Variole du singe. La nouvelle corrida ?
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Variole du singe. La nouvelle corrida ?
samedi 21 mai 2022
Depuis
que la science existe, nombreux sont les scientifiques qui mettent en
garde leurs propres instituts de recherche et toute la corporation sur
les règles et les devoirs de la profession.
En
un mot comme en cent, les scientifiques (pas tous) dénoncent la
mainmise du cartel du Mondialisme dans les affaires de santé avec pour
intention non pas la santé mais l’enrichissement d’une minorité
cannibale, visant le contrôle de masse et l'éradication du surnombre.
Alors
que les effets du traumatisme Covidien commencent à peine à se dissiper
un nouvel arrivant vient déposer ses bagages en terre traumatisée : la
variole du singe. En anglais on l’appelle « monkeypox ». Un terme qui s’annonce prometteur dans un pays où l’anglicisme fait pipi n'importe où sans se gêner et où les médias vous pissent sur la tête sans état d'âme.
Bien
que d’aspect spectaculaire, voire traumatisant pour celui qui a fait du
bouton cutané une obsession, imaginez la tête du contaminé en
découvrant sur le corps un champ de bulles aussi vaste qu'une étendue de
colza. Flippant !
Cependant, les « spécialistes » sont plutôt rassurants : «
la variole du singe est peu contagieuse et surtout peu dangereuse. Le
virus a été découvert dans les années 1950, chez des macaques crabiers
de laboratoire. C'est en 1970 que le virus a été identifié pour la
première fois chez l'homme. »
Le vaccin
contre ce virus protège les personnes infectées à hauteur de 85%,
grosso modo. A vos starting-blocks citoyens, c’est parti pour une
nouvelle corrida !
On se
souvient, au début de la dictature sanitaire, des ministres déclarant
que les masques étaient inutiles, puis les imposant partout dans le
pays. Le bouleversement mental a été tel qu’après la levée de
l’obligation de son port, certains quidams continuent de le porter, y
compris quand ils sont seuls en voiture. S’il n’y a pas là intention de
nuire son prochain, je me demande ce qu’il faut pour déposer plainte
pour « mise en danger de l’équilibre mental de la personne » !
Une
chose me chiffonne cependant. L’apparition de ce nouvel avatar
sanitaire coïncide de manière suspecte avec la visite de Bill Gates en
Europe. Le Hannibal Lecter de la santé mondiale n’aura de cesse de sévir
tant qu’à l’instar de son homologue littéraire il ne sera pas
neutralisé. Un criminel ça se met hors d’état de nuire, il me semble,
non ?
Même si cela ne sert pas à grand-chose, je finirai en citant les propos dégoutés d’Erwin Chargaff,
biochimiste autrichien naturalisé américain en 1940, né à Czernowitz le
11 août 1905 et décédé le 20 juin 2002 à New York, mettant en garde
contre les dangers du bricolage génétique : « Aucun rideau de fumée,
aucun laboratoire de haute sécurité de type P3 ou P4, ne peut absoudre
un chercheur s’il fait du tort à un seul de ses prochains. »
Et il complète, au sujet des Etats-Unis et de la recherche contemporaine : «
Je suis tout à fait incapable de souscrire à ce qui se pratique
aujourd’hui, car je suis convaincu qu’avec nos méthodes d’organisation
et de financement des sciences, nous nous apprêtons à les tuer pour de
bon. Nous ne sommes pas loin d’anéantir totalement le concept de
sciences tel qu’il s’est développé au cours de plusieurs siècles (…) Ce
pays a toujours eu tendance à gonfler tous les ballons jusqu’à ce qu’ils
éclatent, et c’est aussi ce qu’il a fait avec les sciences. » (1)
(1) Citation extraite du « Manifeste conspirationniste » - Editions du Seuil.
Sous l’Casque d’Erby
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