Harcèlement électronique et santé - Spike ? ou Covid ?


Le harcèlement est dit « électronique « pour désigner l’utilisation de différents moyens qui relèvent du domaine de la  technologie.

Le terme électronique est utilisé par préférence à électromagnétique, car dans certains cas les adeptes de ce harcèlement utilisent aussi des sons : ultrasons et infrasons  par bricolage en proximité.


Le harcèlement électronique est souvent un mix déboussolant, d’agressions proches confiées en voisinage  à des crétins sadiques, avec en  superposition  des agressions lointaines  et qui ont plusieurs origines possibles..


Il suffit de se souvenir que dans le XVème arrondissement de Paris,  des corses , et le pas très distingué  président du conseil syndical de l’immeuble , me tiraient dessus avec des armes à énergie dirigée alors que j’étais dans la rue. Sans même se cacher. De leur fenêtre.


Cette situation , en ce qui me concerne, existe depuis très longtemps  et a été reproduite avec des modalités  d’adaptation,  dans tous les endroits où j’avais essayé de fuir et cela inclut de nombreux pays étrangers.


Cette mienne situation  m’a été expliquée , par certains, comme une vengeance perpétuelle de francs maçons sadiques. Ce  qui expliquerait aussi,  que toutes mes plaintes sans exception, qu’elles soient pour torture ou pour tout autre motif dont des  escroqueries prouvées ,  sont  systématiquement classées. Parfois même en 48 h. 


La forme de survie  pénible mais  dont j’ai  jusqu’alors   bénéficié ,  est très largement due , aux quasi miracles que le Pr Belpomme accomplit pour les cerveaux des EHS. Car toute personne ciblée par le harcèlement électronique , dont la base est l’énergie dirigée , devient plus ou moins électro-hypersensible. Pour moi, c’était plus.


L’anecdote sinistre que je vais partager ici, mérite , comme d’habitude des détails de contexte.


Dans cet endroit moitié ville/ moitié campagne, je suis très souvent réveillée  vers une heure du matin par un signal . En plus des matraquages.  On m’a expliqué  ce signal vers 1h du matin par la  mise à l’heure de toutes les horloges  des antennes relais. Pourquoi pas ?  Mais ça pourrait aussi bien être un signal  émis  par un avion qui passe. Ou un drone.


Ce matin-là et  comme souvent,  puisque réveillée,  je m’étais levée pour consulter les nouvelles sur internet.

Deux heures plus tard, j’étais retournée m’allonger sur le sol,  là où les signaux ont  le moins de portée.

Et zut . J’avais oublié de débrancher la box en la quittant. Alors j’avais couru dans la cuisine où elle se trouve et re-couru me recoucher, sous mon empilement de protections. 


A peine allongée, un matraquage  de signaux  pulsés d’une violence  et d’une cadence sidérante et qui provoquaient  des éclatements sonores dans la boite crânienne , m’avait laissée dans l’incapacité de bouger ou de réagir. J’avais rapidement  glissé dans un état comateux. 


Emergeant de cet état  presque deux heures plus tard avec des nausées, je ne pouvais ni m’assoir ni me lever. Tout tournait. A l’intérieur de ma tête. A  l’intérieur de la pièce. Toutes tentatives  de sortir du lit  s’étaient soldées par  des chutes et  des plaquages  au sol . A chaque essai  de mouvement  vain,  vers une station de bipède normale,  je transpirais abondamment avec des tremblements incessants. 


A la  fin d’une  journée d’épuisement  total ,  et passée  surtout à dormir, j’avais pu ramper vers la cuisine et avaler un bouillon.  Rendu immédiatement. 


Le lendemain avait été à l’avenant,  avec vertiges incessants. Je ne tenais debout , en titubant, qu’ en m’agrippant   aux poignets de portes .

Mais , phénomène inquiétant , j’avais aussi développé une mega-réaction brulante  et incompréhensible , au virus de l’Herpès. 


Cette situation avec des hauts et des bas , une fatigue intense et une envie de dormir incessante  mais surtout  avec des vertiges handicapants  et ces pustules brulantes insupportable ,  s’était estompée au fil de la semaine. 

Le matraquage de signaux  nocturnes  s’était fait moins agressif. 


Malheureusement , il a recommencé la nuit dernière.  Sans commune mesure  quant à la violence  d’intensité avec le matraquage qui m'avait  laissée sur le carreau , et plus près de ce qui ressemble à la mort qu'à la vie. 


 La nuit dernière le matraquage  avait duré 23 minutes et  à cette cadence-là. 

Cela permet une comparaison .




Depuis plusieurs nuits j’avais recommencé à enregistrer des EEG. 

Ce qui donnait ceci pour la nuit dernière : 




Les hypothèses d’explication de cette situation/anecdote effrayante , pourraient  relever des neurosciences en relation  ici avec  la Spike ou avec le Covid et d'une activation d'un élément pathogène dormant présent dans le corps, au moyen de signaux d'énergie pulsée


J'ajoute que je ne suis pas vaccinée.


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