MORT en VENTILATEUR


 Cette histoire est racontée par Peter KOENIG à 

https://www.globalresearch.ca/covid-death-by-ventilator-a-personal-story-for-the-world-to-know/5733068


Dans ce texte  on note que le taux d’oxygène dans le sang de la personne était de 91 pour une norme de 95 à 100. 

C’est à peu près la chute observée quand une personne passe d’une respiration sans entrave à une respiration dans un masque. 


" C'est une histoire personnelle. En fait, une histoire qui m'a été racontée par un ami très proche, si proche que je lui ai demandé s'il me permettrait de personnaliser son histoire et de la publier - parce que c'était important pour le monde de le savoir.


Donc, c'est comme une lettre ouverte sur un drame personnel, dont il existe une myriade de drames similaires à travers les continents. Un avertissement sur ce qui pourrait arriver à des personnes faisant confiance innocemment - un avertissement, pour ne pas faire confiance aveuglément aux autorités, ni au récit officiel du covid et à la science du covid. Les deux peuvent avoir un projet différent de ce que vous croyez  et  de ce qu'ils vous font savoir. Ce qui est déjà évident si l'on considère  les confinements  chaotiques non coordonnés en constante évolution, les semi-confinements, le passage des frontières autorisé - non autorisé, les exceptions… et ainsi de suite.


Cela s'est produit quelque part en Europe. Cet ami très personnel m'a dit de ne pas divulguer les noms et les lieux - ce que je respecterai. Ils ne sont pas importants. C'est l'histoire de son frère. Il y a environ quatre semaines, il s'est apparemment senti mal, est resté au lit, et comme le malaise continuait et empirait, il a voulu aller à l'hôpital. Il était catégorique. Il a refusé l'offre de sa femme de le conduire là-bas, mais a appelé une ambulance. Son état était assez bon, pour qu’il entre sans aide  dans l'ambulance - et non sur une civière.


Selon les normes des ambulances covid, personne n'était autorisé à l'accompagner. Donc, il est allé seul, a pris des décisions seul, et il n'y a vraiment pas de témoins. Mon ami a dit que son frère croyait sincèrement à l'autorité, à son gouvernement, à la science officielle et au récit officiel de covid des médias grand public. Il a ajouté, nous devons simplement nous fier à ce qu'il a dit à sa femme et à leur fils lors de son dernier appel téléphonique avant d'être mis dans le coma et intubés dans un ventilateur mortel. Et nous avons aussi la version des médecins de l’histoire qui est assez similaire à ce que son frère a dit à sa famille. Son frère a apparemment quitté la maison dans une hâte anxieuse pour se rendre à la clinique - laissant des affaires à la maison, comme s'il devait aller faire les courses et revenir dans quelques heures.


Lorsque le frère de mon ami est arrivé à l’hôpital, ils lui ont apparemment posé des questions sur la respiration. Il a dit qu'il avait un certain essoufflement (qui n'en aurait  pas? L'anxiété est connue pour parfois assommer les gens; donc  une capacité respiratoire réduite est normale).


Ils ont mesuré son taux d'oxygène dans le sang - il était apparemment de 91 - la normale est de 95 à 100. Donc, c'était en dessous de la normale mais pas si mal.


Les médecins ont dit au frère de mon ami que c'était une bonne chose qu'il soit venu maintenant. Le jour suivant était peut-être trop tard, car il avait peut-être déjà eu des lésions cérébrales, ne recevant pas suffisamment d'oxygène dans son cerveau. C’est ce qu’il a dit à sa femme. C’est ce que le médecin qui l’a reçu à la clinique a également confirmé plus tard, quand il a parlé à la femme et au fils du frère de mon ami.


Observation de l’auteur: Selon «Science», les patients infectés par Covid-19 avaient parfois des taux d’oxygène dans le sang extrêmement bas, ou une hypoxie.


La saturation en oxygène du sang pourrait être aussi faible que dans les années 70, 60 ou 50. Ou même plus bas.


Voir https://www.sciencemag.org/news/2020/04/why-don-t-some-coronavirus-patients-sense-their-alarmingly-low-oxygen-levels


Bien sûr, ils ont ensuite établi un traitement. Mais aucune lésion cérébrale n'a été signalée en raison d'une faible saturation temporaire en oxygène du sang.


Avec un peu  de peur instillée, le frère de mon ami s'est laissé intuber, induire dans un coma artificiel - branché pour le reste de sa vie à un ventilateur - ils sont mortels.


Personne ne lui a parlé des risques, tels que ceux  de la première vague en Italie et à New York - et dans bien d'autres endroits dans le monde,  où 70 à 80% des patients sous ventilateurs n'ont pas survécu. (note de l'auteur: ce pourcentage est peut-être maintenant descendu à environ 50%), que même s'il survivait, il y avait une chance que ses poumons ne retrouvent jamais toute leur force , et qu'il pourrait devoir  continuer être branché à - et  devoir se promener - avec un réservoir d'oxygène. Rien de tout cela ne lui a été dit.


Après que le frère de mon ami a été connecté à ce que l’on appelle souvent la «machine à mort», sa femme et / ou son fils n’ont reçu que des rapports quotidiens par téléphone. Mon ami m'a dit qu'eux, sa femme et son fils, n'avaient rencontré physiquement un médecin «en chef» que deux fois. Le frère de mon ami pouvait avoir la visite de sa femme ou son fils mais pas les deux ensemble,  3 fois par semaine . Ils devaient choisir qui irait - ils ont décidé pour sa femme. Son fils n'a vu son père qu'une seule fois, au début. Pourquoi cette règle covid drastique, personne ne pouvait l'expliquer. Quelle différence cela fait-il pour le virus covid, que les deux ensemble  rendent visite à leur mari et à leur père?


Mon ami était un peu contrarié:


«Tout cela est totalement hystérique et faux - ce que le gouvernement et la dictature médicale imposent est inhumain et n’a rien à voir avec la protection des citoyens».


Et puis il a ajouté, comme dans une réflexion spirituelle - «Mais je n'ai pas de rancune, mon frère est parti,  il ne reviendra pas. Ces personnes sont malades et devront un jour faire face à leur propre conscience."


Chapeau! Quelle déclaration grandiose. Quel état d'esprit généreux et éveillé. Et il le pensait; Je pouvais le savoir en le regardant 


Mon ami a ajouté, comme en clin d’oeil, mais en le pensant: «Je ne sais même pas s'ils l'ont testé pour le covid, avant de l'intuber. Cela ne devrait-il pas signifier qu'il y a quelque chose qui ne va pas? »


Voir une personne aimée dans de telles conditions d'impuissance - incapable de parler, incapable de comprendre - profondément endormie et branchée à un respirateur, à des tubes et à des instruments à retardement,  que l’on  feint de protéger en l’isolant derrière du plastique  - juste une expérience horrible.

La situation du frère de mon ami ne s’est pas améliorée. Mais ils - les médecins - ont continué à «espérer» - qu'il pourrait réagir et aller mieux.


Remarques de l’auteur:


Je soupçonne qu’ils savaient depuis le début que leur patient, le frère de mon ami, ne se réveillerait pas; une «mort»  de plus pour les statistiques. Et bien sûr, 30 jours en ventilation dans une unité de soins intensifs (USI) - imaginez le coût;  histoire de récupérer les pertes de la première «vague» du début de l’année  , quand ils ont dû laisser les lits vides pour les patients covid qui ne se sont jamais présentés…


Ce pays européen, comme beaucoup d'autres, est apparemment inondé de ventilateurs. D'abord, ils ont dû les importer, puis ils les ont produits chez eux ou ailleurs sous licence, et maintenant ils doivent les amortir.


Le taux de mortalité des hôpitaux est en corrélation avec la fréquence à laquelle ils utilisent des ventilateurs, assez similaire à ce qui s'est passé en Italie et à New York lors de la «première vague» de mars à mai 2020.


Les yeux perdus dans le chagrin, mon ami continua -


«Ainsi, hier matin (21 décembre 2020) est arrivée la triste nouvelle que mon frère« n’a pas survécu »- une personne en bonne santé, sans comorbidités. C'était peut-être la grippe, ou même si c'était un covid, il n'y avait aucune raison d'aller à l'hôpital et encore moins de s ‘effrayer  ou  d'être intubé - avec cette machine à tuer qu’est le  ventilateur. Mon ami a ajouté - perdu dans ses pensées - «C'est comme si mon frère s'était suicidé par peur.»


«Sa femme n’a  même pas pu voir le corps avant qu’il ne soit incinéré.  C’est sans doute du à la dictature du Covid ". Mon ami était  effondré 


Oui, nous nous dirigeons très rapidement vers une tyrannie de la santé, où le peuple est de plus en plus opprimé.


Une nouvelle vague après l'autre entrecoupée d'une «nouvelle souche corona» - donc pas d'espace pour respirer entre les vagues et de nouvelles «mutations covid» plus dangereuses, pas de temps et d'occasions pour se réunir et s'organiser, mais  des masques d'isolement - imposés par la police, et même brutalement appliquée par la police anti-émeute. Imaginer!


Qui aurait pensé il y a à peine un an - que nous serions tous humblement soumis à un ennemi invisible, un virus - et portant des masques, obligés à  une distanciation sociale et même arrêté, menotté et mis en prison pour refus de se masquer le visage - refusant de respirer notre propre CO2, au lieu de l'oxygène vital - qu’ils octroient  au contraire, en forçant  les patients sous des ventilateurs mortels?


Absurdités sans fin. Dans tous les continents. Mais nous l'acceptons. Imaginez, un troupeau de moutons, effrayé par les cris et les hurlements sans cesse répétés de «Loup», courant vers un abîme sombre inconnu - d'où il n'y a pas de retour.


En demandant à mon ami s'il avait l'intention de poursuivre l'hôpital, il a répété - avec sa sérénité habituelle -


"Pour quoi faire ? Mon frère ne reviendra pas. D'ailleurs, il n'y a pas de témoins. Nous ne savons pas ce qui s’est réellement passé, nous ne saurons peut-être jamais la vérité. Qu'il en soit ainsi. La seule note brillante dans cette histoire triste est qu'il a quitté son corps physique le jour très spécial, du solstice, lors d’ une conjonction unique de Saturne et de Jupiter, un événement unique dans la vie, qui se produit peut-être une fois tous les 800 ans. ou plus. C'est une conjonction très puissante - le début d'une nouvelle ère plus brillante, l'ère du Verseau… si mon frère a choisi en quelque sorte ce moment de LUMIÈRE, tant mieux pour lui. "


Une nouvelle ère astrologique qui pourrait offrir à l'humanité l'opportunité de passer à un système de plus de justice, plus d'égalité et de paix. https://www.momentomcollective.com/the-profound-awakening-the-biggest-astrological-event-of-our-lifetime/


Une ère de lumière - mais l'humanité doit s'éveiller à une conscience supérieure pour utiliser la lumière qui pourrait nous guider vers ces valeurs plus nobles de solidarité ,  vers un bien commun pour l'humanité et pour la protection de la Terre Mère avec toutes ses espèces.



Peter Koenig is a geopolitical analyst and a former Senior Economist at the World Bank and the World Health Organization (WHO), where he has worked for over 30 years on water and environment around the world.


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