Vacciné et handicapé - Le guitariste Eric Clapton témoigne

 De : https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2021/06/22/eric-clapton-covid-19-vaccine-injury.aspx?

Eric CLAPTON explicite les conséquences de sa vaccination


https://www.youtube.com/watch?v=4OHmMKrVbNk&t=74s

Par Dr Mercola

Le musicien Eric Clapton a  raconté  sa réaction  indésirable grave  au vaccin AstraZeneca COVID-19
 

EN BREF

• La première dose du vaccin l'a fait trembler, avec de la fièvre et des frissons, et « HS pendant environ une semaine »
• La deuxième dose a entraîné une aggravation significative de sa neuropathie périphérique, le laissant dans « la douleur et l'agonie » et incapable d'utiliser ses mains pendant environ trois semaines
• Clapton a déclaré que ce qui le dérange le plus dans la réponse à la pandémie, c'est la coercition ; Les publicités de propagande du NHS au Royaume-Uni présentaient des photos de personnes âgées malades avec des slogans tels que "Regardez-le dans les yeux et dites-lui que le risque n'est pas réel", ce que Clapton a qualifié de victimisation
• Clapton pense que plus de gens ne s'expriment pas par peur de représailles s'ils vont à l'encontre du récit officiel ; il s'est senti aliéné et a perdu des amis à cause de ses opinions

Dans une interview avec Oracle Films, le musicien Eric Clapton a détaillé son expérience et  sa réaction indésirable grave au vaccin COVID-19. Clapton a été fustigé par les médias grand public pour avoir parlé du vaccin et des blocages dus au COVID, et il a déclaré qu'il avait perdu des amis à cause de ses opinions.

Il a même peur de perdre l'amour et la confiance des membres de sa propre famille, même s’ il croit qu'il faut exprimer ce en quoi on croit et partager ses expériences :
«Je crois avant tout à la liberté d'expression et de mouvement, au choix de mouvement et de vie, à l'amour et à la gentillesse et avec toute cette  polarisation sur la politique,  la médecine et  la science, j'ai trouvé très difficile d'être neutre parce que J'ai vu le mépris  des deux côtés, et je suis souvent pris entre deux feux.

Je parle aujourd'hui au nom de gens comme moi qui sont peut-être déboussolés et ont peut-être besoin d'entendre quelqu'un  parler d'un point de vue humain sans accusation… Il doit y avoir un moyen de rassembler les gens. Je crois que la musique peut faire ça, mais c'est loin. Il est encore temps, je crois, pour que nous nous réunissions.
La chanson « Stand and Deliver » s'attaque aux blocages de COVID

Avant de recevoir le vaccin COVID-19, Clapton a collaboré avec Van Morrison sur la chanson « Stand and Deliver », qui est sortie en décembre 2020. Elle reprend la réponse du Royaume-Uni à la pandémie, qui comprenait des blocages stricts.

L'analyse des preuves scientifiques depuis le début de la pandémie soutient la théorie selon laquelle les blocages ont été inefficaces pour arrêter la propagation de la maladie et ont entraîné un coût financier et humain extrêmement élevé.Ils ont même été qualifiés de " la pire erreur de   en matière de santé  publique « des 100 dernières années. Dans la chanson, Clapton chante :

« Levez-vous et délivrez-vous / Vous les laissez vous faire peur / Levez-vous et délivrez-vous / Pas un mot que vous avez entendu n'était vrai / Mais s'il n'y a rien que vous puissiez dire / Il n'y a peut-être rien que vous puissiez faire / Voulez-vous être un homme  libre  / Ou voulez-vous être un esclave ?

Clapton a perdu l'usage de ses mains après la deuxième dose de vaccin
Même si Clapton n’était pas satisfait de la réponse du gouvernement à la pandémie et envisageait même de déménager  hors d’Angleterre, il pensait qu’il était vulnérable au COVID-19 en raison de son âge – 76 ans – et d’un diagnostic d’emphysème.

Il a décidé de se procurer un vaccin COVID-19 – le vaccin Oxford-AstraZeneca, qui utilise un vecteur d'adénovirus de chimpanzé génétiquement modifié pour exprimer la protéine de pointe SARS-CoV-2. Les effets secondaires ont commencé peu de temps après sa première dose :

«Je suis allé et j'ai eu l’injection  en quelques heures, je tremblais comme une feuille et je me suis couché tôt et je ne pouvais pas me réchauffer… et j'ai pensé que j'avais de la fièvre. J'étais bouillant et en sueur, puis j'avais froid et j'ai été épuisé pendant environ une semaine.

Je  préparais  un projet pour jouer de la guitare acoustique avec quelques musiciens et nous allions le filmer. Cette semaine m'a mis KO et j'ai dû recommencer à zéro. J'allais bien, mais ça ne s'est pas aussi bien passé que je l'aurais souhaité car, professionnellement, c'était un énorme revers..."

Quand est venu le temps d'obtenir la deuxième dose, Clapton hésitait, mais a quand même continué, seulement pour éprouver une réaction encore plus violente :

Petit à petit, je me suis rendu compte que je n'aurais probablement pas dû avoir la premier injection, mais ensuite on m'a proposé le deuxième et j'ai pensé, eh bien… à quoi bon arrêter maintenant. Alors je suis allé et j'ai eu le deuxième, et puis ça a vraiment mal tourné. En une semaine environ… mes mains ne fonctionnaient plus vraiment.

Clapton avait déjà été diagnostiqué avec une neuropathie périphérique, qui est une lésion nerveuse dans les bras et/ou les jambes qui provoque des douleurs, des brûlures, des engourdissements et une sensation de fourmillement. La maladie est progressive et incurable, a noté Clapton, mais a déclaré que la sienne était alors gérable.

"Je m'attendais à ce que ce soit quelque chose qui empirerait progressivement à mesure que je vieillissais dans mes 80 ans, mais je pouvais toujours avoir un sac de glace ou autre chose  pour aider. » Cependant, cela a changé après le deuxième vaccin COVID-19.

Clapton dit que le vaccin a endommagé son système immunitaire
Après le deuxième vaccin COVID-19, la neuropathie périphérique de Clapton s'est considérablement aggravée, ce qu'il a attribué à une attaque contre son système immunitaire :

« [Quand j'ai eu le deuxième dose], cela est passé de, sur une échelle de 10, disons de trois à huit ou neuf. Agonie et douleur chronique. Quand vous savez que rien ne fonctionnera, qu'il n'y a aucun médicament que vous pouvez prendre pour vous aider, c'est très, très effrayant. Et le pire, c'est que vous ne savez pas quand ça va diminuer ou quand ça va disparaître.

C'est donc ce qui m'a le plus effrayé, médicalement, sur le plan de la santé, et c'est toujours le cas parce que j'ai des concerts à faire, j'ai du travail d'enregistrement à faire, mais je ne peux pas prendre ma guitare pour jouer… ça n’a rien de drôle … et quand je la pose, elle  reste là jusqu'à ce que je me couche, et je prends des somnifères parce que je n'arrive pas à dormir à cause de la douleur. Ce n'est pas une bonne façon de vivre.

Tout n'est pas dû au vaccin, mais le vaccin s’est emparé de mon système immunitaire et l'a simplement secoué à nouveau, et cela continue. Ensuite, j'ai lu beaucoup de témoignages  de personnes qui avaient des effets indésirables, et  qui figuraient sur la liste … des dommages au système immunitaire.

Judy Mikovits, Ph.D., fait partie de ceux qui ont mis en garde contre les vaccins COVID-19 entraînant une dérégulation du système immunitaire. Elle a expliqué dans notre interview de juin 2021 :

« Comme mentionné, il s'agit d'un vecteur adénoviral exprimant la protéine. Ainsi, le VIH, l'enveloppe XMRV, la syncytine, l'enveloppe HERV-W et l'ACE2 sont déjà exprimés dans le vecteur… ces vaccins producteurs de protéines vecteur adénovirales sont cultivés dans une lignée cellulaire de tissu fœtal avorté, alors maintenant vous avez obtenu de la syncytine humaine [là-dedans]. Vous avez 8% du génome humain d'un autre humain.

Donc, encore une fois, en regardant la communication qui doit réguler votre réponse à l'interféron de type I, cela va vous donner une auto-immunité. Chez les personnes immunodéprimées, cela va continuer à s'exprimer et cela vous donnera une infection active, alors que  vous avez déjà vos camions de pompiers qui combattent une autre [infection]. Vous ne pouvez pas mener une guerre sur trois fronts.

Clapton a demandé  à son médecin de faire un rapport « carton jaune »

Le Royaume-Uni gère un site  « Carton jaune » pour signaler les effets indésirables des vaccins et des médicaments.
 Du 9 décembre 2020 au 2 juin 2021, le site a reçu les soumissions suivantes :
• 67 998 cartons jaunes signalés pour le vaccin Pfizer/BioNTech
• 195 641 cartons jaunes signalés pour le vaccin COVID-19 AstraZeneca
• 3 278 pour le vaccin COVID-19 Moderna
• 754 cartons jaunes signalés pour les vaccins COVID-19, marque non spécifiée

Cela correspond à un taux global de notification d'événements indésirables de trois à sept cartons jaunes pour 1 000 doses administrées pour les vaccins Pfizer/BioNTech, AstraZeneca et Moderna COVID-19.

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait l'impression d'avoir été informé des risques du vaccin au préalable, Clapton a dit: "Oh mon Dieu, non. Je ne savais même pas qu'il y avait un rapport de carton jaune. Je ne savais pas que ça existait.

Au lieu de dire que vous pourriez avoir un peu mal, Clapton a déclaré: "Ils disent que c'est sans danger." Après la deuxième dose, cependant, il a dit à son médecin de faire un rapport de carton jaune et a obtenu une note qui, espérons-le, le dispensera  d'avoir de recevoir une dose de rappel :

« J'ai perdu l'usage de mes mains pendant environ trois semaines, alors j'ai pensé que j'avais de vrais ennuis… Je ne peux rien toucher de froid ou de chaud. Je dois les utiliser [en tenant une paire de gants], sinon mes mains vont commencer à brûler et elles resteront brûlées toute la journée… Et ça c’est passé après la deuxième injection

Je suis allé voir mon médecin assez rapidement et je lui ai dit, vous savez, je ne peux plus me faire vacciner. Ce n'est pas possible pour moi parce que je ne sais pas ce qui va se passer. Je ne sais pas ce qui va se passer ensuite, et d'après ce que j'ai lu et d'après ce qu'on m'a dit, il y aurait un rappel à l'automne, et j'ai dit qu’il me faut  un document qui dit que je suis allergique, je peux pas avoir de nouveau   vaccin COVID, j’en ai déjà assez eu..

C'est à peu près à cette époque que Robin Monotti d'Oracle Films a invité Clapton à parler de ses expériences, ce qui, selon lui, était une décision facile. "C'était facile de dire oui parce que j'ai réalisé que je n'étais pas le seul à souffrir d'effets indésirables", a déclaré Clapton.
La peur des représailles empêche les gens de s'exprimer

Clapton soutient la Déclaration de Great Barrington (GBD), rédigée par des épidémiologistes des maladies infectieuses et des scientifiques de la santé publique, qui avait souligné les graves préoccupations concernant les mesures de confinement mises en œuvre pendant la pandémie .Elle  a recueilli plus de 850 000 signatures .

Les auteurs de GBD, ainsi qu'une équipe d'universitaires, de chercheurs et d'experts en la matière, publient désormais une analyse régulière de l'impact mondial des restrictions COVID-19, appelée Collateral Global.
 La réalité est que les blocages ont causé beaucoup de tort , des retards de traitement médical et l’arrêt de l'éducation , du chômage  chômage et des surdoses de drogue.

Clapton a déclaré que ce qui le dérange le plus dans la réponse à la pandémie, c'est la coercition. Les publicités de propagande du NHS au Royaume-Uni présentaient des photos de personnes âgées malades avec des slogans comme "Regardez-le dans les yeux et dites-lui que le risque n'est pas réel". "C'est sinistre, c'est la victimisation , voila  ce que c'est", a déclaré Clapton, ajoutant :

« L’astuce qu’ils ont trouvée avec leur propagande était de faire en sorte que vous soyez responsable de la vie des autres. Donc, je peux être qualifié de meurtrier et les gens le croiraient vraiment. C'est puissant. C'est très intelligent."

Le syndrome d'anxiété lié au COVID-19 s'est également manifesté dans de nombreux cas, ce qui fait référence à une détresse psychologique liée à la pandémie qui peut persister bien au-delà de la pandémie, interférant avec la vie quotidienne.

Clapton a déclaré qu'il en souffrait, mais que c'était pire lorsqu'il suivait l'actualité. . Maintenant, il ne regarde plus la télévision. Cette souffrance psychologique est un mécanisme de contrôle clé, a déclaré Clapton, faisant référence à « 1984 » de George Orwell :
"C'est tellement vrai. Il y a tellement de maladie dans nos têtes maintenant. Nous sommes devenus faibles. Nous parlons de liberté d'expression, de liberté de mouvement, de liberté de choix avec le vaccin, par exemple,  alors que nous vivons exactement le contraire  «

Clapton pense que trop de gens ne s'expriment pas par peur de représailles s'ils vont à l'encontre du récit officiel, et craignent même les représailles de leur propre famille. 

Clapton a déclaré qu'il ressentait un certain niveau d'aliénation en raison de ses opinions. Il  a  aussi déclaré: «Ma peur  est de savoir ce qu'il va arriver à mes enfants.  Ma peur à propos de la vaccination  concerne mes enfants .  Qu'est-ce que cela va faire à mes enfants ?


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