Vaccination - hypothèse de stérilisation

 

Les antigènes  HCG  et GnRH  fourrées dans certains vaccins  permettraient la stérilisation des humains, avec en cadeau des testicules ratatinées.  Mais pas que. ..


Cette surprenante information se trouve sur le blog https://johnplatinumgoss.com/2020/12/08/a-nasty-shot-in-the-arm-rt-pcr-kits-and-vaccines-unlicensed-by-the-mhra/


Selon ce blog, l’utilisation des antigènes mentionnés  comme testés sur les humains  serait l’oeuvre de  GlaxoKineSmith ( GKS) , partenaire de SANOFI.  Mais cette utilisation  reste cependant au conditionnel, pour ce qui est de la formule définitive du vaccin à commercialiser  ,  comme l’indique l’article . 


Par ailleurs, On sait aussi que le projet de vaccin SANOFI- GKS vient d’être repoussé à fin 2021.


  Pour mémoire et selon Wikipedia, on appelle antigène toute substance étrangère à l'organisme capable de déclencher une réponse immunitaire visant à l'éliminer. 

L’HCG (hormone chorionique gonadotrophique) est l’hormone de grossesse. 

La GnRH (Gonadotropin-Releasing Hormone), ou gonadolibérine, aussi appelée LHRH (Luteinizing Hormone Releasing Hormone) est une neurohormone produite par des neurones de l'hypothalamus. Elle est libérée de manière pulsatile.


Cela étant dit , voici ci-après quelques extraits de cet article  en traduction :


…..

" Quoi qu'il en soit, ce n'est pas une procédure «rigoureuse normale». Ce vaccin est expédié alors qu’un processus normal  d’essai  peut prendre jusqu'à dix ans. Même aujourd'hui, aucun vaccin approuvé n'existe pour le SRAS-COV de l'épidémie de 2003, et en fait, aucune approbation n'existe pour aucun des virus de la famille du SRAS / MERS.

Ce qui se passe ici,  est une expérimentation  humaine par un vaccin  et qui a fait l'objet de tests minimalistes , avec une liste incomplète et secrète  des ingrédients .


Cela, en soi, devrait nous alerter - mais les seuls  sujets traités sont de  savoir si les gens portent des masques, obéissent aux restrictions de confinement , se lavent les mains et respectent la distanciation imposée.


Nous devrions vraiment nous inquiéter du vaccin PfizerBioNTech et des autres vaccins, qui contiennent des ingrédients conçus pour stériliser des volontaires ou modifier notre ADN dans le cadre d'un programme promu par le gouvernement, dont les résultats indésirables peuvent ne pas être connus avant des décennies.


Grâce à un lanceur d'alerte de GlaxoKlineSmith dont les preuves ont été présentées dans l'émission David Knight Show à 

https://www.bitchute.com/video/0QFpOQ225dbw/


, nous savons que GKS prévoyait (prévoit?) d’utiliser un  vaccin à base d’un antigène HCG , qui cause l'infertilité chez la femme et chez l'homme. 

Chez les hommes, les testicules rétrécissent, les niveaux de testostérone chutent, le sperme est attaqué chimiquement et le sperme mort continue à rendre les femmes infertiles. 

Chez les femmes. il «. . . produit des anticorps qui se combinent avec l'HCG pour le rendre biologiquement inactif. . . Sur 63 femmes qu'ils] [GSK]  ont testé  avec HCG, 61 d'entre elles sont devenues stériles. . . "


Il semblerait également que le vaccin de Pfizer BioNTech ait un contenu potentiellement mortel.


Le dernier e-mail que j'ai reçu de la MHRA a confirmé mes soupçons selon lesquels il s'agit d'un sujet sensible que la MHRA choisit d'étouffer dans l'œuf.


«Je suis désolé John mais je n'ai pas le temps de gérer des communications répétées avec vous car je traite des centaines de courriels par jour. Ce sera mon dernier e-mail en réponse. .

Les essais sur les vaccins n’ont pas été précipités et  en ce qui concerne la MHRA  nous avons appliqué le même niveau de rigueur que pour d’autres.

Les preuves de succès du vaccin sont corrélées au nombre de personnes qui ont contracté le virus qui ont reçu le vaccin à celles qui ne l’ont pas reçu. »


Sa dernière phrase m'a  ainsi ramené  à ma question initiale sur la fiabilité du test RT-PCR dont la MHRA a constamment négligé de contrôler la pertinence  et qui, malgré l'assurance  contraire, est utilisée dans les tests de vaccins. 


L’ensemble du processus m’a rappelé le sort de Daniel Doyce de Little Dorrit de Charles Dickens.

Doyce était un ingénieur qui avait essayé de faire breveter son invention. Pendant des années, il avait  fait des allers-retours au Bureau de qualification ,et été envoyé de service en service sans jamais recevoir d’avis  constructifs. Incapable de progresser, Doyce a finalement emmené sa création à l'étranger où l’un et l’autre avaient obtenu reconnaissance et   succès. 


Le problème, c’est qu’avec les autorités de réglementation d’aujourd’hui, il n’ya nulle part à l’étranger où faire partager nos inquiétudes, car l’Agence européenne du médicament (EMA) est aussi complice des objectifs de Big Pharma que notre propre MHRA.


Comme l'employé de MHRA n'avait pas le temps de «gérer des demandes  répétées», j'ai renvoyé un courriel pour voir s'il y avait quelqu'un d'autre qui pouvait répondre à mes équations. Mon précédent courrier  avait reçu une réponse rapide,  mais cette fois  cela fait  deux semaines que j’attends en vain une réponse.  Pourtant quand des individus  s'inquiètent de la sécurité et de l’innocuité des produits médicaux, il est du devoir de la MHRA d'agir.


Les tentatives pour obtenir la vérité peuvent être frustrantes. Il est dans l'intérêt de nos familles et amis, ainsi que de leurs familles et amis, de découvrir pourquoi la MHRA ne fait pas son travail en ce qui concerne le test RT-PCR. Il ne fait  aucun doute, que mes questions ont  dérangé cette autorité. Puisqu’elle  refuse de me répondre  j’ose espérer  que  d'autres, suffisamment préoccupés pour le bien-être et l'avenir de leur famille et de leurs amis sur cette belle planète qui est la nôtre, s'intéresseront aussi aux ratés des tests RT-PCR


Les liens étroits entre les grands conglomérats pharmaceutiques et leurs autorités de régulation posent des questions sur leur impartialité. Dans sa rubrique  questions et réponses, la MHRA  essaie de désamorcer les reproches . 



On peut rappeler aussi, que l'introduction d'éléments  de stérilisation dans un vaccin n'est pas nouvelle.  Puisqu'elle  a déjà été implémentée en Afrique dont au Kenya, comme le mentionne l'article : 

et dont un passage est traduit ci-après  «Selon LifeSiteNews,  qui est une publication catholique, l'Association des médecins catholiques du Kenya accuse  l'UNICEF et l'OMS de stériliser des millions de filles et de femmes sous le couvert d'un programme de vaccination anti-tétanique parrainé par le gouvernement kényan…


… Les six échantillons ont été testés positifs pour l'antigène HCG. L'antigène HCG est utilisé dans les vaccins anti-fertilité, mais a été trouvé dans les vaccins antitétaniques ciblant les jeunes filles et les femmes en âge de procréer. Le Dr Ngare, porte-parole de l'Association des médecins catholiques du Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre:


«Cela a prouvé juste nos pires craintes; que cette campagne de l'OMS ne vise pas à éradiquer le tétanos néonatal mais est un exercice de stérilisation de masse  coordonné et efficace,  pour  contrôler  la population à l'aide d'un vaccin . Ces preuves ont été présentées au ministère de la Santé avant le troisième cycle de vaccination, mais elles ont été ignorées. («Stérilisation de masse»: des médecins kényans trouvent un agent anti-fertilité dans le vaccin des Nations Unies contre le tétanos? », 



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