VIRUS - L'Ordre des Médecins attaque des médecins
Un virus est une entité qui n’a pas de fonctionnement autonome. On dit qu’il n’a pas sa propre machinerie enzymatique . Le virus ne peut croitre et progresser qu’à l’aide et , sur ou dans , une cellule qu’il infecte.
Un virus contient bien un acide nucléique de l’ADN ou de l’ARN , mais pas les deux à la fois , contrairement aux cellules vivantes.
Un virus se reproduit à partir de son propre matériel génétique et par réplication.
Quel rapport avec l’Ordre des médecins ?
L’Ordre des médecins , n’est pas médecin. Il ne soigne pas.
Il n’existe que par et à cause des médecins. Il ne peut normalement croitre en puissance et s’imposer comme régulateur, que par les médecins qu’il représente et grâce à eux.
Son rôle essentiel est de faire respecter le Code de déontologie qui oblige la profession.
C’est son acide nucléique de fonctionnement, parfois gangréné par des intérêts non révélés.
S’attaquer à des médecins qui analysent une situation avec leurs connaissances scientifiques reconnues , leur expérience éprouvée, et qui soignent , ou essaient de soigner , avec des médicaments aux prix abordables, présente une analogie très forte avec un virus chargé seulement d’un génome viral et qui décide ou essaie de parasiter une cellule saine, en état de vulnérabilité.
Ma récente expérience de la compromission de cette noble institution ( OdM) par un médiateur improbable, donne à voir deux acteurs complices seulement préoccupés de salaire, de position d’autorité, de réputation , sans égard ou respect des règles de déontologie de base et encore moins de la victime de l'un d'être eux.
Ma plainte concernait un psychiatre, apparemment habitué à faire des certificats de complaisance.
L'apparent brave médiateur , patelin, médecin d’assurance , était le seul à répondre à mes arguments. Il avait osé affirmer qu’un médecin a le droit d’enfermer une citoyenne ( moi) sur la simple « impression » qu’elle lui donnait, sans aucune interrogation susceptible d’être appelée ‘diagnostique « et alors que la personne de mon entourage qui me connaissait depuis 30 ans avait assuré que je me conduisais normalement. Bien.
Rappelons que j’étais à l’origine dans cet hôpital seulement pour un scanner de la boite crânienne, suite à une chute, et que mes ennemis s'étaient organisés pour en profiter.
Dans cet entretien à 3, la seule intervention du psy incriminé par ma plainte aura été pour assurer qu’il m’avait confinée pendant plus de deux heures dans une chambre porte ouverte et qu’il me surveillait de son bureau , porte ouverte, quinze mètre plus loin . Sans aucun soin - inutile- ou questionnement.
Lorsque j’avais précisé au médiateur que j’avais plus tard été droguée de force au RISPERDAL, et que je m’ étais réveillée sur un lit de contention jambes et bras écartés et sanglés, il m’avait corrigée précisant qu’il s’agissait sans doute du médicament RIVOTRIL.
Ce paternaliste brave homme de médiateur , savait forcément mieux que moi.
Alors pour exonérer son collègue muet et le disculper de toute plainte, il avait fait une conclusion minimaliste, sans aucun des détails et informations précises et pertinentes exprimés, notant seulement que je maintenais ma plainte… qui faute d’arguments notés , avait bien naturellement été rejetée.
Le génome viral du médiateur et de l’Institution avait utilisé ma non importance, cellule vulnérable, pour faire son sale boulot.
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