Les virus et les vaccins de A à Z - Pour les vaccino-prudents, par Dr Christian VÉLOT
Docteur Christian VÉLOT est généticien moléculaire à l'université Paris Saclay .
Il est également Président du Conseil scientifique du CRIIGEN.
Le CRIIGEN désigne le Comité de Recherche et d'Informations Indépendantes sur le Génie Génétique , fondé le 1er juin 1999.
Dans cette vidéo didactique, Dr Christian VÉLOT explique le fonctionnement des virus et explicite les différents types de vaccins proposés dans le contexte de la Covid-19 , dont surtout ceux de la dernière génération et de leurs possibles conséquences.
https://www.youtube.com/watch?v=tYwCxe9gvQY&feature=youtu.be
A cet exposé très clair, on peut ajouter quelques passages d'explications/opinions extraits de
d'où vient également l'image ci-après et qui résume la situation
" ..... Nous voyons donc que les actions du gouvernement sont dictées par les intérêts pharmaceutiques. Pour promouvoir la vaccination généralisée, celui-ci continue de refuser l’usage des antiviraux comme l’HCQ et l’azithromycine, en préventif et comme traitement précoce, et l’ivermectine en traitement encadré. L’UE a passé commande de 1.9 milliards de doses de vaccins (dont 160 millions chez Moderna pour 5,6 milliards d’euros) auprès de 6 compagnies pharmaceutiques pour les 448 millions d’habitants de l’UE (hors UK), soit 4 doses par habitant, pour un coût exorbitant total de 21 milliards d’euros. Il faut noter d’ailleurs, qu’en ce qui concerne ces traitements, le problème politique est le même aux USA, pays des lobbys institutionnels. C’est un secret de polichinelle que les lobbys gangrènent à présent les allées du pouvoir en France.
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Nous voyons que l’éviction des traitement antiviraux permet au gouvernement de privilégier la vaccination généralisée de Big Pharma sans même devoir estimer le ratio bénéfice/risque. En faisant cela le gouvernement choisit qu’il le veuille ou non l’option « après moi le déluge ».
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Cependant, la principale inquiétude avec ce vaccin est qu’il s’agit d’injection de matériel génétique qui peut se retrouver intégré à l’ADN de nos cellules par l’effet de transcriptases inverses. Ces transcriptases peuvent être déjà présentes dans notre organisme à la suite d’une infection par un rétrovirus. Elle peut être asymptomatique ou avoir des effets très différés comme dans le cas du cancer du col de l’utérus (sarcome de Rous) généré par le papilloma virus qui est assez répandu. De plus : « le génome humain comprend naturellement des séquences d’ADN d’origine rétrovirale (8%).
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Donc, un vaccin efficace devrait le rester pour un temps suffisant sur une période de 6 mois à un 1 an. Ainsi, le Pr Raoult observe que seulement 18 patients sur les 10 000 traités à l’IHU auraient développé une seconde fois le Covid-19 au contact des nouveaux variants introduits pendant l’été. Cela est très rassurant et indique que cahin-caha on se dirige vers l’immunité collective et la fin de l’épidémie, indépendamment d’une vaccination généralisée. De toute façon, les vaccins à ARNm ne sont absolument pas indispensables et leur application relève de l’expérimentation humaine à grande échelle....."
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