L'enquête
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https://planetes360.fr/enquete-exclusive-du-journaliste-roumain-adrian-onciu-ursula-von-der-liar-et-ses-memoires-perdues-censuree-en-roumanie-et-dans-lunion-europeenne/
Adrian Onciu (2 décembre 2021) — Ci-dessous, l’affaire Pfizer-Ursula en 3 minutes : « J’ai joint le résumé vidéo de l’enquête Pfizer-Ursula, avec sous-titres anglais. C’est notre seule arme pour l’instant. Profitons-en, utilisons-le avec notre tête, partageons-le massivement. Les gens méritent de connaître la vérité après presque deux ans de terreur. » — A. O.
Enquête censurée en Roumanie et dans l’Union européenne
Les conjoints Ursula et Heiko von der Leyen font l’objet d’un chantage au sein d’un accord Pfizer de 36 milliards de dollars
Premier épisode / Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le pion principal dans l’affaire Pfizer de 36 mld $
Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.
Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.
Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y ait pas de « défaillances techniques ».
Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.
Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.
La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première Dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, « dans l’intérêt du service », dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !
Le lien entre les deux sociétés américaines, Pfizer et Orgenesis, est évident. Leur actionnariat important comprend les mêmes fonds communs de placement, selon la Bourse de New York. Je détaillerai plus avant. On ne sait toujours pas si l’actionnariat a changé avec l’arrivée intempestive de Heiko von der Leyen d’Allemagne (pour des négociations ?) ou s’il en a toujours été ainsi. Nous allons le découvrir.
Ce qui est certain, c’est que le mari d’Ursula fait tache dans le conseil d’administration de la société Orgenesis. Presque rien dans son CV ne le recommande pour le poste élevé de « Directeur Médical ». C’est l’un des cadres payé au moins 1 million de dollars par an. Et la coïncidence a été étonnante. Pourquoi Heiko a atterri à la direction d’Orgenesis en décembre 2020, c’est une question dont la réponse révèle le mystère de toute l’affaire. Il est à noter que le premier vaccin en Roumanie a été administré le même mois, à une infirmière.
La suite s’est déroulée à toute allure. Au printemps 2021, immédiatement après l’arrivée d’Heiko à Orgenesis, d’intenses négociations politiques ont eu lieu. Sa femme a échangé des SMS et des appels téléphoniques tant avec le chef de Pfizer qu’avec son mari, qui se trouvait à proximité immédiate des gens de Pfizer (pratiquement à quelques maisons de distance). Autrement dit, un médecin très généreusement payé par la société Orgenesis (étroitement liée à Pfizer, comme nous allons le voir). J’ai écrit dans des commentaires précédents sur Mediafax que les messages et les appels de Mme Ursula ont ensuite soudainement disparu de son téléphone, à la stupéfaction de l’Ombudsman Emily O’Reilly (une sorte d’avocate du peuple, mais au niveau de l’Union européenne). En fait, ce n’était pas la première fois ces dernières années qu’Ursula von der Leyen effaçait ses traces du téléphone à la façon de Harry Potter et même plus.
Le 8 mai 2021 a eu lieu la grande annonce. Les Européens ont poussé un soupir de soulagement. Ursula von der Leyen a signé le marché avec les patrons de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin. Le prix de la dose n’a pas été annoncé, cela n’avait pas de sens d’avoir autant de transparence. Surtout quand un dollar en plus ou en moins signifie un total de 1,8 milliard de dollars en plus ou en moins. De l’argent sorti de nos poches, les Roumains, les Bulgares et les Hongrois. Vaccinés et non vaccinés, cela n’avait aucune importance. En l’absence de chiffres officiels, le business est estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose.
Comme la transparence était « au maximum », à partir de là commencent les preuves indirectes. Basées, bien sûr, sur des faits. Selon les chiffres et informations officiels, autant que nous ayons pu en recueillir jusqu’à présent, et en l’absence de toute initiative de « l’héroïne anti-corruption », la procureure générale Laura Codruța Kovesi.
À 38 milliards de dollars, tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance ». Pour les dirigeants de la Roumanie, parce que les montants sont très faibles, on parle de 10 à 15 pour cent ; à Bruxelles nous sommes sur de petits pourcentages, mais pour des sommes très importantes. Même si le profit est énorme. C’était même difficile pour moi aussi d’écrire à l’ordinateur ce que signifient 2 % des 38 milliards. Cela signifie une «commission de performance» fixe de 760 millions de dollars !
Maintenant, si vous demandiez rapidement à SOV, père du FNI (Sorin Ovidiu Vântu, fondateur d’une méga-escroquerie financière d’un fonds de placement roumain – le FNI – basé sur une Pyramide de Ponzi, à l’aube de l’an 2000 N.Trad), il vous dirait que le montant (ou même le double, car il y avait de la place pour plus) a été transféré rapidement et magnifiquement, avec élégance, du bénéfice de Pfizer à la société liée Orgenesis. Sous forme de « primes de performance » pour le mari de la dame.
C’est-à-dire, le directeur médical à peine venu sur place pour des négociations. Le respectable M. Heiko von der Leyen, descendant de noble souche allemande. Mais ce n’est que si la procureure Kovesi pouvait vérifier certains comptes, en collaboration avec le FBI et les procureurs américains et européens. Et si, bien sûr, l’ancienne responsable de la DNA roumaine a encore un peu de son aura d’incorruptible qui l’a rapidement propulsée à Bruxelles, près d’Ursula von der Leyen.
Je lui propose de mettre l’ensemble du dossier à sa disposition. En clair, des informations officielles recueillies auprès de sources fiables. Et des relations, si elle n’a pas assez d’employés. Gratuitement, uniquement avec des frais de remboursement pour DHL. Avec des données vérifiées, pas de fausses nouvelles pandémiques, promues par je ne sais quels sites obscurs.
Parce que la lecture d’un fichier aussi épais peut dérouter les lecteurs, j’ai décidé de le présenter dans un feuilleton. Maintenant, j’ai donné l’histoire générale, le fil de l’action. Je reviendrai avec des précisions : noms, sociétés, actionnaires significatifs, CV, liens directs et indirects. Mme Kovesi sait où me trouver. Dans la ville provinciale de Iași, quelque part dans le nord-est de la Roumanie. Proche des Russes, comme diraient les hashtags. J’espère qu’elle prendra une courte pause dans sa course aux trafiquants de voitures bulgares et s’occupera de questions plus sérieuses. La vraie corruption au niveau européen.
Vous allez découvrir un entrelacement scandaleux dans les prochains jours. Car les politiciens, main dans la main avec Big Pharma, ont profité sans scrupules de la pandémie pour s’enrichir sur le dos et les poches des Européens. Sur nos vies et notre santé. J’y reviendrai.
– – – Consultez et téléchargez l’intégralité de l’enquête de M. Adrian Onciu, intitulée « Ursula Von der « Liar » (Liar = menteuse en anglais – NdE) et ses mémoires perdues » (censurée en Roumanie et dans l’Union européenne).
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