De: https://healthimpactnews.com/2022/4113-fetal-deaths-in-vaers-following-covid-19-vaccines-not-including-those-murdered-alive-to-develop-the-vaccines/

4 113 décès fœtaux dans le VAERS suite aux vaccins COVID-19, sans compter ceux assassinés vivants pour développer les vaccins

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News. 2 mai 2022

Le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement américain signale désormais 4 113 décès fœtaux suite aux vaccins COVID-19 au cours des 17 derniers mois. ( Source .)

En revanche, il y a eu 2 239 décès enregistrés de bébés à naître dans le VAERS pendant les 30 ans (360 mois) précédant les autorisations des vaccins COVID-19 en décembre 2020, après tous les vaccins approuvés par la FDA combinés pendant cette période. ( Source .)

Comme on peut le voir sur les graphiques ci-dessus tirés du VAERS, le vaccin Pfizer COVID-19 a enregistré le plus de cas de décès fœtaux après avoir été injecté à des femmes enceintes et en âge de procréer que tout autre vaccin dans l'histoire des États-Unis avec 3 209, et cela a été accompli en seulement 17 mois.

Les rapports Pfizer de post-commercialisation publiés début avril à la suite d'une ordonnance du tribunal démontrent que Pfizer disposait de nombreuses données indiquant à quel point son vaccin COVID-19 était dangereux pour les femmes enceintes et allaitantes. Pourtant la FDA l'a quand même approuvé. .

Igor Chudov sur Substack a rapporté :

Une découverte intéressante dans le rapport post -commercialisation de Pfizer à la page 12 :

270 grossesses ont été signalées (cela inclut les grossesses qui progressent normalement et qui n'ont pas encore eu le temps de se terminer)

Une grossesse a abouti à une «naissance normale» (félicitations)

Une autre naissance déclarée a entraîné un « décès néonatal » (décès du nouveau-né)

Aucune autre naissance n'a été signalée

238 grossesses n'ont eu AUCUN résultat parce qu'elles étaient toujours en cours

Il y a eu 25 avortements spontanés (survenus en début de grossesse) et une « mort fœtale ». L'avortement spontané se produit dans les 20 premières semaines de grossesse. Il y a eu 7 autres interruptions de grossesse.

Si j'étais un régulateur, et si une entreprise présentait un produit qui entraîne une proportion de 50/50 de naissances et de décès de nourrissons, je serais personnellement alarmé . Je demanderais une pause avant de le donner aux femmes qui pourraient tomber enceintes jusqu'à ce que d'autres investigations puissent être menées.

Apparemment, la FDA cela n'a pas alarmé la FDA qui ne l'a pas mentionné mais a décidé de refuser la publication de documents sur le sujet. Tout ce qu'ils ont dit, c'est que c'était "sûr et efficace pour les femmes enceintes". Parce que la science.

Transmission du vaccin par l'allaitement

Le plus intéressant est peut-être le grand nombre d'effets indésirables impliquant des NOURRISSONS qui ont été allaités par des mères vaccinées :

Sur 133 mères allaitantes vaccinées signalées, il y a eu 17 cas d'effets indésirables chez les nourrissons allaités. Trois d'entre eux étaient "sérieux".

Ces événements indésirables montrent que l'allaitement pendant la vaccination n'est pas une « transmission inoffensive d'anticorps ». Il a créé des événements indésirables, y compris des événements indésirables GRAVES, chez ces nourrissons allaités.

Malgré cela, les médias ont continué d'insister sur le fait qu'il n'y avait "pas d'effets secondaires graves du vaccin COVID-19" et "pas d'excrétion", ce qui était un mensonge, comme nous le savons maintenant.

Je dirais que les mères et les femmes enceintes ont été induites en erreur par la "FDA" et les soi-disant "experts de la santé". Ils ont également été induits en erreur par des personnes comme " Bill McCarthy ", un spécialiste de la politique et du journalisme qui a écrit le joyau ci-dessus , qui n'a aucune formation en sciences de la santé et qui a trompé les femmes enceintes et allaitantes pour de l'argent avec le reste des médias d'entreprise. ( Source .)

Un ancien employé de Pfizer s'est présenté pour signaler les dangers du vaccin Pfizer COVID-19 pour les femmes enceintes et les enfants à naître, affirmant qu'ils sont trop dangereux, même si la FDA et le CDC ne révéleront pas ces faits.

Patrick Delaney de LifeSiteNews.com a rapporté :

L'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a souligné trois raisons pour lesquelles les femmes en âge de procréer et moins devraient entièrement rejeter les vaccins expérimentaux de thérapie génique COVID-19.

"On vous ment, on me ment", a déclaré le chercheur professionnel. "Les autorités ne nous donnent pas toutes les informations sur les risques de ces produits."

Yeadon, qui a des diplômes en biochimie et toxicologie et un doctorat en pharmacologie respiratoire, a travaillé pendant 32 ans dans l'industrie pharmaceutique et a pris sa retraite en 2011 du poste le plus élevé dans son domaine en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et respiratoires chez Pfizer. .

Depuis, il a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue à la plus grande société pharmaceutique du monde, Novartis, en 2017.

Le ressortissant britannique a expliqué son premier point comme étant "si évident" que tout le monde peut le comprendre. « Nous ne donnons jamais, jamais , de médicaments expérimentaux aux femmes enceintes. Pourquoi ne faisons-nous pas cela ici ? Il a demandé.

Il a poursuivi en expliquant comment il y a 60 ans :

"les femmes ont été exposées à un nouveau produit contre les nausées matinales appelé thalidomide et cela a entraîné au moins 10 000 malformations congénitales."

Les études avant sa sortie à l'époque n'étaient pas capables d'identifier «la thalidomide comme une toxine dans l'utérus».

Cette tragédie, a-t-il expliqué, a appris aux scientifiques que :

«Les bébés ne sont pas en sécurité et protégés à l'intérieur de l'utérus, ce que nous pensions auparavant. Mais, en fait, ils sont un miracle de développement minutieux. Les stades critiques, en particulier dans les premiers stades, où, en cas d'interférence avec des produits biochimiques ou autre, peuvent changer irrémédiablement le cours du développement de cet enfant.

"Vous ne donnez jamais de médicaments, de médicaments insuffisamment testés, à une femme enceinte", a-t-il souligné. « Et c'est exactement ce qui se passe. Notre gouvernement exhorte les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer à se faire vacciner. Et ils leur disent qu'elles sont en sécurité. Et c'est un mensonge parce que ces études n'ont tout simplement pas été faites.

De plus, "la toxicologie de la reproduction n'a été faite pour aucun de ces produits, alors qu'il faudrait une batterie complète de tests ", a déclaré Yeadon.

"Donc nous en sommes là. Il y a eu potentiellement des centaines de millions de femmes en âge de procréer [injectées] avec des produits qui n'ont pas été testés en termes d'impact sur la fécondation et le développement du bébé.

"C'est déjà assez grave parce que ce que cela me dit, à sa voir , qu'il y a de l'insouciance. Personne ne s'y intéresse. Les autorités ne se soucient pas de ce qui se passe », a-t-il déclaré.

Mais en y regardant de plus près, Yeadon a déclaré que, compte tenu de deux autres études, la situation semble «bien pire» en raison de preuves d'effets néfastes réels sur la fertilité. ( Source .)

Enrico Trigoso d' Epoch Times a rapporté l'expérience d'un autre médecin qui constate les effets des vaccins COVID-19 sur les femmes enceintes :

Le Dr James Thorp est un médecin de 68 ans l avec de nombreuses publictions, certifié par le conseil d'administration en obstétrique et gynécologie, ainsi qu'en médecine materno-fœtale, qui pratique l'obstétrique depuis plus de 42 ans.

Thorp a déclaré à Epoch Times qu'il voit 6 000 à 7 000 patientes enceintes à haut risque par an et qu'il a vu de nombreuses complications parmi elles en raison des vaccins COVID.

"J'ai vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de complications chez les femmes enceintes, chez les mères et chez les fœtus, chez les enfants, la descendance", a déclaré Thorp, "mort fœtale, fausse couche, mort du fœtus dans le corps de la mère.

"Ce que j'ai vu au cours des deux dernières années est sans précédent", a affirmé Thorp.

Thorp a expliqué que bien qu'il ait constaté une augmentation de la mortalité fœtale et des issues de grossesse défavorables associées à la vaccination contre le COVID-19, les tentatives de quantification de cet effet sont entravées par l' ordre de se taire imposé aux médecins et aux infirmières en septembre 2021, comme indiqué dans la publication « Patient Betrayal : The Corruption of Healthcare, Informed Consent and the Physician-Patient Relationship » ( pdf ). ( Source .)

Non seulement les bébés à naître sont tués dans le ventre de leurs mères qui ont pris un vaccin COVID-19, mais ces enfants à naître sont sacrifiés au culte du vaccin pour fabriquer les vaccins.

Dans une interview entre Robert F. Kennedy, Jr. et le Dr Theresa Deisher menée en 2020 concernant l'utilisation de tissus fœtaux humains pour cultiver des virus pour les vaccins, le Dr Deisher révèle que des fragments d'ADN humain se trouvent dans les vaccins.

L'une des questions les plus intéressantes que M. Kennedy a posées au Dr Deisher était de savoir pourquoi les fabricants de vaccins sont passés de l'utilisation exclusive de tissus animaux dans la culture de virus pour les vaccins, pour commencer à utiliser des tissus fœtaux avortés il y a quelques années.

La réponse du Dr Deisher a été que l'industrie subissait de fortes pressions de la part du mouvement des droits des animaux pour qu'elle cesse d'utiliser des animaux à des fins d'expérimentation.

M. Kennedy a été choqué et a déclaré :

C'est un peu bizarre de penser que les militants des droits des animaux ont plus de poids auprès des fabricants de vaccins que les militants anti-avortement.

Le Dr Deisher a répondu :

C'est ainsi . Et vous savez, ce qui est vraiment alarmant, c'est l'absence de tollé suscité par les bébés humains nés vivants à l'âge de cinq à six mois afin que leur cœur puisse battre. Et ils doivent battre pour être utilisés dans la recherche en cours.

Si le cœur a cessé de battre, ce n'est pas utile. Vous ne pouvez pas l'utiliser.

Et donc ces bébés sont livrés vivants, et leurs cœurs découpés sans anesthésie.

Je ne ferais pas ça à une souris….

Cette interview n'est plus disponible sur YouTube, mais voici un extrait d'une copie que nous avons sauvegardée. Ceci provient de notre chaîne Bitchute et sera également sur nos chaînes Odysee et Telegram .

Le vaccin Pfizer COVID-19 a été développé avec du tissu cellulaire fœtal, mais selon un lanceur d'alerte au sein de l'entreprise Pfizer, ils ont tenté de le dissimuler au public.

Ceci vient du projet Veritas :

Voici deux histoires de jeunes mères qui ont perdu leur bébé à naître juste après avoir reçu un deuxième vaccin contre la COVID-19. Peut-être que leurs paroles et leurs expériences, qui représentent évidemment, au moins, plusieurs milliers d'autres, peuvent mieux communiquer à quel point c'est vraiment horrible.

C'est sur notre chaîne Bitchute , chaîne Odysee , et aussi sur notre chaîne Telegram .

Les coloriages sont un choix de ce blog

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