Catastrophe annoncée de la vaccination anti-Covid mais le CDC persiste et signe
Catastrophe annoncée de la vaccination anti-Covid mais
le CDC persiste et signe
Article du 2 mai 2021
Pénible découverte que celle faite sur le blog du Dr Jennifer Margulis (1) cette semaine, on y apprend que les craintes de la communauté internationale autour des potentiels effets catastrophiques de la vaccination anti-Covid n’ont pas été totalement entendus par le CDC, sous prétexte de temps de parole dépassé. Il est vrai que l’oratrice avait royalement été créditée de trois minutes pour développer ce qui aurait difficilement pu être développé en moins d’une heure. Voici l’ensemble de l’argumentaire incomplètement présenté par J.C Lindsay, bonne lecture.
Introduction
Dans un commentaire public adressé au CDC (1), le Dr Janci Chunn Lindsay, biologiste moléculaire et toxicologue, a demandé l’arrêt immédiat de la production et de la distribution du vaccin Covid, citant les doutes concernant la fertilité, les problèmes de coagulation du sang (coagulopathie) et l’échappement immunitaire. Le Dr Lindsay a expliqué au comité les preuves scientifiques montrant que les vaccins à coronavirus ne sont pas sûrs.
Le 23 avril 2021, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a tenu une réunion à Atlanta, en Géorgie. L’objet de cette réunion de l’ACIP (Advisory Committy of Immunization Practices) était les troubles de la coagulation sanguine suite aux vaccins Covid. Le Dr Janci Chunn Lindsay a pris la parole devant le CDC pendant le temps réservé aux commentaires du public.
La censure sur les médias sociaux en particulier et sur Internet en général est implacable.
Voici une transcription légèrement modifiée et annotée, à l’abri de la censure, du commentaire de 3 minutes du Dr Janci Chunn Lindsay.
Vous pouvez écouter son témoignage sur YouTube (3) pour l’instant, du moins. (Si ce lien devient viral, YouTube le censurera probablement).
Une biologiste moléculaire et toxicologue demande l’arrêt du vaccin Covid
• « Bonjour, je m’appelle Dr Janci Chunn Lindsay. Je suis titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de l’Université du Texas, et j’ai plus de 30 ans d’expérience scientifique, principalement en toxicologie et en biologie mécaniste. Au milieu des années 1990, j’ai contribué au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune involontaire et la stérilité chez les modèles d’expérimentation animale. Ceci en dépit des efforts que nous avons déployés, et bien que les analyses des séquences ne le prévoyaient pas ».
Vaccins Covid, fertilité et fausses couches
Premièrement, les vaccins Covid pourraient induire des anticorps à réaction croisée avec la syncytine et nuire à la fertilité ainsi qu’au bon déroulement de la grossesse.
Il y a une bonne raison théorique de croire que les vaccins Covid provoqueront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines contenues dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité, de la gestation et de la reproduction.
Le Dr Bill Gallaher, virologue respecté, a présenté d’excellents arguments expliquant pourquoi on peut s’attendre à une réaction croisée, en raison des similitudes de conformation du feuillet bêta entre les protéines spike et les syncytines 1 et 2.
Toutefois, je n’ai pas encore vu une seule étude immunologique qui le réfute. Pourtant, il ne faudrait littéralement qu’une seule journée aux fabricants pour réaliser ces études sur la syncytine afin de s’en assurer [une fois qu’ils auraient du sérum de personnes vaccinées].
Cela fait plus d’un an que l’on a affirmé pour la première fois que cela pouvait se produire [le corps attaquant ses propres protéines de syncytine en raison de la similarité de la structure avec les protéines spike].
Au 9 avril 2021, 100 fausses couches ont été signalées au VAERS. Des rapports ont également fait état d’une altération de la spermatogenèse et du placenta dans les modèles animaux lors d’infection naturelle, ou de vaccination.
De plus, nous avons entendu parler de multiples rapports d’irrégularités de menstruations irrégulières chez les personnes vaccinées. Ces cas doivent être étudiés.
Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002 % de mortalité due à la Covid, s’ils sont infectés, ou à toute autre personne en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question.
Si nous le faisons, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation selon laquelle cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population.
Le vaccin Covid provoque des troubles sanguins
Toutes les thérapies géniques [vaccins Covid] provoquent des coagulopathies.
Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidités secondaires. Au 9 avril 2021, le système de notification VAERS a enregistré 795 rapports relatifs à des troubles de la coagulation sanguine, dont 338 dus à une thrombocytopénie.
Il existe des explications moléculaires de ce phénomène. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike. Zhang et al, dans un article scientifique publié dans le « Journal of Hematology & Oncology » en Septembre 2020, ont montré que si vous injectez la protéine spike à des souris qui ont des récepteurs ACE-2 avec des caractéristiques humaines (4) sur les plaquettes sanguines, vous obtenez également une thrombose disséminée. (5)
La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. La fibrinolyse est le processus de l’organisme qui permet de détruire les caillots sanguins. La protéine spike provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels.
Il existe des preuves solides d’évasion immunitaire…
A ce moment de son témoignage oral, le Dr Janci Chunn Lindsay a été interrompue par une voix d’homme : « Merci pour votre commentaire, votre temps est écoulé« .
J’ai contacté le Dr Janci Chunn Lindsay pour savoir ce qu’elle avait encore voulu partager avec l’ACIP, en plus de ses préoccupations concernant la fertilité et les troubles de la coagulation sanguine. Elle m’a renvoyé son troisième point, qu’elle a soumis comme témoignage écrit.
Il est clair que nous assistons à une dépression immunitaire temporelle immédiatement après les inoculations, voir à propos du nombre de décès suivant les dates d’inoculation (7).
En effet il existe des régions immuno-suppressives sur les protéines spike, ainsi que sur Syn-2, qui pourraient vraisemblablement en être la cause, par le biais d’un mécanisme dont les lymphocytes T seraient les médiateurs.
Si nous n’arrêtons pas cette campagne de vaccination jusqu’à ce que ces questions soient étudiées, nous pourrions assister à un phénomène tel que celui observé chez les poulets atteints de la maladie de Marek. (8)
Une scientifique du MIT également préoccupée par les problèmes de coagulation sanguine et de fertilité, Stephanie Seneff, Ph.D., experte en synthèse des protéines, pense que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. « Je partage absolument ces préoccupations », m’a écrit le Dr Seneff, qui est chercheuse principale au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.
• » Le potentiel de troubles de la coagulation sanguine et le potentiel de stérilisation ne sont qu’une partie de l’histoire. Il existe également d’autres effets potentiels à long terme de ces vaccins, comme les maladies auto-immunes et l’échappement immunitaire, par lequel les vaccins administrés aux personnes immuno-déprimées accélèrent le taux de mutation du virus de manière à rendre inefficaces les anticorps acquis naturellement et ceux induits par le vaccin. »
Conclusion
Comme le Dr Lindsay, le Dr Seneff pense qu’il faut immédiatement arrêter les campagnes de vaccination Covid.
• » Cet essai clinique massif sur la population générale pourrait avoir des effets dévastateurs et irréversibles sur un très grand nombre de personnes« , explique Seneff.
Malgré ces préoccupations concernant la fertilité et les troubles sanguins, le panel du CDC a voté vendredi dernier en faveur de la reprise de l’utilisation du vaccin de Johnson&Johnson™.
Ils ont toutefois suggéré qu’un d’avertissement de la FDA soit ajouté. Leur argument contre l’arrêt de la vaccination Covid ? Le CDC estime que les avantages l’emportent sur les risques.
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