FAIRE PART DE DÉCÈS
FAIRE PART DE DÉCÈS
Par ANTONIN47
M. Charles Pfizer et ses héritiers et actionnaires, à New York (USA),
M. Georges Merck et ses héritiers et actionnaires, à New York (USA),
M. Eli Lylli et ses héritiers et actionnaires à Indianapolis (USA),
MM. Robert Wood Johnson, James Wood Johnson, Edward Mead Johnson et leurs héritiers et actionnaires à News Brunswick (USA),
M. Wallace Abbott et ses héritiers et actionnaires à Chicago (USA),
MM. les actionnaires des compagnies Astra Zeneca et GlaxoSmithKline à Londres (GB),
MM. les actionnaires des laboratoires Novartis et Hofmann-La Roche à Bâle (CH),
MM. les actionnaires et dirigeants des fonds de pensions, investisseurs et spéculateurs,
Mesdames et Messieurs les politiques français qui, tellement préoccupés d’autre chose que du bien-être de leur population, n’ont eu de cesse de démanteler ou laisser démanteler, délocaliser ou laisser délocaliser, brader ou laisser brader en faveur des compagnies pharmaceutiques la santé publique française,
Mesdames et Messieurs les ministres de la santé tellement issus, mariés, confondus avec les firmes pharmaceutiques qu’ils ont perdus de vue ce que signifient le mot santé, le bien public, et la nation française,
Mesdames et Messieurs les mandarins hospitaliers et de médecine privée, tellement gavés de grandes et petites attentions, cadeaux et flagorneries, par les laboratoires qu’ils en perdent toute raison, toute objectivité, tout bon sens, et toute décence, au point d’inonder de leurs péroraisons, menaces et prédictions partisanes les plateaux des médias en dissimulant éhontément leurs liens, devenus conflits d’intérêts,
Monsieur le Président de la République, père tant souhaité de la nation, qui quels que soient ses pures intentions, se retrouve dépourvu de tout moyen d’action, corseté, médusé et totalement désarmé, dans l’incapacité structurelle d’assurer la défense de son peuple traitreusement agressé par l’association de malfaiteurs des sociétés multinationales voyous et des fonds d’investissement rapaces,
Les familles parentes et alliées, en France et à l’étranger,
Ont le regret de vous faire part de la disparition de vos trois filles bien aimées
LIBERTE, DEMOCRATIE et SANTE
Enlevées quoi qu’il en coûte à votre habitude, à votre affection et à votre chair
Pour le chagrin et les remerciements prière de se référer aux gouvernements successifs qui n’y ont tant rien fait qu’ils n’y peuvent plus rien
Les injections à venir auront lieu dans la plus stricte intimité.
R I P (fizer)
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