée, et ce, par un faisceau d’énergie reconnu- par le système nerveux- par des brûlures , piqures et pincements divers , b) avant de commencer à matraquer précisément la boite crânienne .
Les cibles de cette catégorie d’attaques par énergie dirigée notent depuis des années que l’accumulation de protections diverses ne fait que renforcer la puissance des agressions.
Il faut noter aussi que ce type particulier de ciblage par énergie pulsée vient en complément de toutes les autres formes locales , déléguées, de ciblage par énergie dirigée et mises en oeuvre depuis longtemps .
Les enregistrements EEG de la douleur liée aux piqures et brûlures qui sont des souffrances indiquées au cerveau par le système nerveux , diffèrent complètement en représentation, des éclatement électriques mesurés lors des attaques ciblées sur le cerveau . Il a dans ce dernier cas une souffrance physique directe du cerveau/ cible de l’énergie pulsée.
Le premier à avoir étudié le phénomène des attaques de cibles par satellites est le Dr John HALL , médecin anesthésiste à Austin, Texas , et qui lui aussi a eu des ennuis à son administration.
L’article copié ici, sans les images se trouve à : https://aphadolie.com/2020/12/22/lentreprise-capella-space-lance-un-nouveau-type-de-satellite-capable-dobserver-linterieur-des-batiments/
L’histoire récente des tests bâclés des laboratoires pourvoyeurs de vaccins, nous rappelle amèrement que l’humain est facilement utilisé comme cobaye sous des prétextes d’avancées scientifiques nécessaires, et sans prétexte quand l’argent est le moteur des coups de canif au code de Nuremberg.
De nombreuses cibles de HCE dans le monde, pensent que malheureusement leur anonymat est un bon moyen de les décrédibiliser quand elles portent plainte.
La première question d’un policier dans ce cas de figure étant « Mais qui êtes-vous pour qu’on puisse vous en vouloir au point de mettre ce procédé en action ? «
Amen
" La société américaine Capella Space a récemment présenté un satellite dont les performances semblent hors du commun. Lancé en août 2020, il affiche la résolution la plus forte au monde parmi les satellites d’observation du secteur privé.
La fréquence est telle que le signal est capable de pénétrer les nuages, le brouillard ou encore la fumée. Surtout, le signal irait jusqu’à investir l’intérieur des bâtiments, de nuit comme de jour. Capella Space dit vouloir donner accès à une plate-forme inédite, à la fois aux particuliers et aux autorités américaines. La société prévoit de lancer six autres satellites du même type, et de constituer à terme une véritable constellation.
La société Capella Space a mis au point un satellite capable de capturer des images radar d’une incroyable résolution, même à travers les murs d’une construction ! Les images sont si nettes que l’on peut distinguer l’intérieur des pièces de certains bâtiments. En outre, ce satellite Capella-2 peut capturer des images nettes de jour comme de nuit, et peu importe les conditions météorologiques, ce qui le distingue des autres satellites d’observation.
Ce dernier point est un atout majeur pour Capella Space. Comme l’explique son PDG, Payam Banazadeh, ancien ingénieur système au Jet Propulsion Laboratory de la NASA, il se trouve qu’à chaque instant la moitié du monde est dans l’obscurité, tandis qu’en moyenne la moitié du monde se trouve sous une couverture nuageuse. « Lorsque vous combinez ces deux éléments, environ 75% de la Terre, à un moment donné, sera plongée dans la nuit, sous les nuages, ou les deux », conclut-il.
Le microsatellite Capella 2 — anciennement nommé Sequoia — a été lancé il y a un peu plus de trois mois. Capella Space est ainsi devenue la première et unique société commerciale américaine d’imagerie SAR (Synthetic Aperture Radar, ou radar à synthèse d’ouverture, soit RSO en français). Aujourd’hui, elle propose des images d’une qualité et d’une résolution sans précédent : 50 cm x 50 cm, soit la plus haute résolution disponible sur le marché.
Une surveillance haute résolution dans n’importe quelles conditions
Mercredi, Capella Space a lancé une nouvelle plateforme permettant aux clients gouvernementaux ou privés de demander des images de n’importe quel endroit dans le monde. En outre, l’entreprise prévoit le déploiement de six satellites supplémentaires l’année prochaine, ce qui ne fera qu’augmenter encore ses capacités d’observation. Cela peut paraître effrayant de prime abord, évidemment. Mais cette technologie permet aussi de pallier les faiblesses des équipements utilisés actuellement pour observer la Terre depuis l’espace à des fins scientifiques.
Comme évoqué plus haut, ces instruments peinent à capturer des images exploitables lorsque la lumière est trop faible ou lorsque les nuages sont trop nombreux. Le satellite conçu par Capella est quant à lui capable de scruter la Terre à travers la couverture nuageuse, et de faire ses observations aussi bien le jour que dans l’obscurité totale.
Cette capacité repose sur le radar à synthèse d’ouverture (RSO) utilisé par l’engin (au lieu d’un système d’imagerie optique utilisé par la majorité des capteurs actuels). Son mode de fonctionnement permet de longues expositions sur une zone d’intérêt : le satellite a été conçu de façon à pouvoir observer un seul et même endroit pendant 60 secondes, tout en voyageant à 7,5 km/s, ce que l’entreprise nomme le mode « spotlight » — c’est un peu comme lorsque l’on augmente le temps d’exposition d’un appareil photo pour collecter davantage de lumière au niveau du capteur.
Le RSO fonctionne un peu à la même manière des dauphins et des chauves-souris, qui utilisent l’écholocalisation pour se diriger. Le satellite émet un puissant signal radio (de 9,65 GHz) vers sa cible, puis recueille et interprète le signal lorsqu’il rebondit en orbite. « À cette fréquence, les nuages sont pratiquement transparents. Vous pouvez pénétrer les nuages, le brouillard, l’humidité, la fumée, la brume… », explique Banazadeh. Un autre avantage est que ces signaux peuvent parfois même traverser les murs d’un bâtiment, comme si l’on explorait l’intérieur aux rayons X.
Cette technologie n’a pas été inventée par Capella Space. C’est Carl A. Wiley, mathématicien à Goodyear Aircraft Company, qui a inventé le concept de RSO en juin 1951 ; Goodyear a ensuite mis au point, puis amélioré peu à peu cette technologie pendant les années qui ont suivi. Aujourd’hui, les images RSO sont largement utilisées dans des domaines scientifiques tels que la topographie, l’océanographie, la glaciologie, la géologie ou encore la foresterie. La technologie est également exploitée pour surveiller la stabilité de certaines infrastructures civiles, comme les ponts. Enfin, on l’emploie également dans le cadre de la surveillance de l’environnement (déversements d’hydrocarbures, inondations, etc.).
Mais la société Capella propose des images d’une résolution jamais égalée ; elle souligne en outre qu’elle est la première à proposer une plateforme aussi accessible à des clients potentiels. Selon Banazadeh, les demandes formulées auprès des fournisseurs d’imagerie satellite traditionnels sont relativement laborieuses. L’application web Capella Console et l’API Capella permettent aux clients d’effectuer facilement une recherche dans le catalogue d’images ou de formuler une nouvelle demande.
Une résolution limitée par les lois américaines
L’atout principal du satellite Capella-2 est sans aucun doute sa haute résolution : chaque pixel d’une image capturée par l’engin représente un carré de 50 cm sur 50 cm, tandis que les autres satellites RSO du marché ne peuvent descendre qu’à environ cinq mètres de résolution. Lorsqu’il s’agit de discerner ce que l’on observe depuis l’espace, cela fait une énorme différence. L’observation de paysages urbains est particulièrement impressionnante. Les gratte-ciel semblent sortir de terre, comme des champignons ; et parfois, il est possible de regarder directement à travers certains d’entre eux.
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