L'HORREUR absolue . Les sénateurs savent que la vaccin est très dangereux pour les enfants mais se taisent.
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France : les Sénateurs connaissent la dangerosité des injections géniques pour les enfants… mais ne veulent pas que cela se sache!
Moment de vérité demain en France ?!
Après avoir été auditionnés par la commission d’enquête sénatoriale chargée de faire la lumière sur la sécurité des injection géniques présentées comme des vaccins, Christine Cotton, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan montent au créneau. Ce qu’ils révèlent est en effet hénaurme !
Première surprise -et pas des meilleures : non seulement leur audition n’a-t-elle pas été retransmise comme cela est de coutume… mais de plus aucun compte-rendu n’a été réalisé. Tout ceci rendant impossible que la population soit informée de la teneur des échanges et surtout du contenu de la présentation des trois experts. Curieuse conception de la démocratie, même s’il est vrai qu’on n’est plus à une curiosité près en la matière hélas depuis bientôt deux ans et demie.
Cependant, c’est en entendant leur témoignage sur le contenu des-dits échanges que les chaussettes -sinon les bras- nous en tombent : les Sénatrices et Sénateurs, mis devant la réalité des données et des statistiques montrant que les injections sont de 500 à 3’000 fois plus dangereuses que le virus du Covid pour les enfant ont placidement répondu qu’ils étaient déjà au courant ! Ceci au moment où la France vient de réserver… 12 millions de doses pédiatriques pour l’automne.
Les analyses produites sont présentée dans l’article qui suit et détaillées dans le document figurant à télécharger en fin de texte.
- Pour lire « Une faillite de la pharmacovigilance » sur les effets secondaires de la vaccination covid – Emmanuelle Darles et Vincent Pavan » sur France Soir : cliquer ici.
Je ne saluerai jamais assez le courage et la vaillance, l’intégrité et l’héroïsme d’Emmanuelle Darles, de Christine Cotton et de Vincent Pavan. A une époque de prostitution généralisée et de criminalité d’état, ces scientifiques incorruptibles mettent les mafieux et les lâches devant leurs responsabilités en refusant de se coucher. Ceci malgré un harcèlement hélas caractéristique de l’époque.
Le non moins vaillant Amine Umlil, docteur en pharmacie, juriste et spécialise de la pharmacovigilance, a obtenu que son audition du mardi 24 mai soit diffusée publiquement, après le passage d’Alain Fischer, fonctionnaire médical en chef de la politique « vaccinale » française, engoncé dans un déni proprement hallucinant.
- Pour accéder au programme de l’audition publique (en direct) au Sénat prévue le 24 mai 2022 sur les « Déclaration, analyse et communication autour des effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 » : cliquer ici.
Emmanuelle Darles, Christine Cotton et Vincent Pavan donneront quant à eux une conférence de presse demain également devant le Sénat. Les médias ayant eux aussi veillé à empêcher toute analyse publique honnête de la question des effets indésirables -massifs hélas- des injections expérimentales, on verra ce qu’ils trouveront à en dire. Tout en pressentant qu’ils se borneront probablement à ce qu’ils ne savent plus que faire : traiter toute information honnête et dérangeante de « complotiste ».
insi va l’époque : aux scientifiques et médecins corrompus répond la presse corrompue, au service de politiciens corrompus… eux-mêmes aux mains de corrupteurs redoutables même si grossiers. Car faire croire que Gates, Fauci, Zuckenberg, Tedros ou en France des gens comme Drahi sont des malins est simplement faux : ce ne sont guère que des crapules. Mais avec l’avantage que leur confère l’absence complète de scrupules couplée à des moyens tels que nul parmi ceux qui ont quelque chose à perdre (à part quelques héros) ne se risque à contester leurs fieffés et obvies mensonges et crimes.
Tout se dénouera à n’en pas douter à l’automne, quand le rouleau-compresseur infanticide se mettra en branle. Nous verrons alors si l’instinct de survie et le sens des valeurs fondamentales donnent encore une chance à l’Occident. Ou si la pourriture civilisationnelle dans laquelle l’ont plongé ses pseudo-élites lui aura définitivement ôté toute dignité et par-là même tout espoir de salut.
Apocalypse now…
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COMMISSION D’ENQUÊTE DE L’OFFICE PARLEMENTAIRE D’ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES SUR LES EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS CONTRE LA COVID-19 ET LE FONCTIONNEMENT DU SYSTÈME FRANÇAIS DE PHARMACOVIGILANCE
Paris, le 24 mai 2022 à 14h00 : Entrée du Sénat – 15 rue de Vaugirard, 75007
Conférence de presse de Mme Christine Cotton, biostatisticienne, de Mme Emmanuelle Darles, et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs.
Emmanuelle Darles, Christine Cotton et Vincent Pavan qui ont été entendus en audition privée dans le cadre des travaux de l’Office, ont alors alerté sur les graves effets secondaires de ces vaccins.
Ils alerteront, par voie de sommation interpellative délivrée par huissier, à l’occasion de leur conférence de presse sur des éléments essentiels pour les Français et particulièrement alarmants :
• D’importants biais dans les essais cliniques de phase 3
Les manquements et les biais dans l’essai clinique de phase 3 du vaccin
Pfizer ont rendu les conclusions de l’essai clinique peu fiables du
point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques.
• Une opacité de l’information
Les chercheurs sont confrontés à l’opacité des données publiques sur les
vaccins qui ne sont ni ouvertes au public ni aux chercheurs, un fait
inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française.
• Une volonté de dissimuler la réalité de l’effet de ces vaccins
La méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les
Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention
de données complètes.
• Une sous-évaluation notable des effets indésirables
Seuls entre 1% à 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.
• Des chiffres de mortalité alarmants
Les bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) font état, à
ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin,
le nombre de décès est très probablement beaucoup plus élevé, eu égard à
la sous-déclaration usuelle en ce domaine.
• Des remontées inquiétantes
A ce jour, les bases de données de pharmacovigilance montrent : 1 788%
d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation
d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30
années cumulées tous vaccins confondus. 62% de ces effets indésirables
surviennent le jour même de la vaccination.
• Des informations méconnues du grand public
Pourtant, Mme Christine Cotton, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent
Pavan, qui ont soulevé ces points en audition privée, ne sont pas
invités à l’audition publique finale de l’Office, mardi 24 mai. Ces
informations ne seront, dès lors, pas portées à la connaissance du
public.
Ils demanderont officiellement demain à être publiquement entendus par l’Office lors de l’audition finale publique du même jour.
À propos de Christine Cotton
Biostatisticienne, forte de vingt-trois ans d’expérience en matière de
contrôle des essais cliniques. Auteur d’une rapport : Evaluation des
pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer dans le
développement de son vaccin ARN-messager contre la Covid-19 en regard
des Bonnes Pratiques Cliniques », 28 fév. 2022 :
https://christine-cotton.1ere-page.fr/evaluation-essais-pfizer/
À propos d’Emmanuelle Darles
Docteur en informatique, maître de conférence à l’Université de
Poitiers. Co-fondatrice du Conseil scientifique indépendant, qui propose
une information scientifique libre de tous conflits d’intérêts sur la
crise sanitaire et ses implications scientifiques.
À propos de Vincent Pavan
Mathématicien, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille.
Co-fondateur du Conseil scientifique indépendant. Co-auteur avec Arianne
Biheran de « Le débat interdit », éd. Tredaniel La Maisnie, 2022.
Contacts presse :
mail : effets.secondairesvaxcovid@gmail.com
- Pour télécharger le document « Rapport remis à l’OPESCT – Calcul d’indicateurs statistiques sur les effets indésirables liés aux injections ARNm depuis les bases de données de pharmacovigilance européenne (EudraVigilance) et américaine (VAERS) » par E.Darles et V. Pavan : cliquer ici.
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