Et maintenant PASTEUR , qui "nous la baille belle "
L'expression "qui nous la baille belle" date du XVe siècle. Le verbe bailler existe depuis le XIIe siècle et signifiait donner entre autres.
Mais cette expression est devenue ironique puisque le mot belle est une antiphrase employée pour indiquer qu' on se moque de nous.
Wikipedia propose plusieurs exemples pour expliciter cette notion de " vouloir faire croire" et dont celle-ci : Ah ! saperlipopette, Monsieur, vous me la baillez belle ! Vous dites qu’on ne croit plus à rien ! Mais jamais, à aucune époque, on n’a cru à tant de billevesées, de bourdes, de mensonges, de sottises, d’absurdités qu’aujourd’hui. — (John Ruskin, Notes du chapitre I de La Bible d’Amiens, traduction par Marcel Proust, Mercure de France, 1904, p. 142)
Pasteur remit ses cahiers de laboratoire à ses héritiers à condition de ne jamais les rendre publics. Cependant, son petit-fils, Louis Pasteur Vallery-Radot, qui ne se souciait apparemment pas beaucoup de Pasteur, fit don des cahiers à la bibliothèque nationale française, qui les publia.
En 1914, le professeur Gerard Geison de l’Université de Princeton a publié une analyse de ces cahiers, qui a révélé que Pasteur avait commis une fraude massive dans toutes ses études. Par exemple, lorsqu’il a dit qu’il avait injecté des spores virulentes d’anthrax dans des animaux vaccinés et non vaccinés, il pouvait clamer le fait que les animaux non vaccinés étaient morts, mais c’était parce qu’il avait également injecté des poisons aux animaux non vaccinés.
Dans les cahiers, Pasteur déclare sans équivoque qu’il était incapable de transférer la maladie avec une culture pure de bactéries (il n’était évidemment pas capable de purifier les virus à ce moment-là.) En fait, le seul moyen de transférer la maladie était d’insérer le tissu infecté entier dans un autre animal (il injectait parfois le cerveau broyé d’un animal dans le cerveau d’un autre animal pour « prouver » la contagion) ou de recourir à l’ajout de poisons à sa culture, qui, selon lui, provoqueraient des symptômes chez les receveurs.
Il a admis que tout l’effort pour prouver la contagion était un échec, conduisant à sa célèbre confession sur son lit de mort : « Le germe n’est rien; le terrain est tout ». Dans ce cas, le terrain fait référence à l’état de l’animal ou de la personne et du fait que l’animal ou la personne a été soumis au poison.
Depuis l’époque de Pasteur, personne n’a démontré expérimentalement la transmissibilité de la maladie avec des cultures pures de bactéries ou de virus. "
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